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Un visiteur
1,0
Publiée le 12 janvier 2007
Une oeuvre moyenne. Moyennement maîtrisée, moyennement interprétée, assez classique et rigide... qui méritait peut-être un meilleur montage, et finalement une pointe d'originalité et de souplesse de réalisation pour se trouver élevée vers le jeu de sentiments touchant et délectable qu'elle nous promet... Une petite déception.
Mérite 1,5 *. Le traitement sensuel et humain du sujet aurait mérité un meilleur résultat. Sans vouloir être pudibond, légèrement trop de nudité gratuite (sans tomber certes dans la vulgarité) sans intérêt. La fin est ratée et nuit malheureusement au reste du film. Les acteurs ne sont pas en cause et tirent plutôt leur épingle du jeu. Dommage...
Lady Chatterley est un film lent, doux, sensuel, tendre et fiévreux, un travail d'orfèvre, minutieux, qu'il ne faut surtout pas brusquer. C'est pourquoi certains d'entre vous diront qu'il est pire qu'un flacon de somnifères, que rien ne se passe, que c'est l'ennuie mortel et qu'à part coucher ensemble une bonne dizaine de fois dans le film les personnages ne font pas grand chose. Mais ils n'auront pas vu que le film est une longue métaphore de la vie qui renaît petit à petit dans le coeur de Constance ainsi que dans celui de son garde-chasse, que tous deux ils apprendrons à aimer, à se toucher, à se découvrir, à s'ouvrir. Amour libérateur qui fait de nos deux héros des Adam et Eve évoluant au milieux d'une nature généreuse et symbole de la vie, de la fécondité, de la renaissance. A aucun moment, les scènes d'intimité ne sont vulgaires, elles sont pudiques tout en ne cachant rien, jusqu'à arriver à la scène pillier, lorque les deux amants, nus se recouvrent de fleurs : innocence, amour, beauté... Peut-être Pascale Ferran a-t-elle réussi à faire passer de sa sensibilité de femme à travers son oeuvre, une réussite !
Ce qui aurait pu donner matière à un film bouleversant de bout en bout devient malheureusement le gros défaut du film. A trop vouloir filmer lennui de Lady Chatterley, Pascale Ferran a fini par mennuyer à mon tour. Certes Marina Hands est extraordinaire, quoi que comme certains ici, jai vraiment eu limpression de voir Audrey Totou à lécran (ce nest pas une critique, juste une remarque). Certes le film prend son envole quand les deux amants se livrent enfin, mais il reperd hélas aussitôt son souffle lors du départ de la belle Constance. Résultat, après 60 minutes de sieste et 60 minutes dintérêts, retour à une léthargie effroyable.
Que dire des plans de coupe utilisés à foison à part quils ont heurté ma rétine et que je ny trouve aucune signification valable pas plus que les cartons qui ne font que dire ce que lont va voir pour une partie et qui éludent des scènes qui auraient eu plus de poids que ce qui nous a été souvent montré pour la seconde.
Du coup jai limpression dun film non maîtrisé et rattrapé au montage à la sauve qui peut. Jaimerai vraiment avoir Pascale Ferran en face pour quelle mexplique quelles étaient ses intentions. Jai mal à croire quon ai voulu sciemment ennuyer le spectateur et le priver de belles séquences pour labreuver de scènes et de plans maladroits.
Pour les césars ??? Une preuve supplémentaire que lart ne fait appel quà la subjectivité.
Histoire dune jeune femme de la haute société britannique, mariée à un noble invalide de guerre, qui va découvrir la sensualité et lamour grâce à « lhomme des bois », le garde chasse du domaine, lui-même découvrant ainsi lamour total. Léveil des sens, dans une nature elle-même en éveil est parfaitement rendu, avec une excellente comédienne et un acteur inconnu, brut de décoffrage, qui convient bien au rôle. Là sarrêtent les aspects positifs, et là démarre mon incompréhension devant les critiques de presse dithyrambiques et un César du meilleur film. Car en lui-même, le film nest pas bon, trop long, beaucoup trop long, avec des scènes ennuyeuses et inutiles, du moins dans leur durée excessive (la scène des fleurs sur les corps, le voyage en France etc.). Le récit avec les petits cartons intermédiaires qui nous disent ce que le cinéaste na pas su nous montrer (et qui, en plus, est souvent inutile, style « trois jours plus tard » ) est franchement agaçant. La moyenne dâge dans la salle était très élevée, preuve que le public, le jeune public na pas adhéré au « chef duvre » de lannée, et je le comprends. La parisianisme intello a encore frappé.
Adaptation du roman de D.H. Lawrence : Lady Chatterley et l'homme des bois, lui-même une reprise de l'Amant de Lady Chatterley du même auteur, le film réalisé par l'ex-inconnue Pascale Ferran ne surprend pas un seul moment. C'est un scénario bateau d'une femme bourgeoise trompant son mari blessé de guerre avec un garde-chasse modeste du village. Lady Chatterley, frustrée sexuellement à cause de l'infirmité de son mari, rompt les barrières sociales de l'époque et couche régulièrement dans les bois ou dans la cabane du bonhomme (scènes intégrales à chaque fois...) avec l'"homme des bois", histoire de retrouver de "vrais" sentiments. Bien sûr, ses actes ne seront pas sans conséquences et vont éveiller les soupçons de son entourage car la lady semble être tombée enceinte... En plus, sa relation avec l'homme va rapidement devenir laborieuse à entretenir. C'est un angle de vue profond sur le thème difficile de l'adultère qui prend ici une légèreté déconcertante. Malgré les catastrophiques performances de certains acteurs, le livre est parfaitement retranscrit par l'image en frôlant de justesse l'ennui qui aurait pu être engendré par une adaptation si compliquée car il conserve un certain suspens. Une alternative à ceux qui aimerait connaître l'histoire de Lady Chatterley et qui n'aiment pas lire des gros bouquins. Deuxième défaut donc : un intérêt amoindri.
L’adaptation de Pascale Ferran est une pure merveille. Le film dégage une sensualité étonnante et fabuleuse sans jamais sombrer dans la vulgarité. Un ode à l’amour et à la nature. Marina Hand et Jean Louis Coulloch sont totalement sublimes. Un film prodigieux
5 cesars et un tas de critiques elogieuses?! incroyable... Les seules choses que j'ai retenu c'est 2h40 intermiiiiiiiiiinables; des dialogues soporifiques et pourtant y en a pas beaucoup! ce film aurait presque pu etre muet; un jeu d'acteur à la limite de la niaiserie... un film sans interet, sans emotion, a oublier tres vite. L'evolution de cette histoire est peut etre finement menée mais ne sauve aucunement l'ensemble.
Avec un titre pareil, on s'attendrait presque à un film en costumes. Loin de là, Lady Chatterley est moderne, incroyablement sensible, bien joué et prenant. L'éveil d'une femme à la sensualité et au plaisir, aux sentiments aussi. Une belle histoire, des comédiens fabuleux de naturel, un très bon moment en salle obscure.
Un film navrant de bout en bout que seule la belle mise en scène sauve du naufrage, le rythme est innexistant et le scénario est très pauvre. Devant cette succesion de scènes pseudo-érotiques, on n'a qu'une seule envie: dormir!
Je vais souvent au cinéma et comme tous les ans j'ai toujours mon film préféré donc je suis la cérémonie des césars et toujours déçue en voyant les plus récompensés: des films dont je n'ai pas entendu parlé de l'année, type films d'auteur...Mais ça attise ma curiosité et justement apres la cérémonie la chaine diffuse ce film, il faut que je vois à quoi ça ressemble! Inutile de vous dire qu'à cette heure avec un film aussi lent et plat je me suis endormie avant la fin...J'ai peut etre loupé le meilleur me diriez vous....
Cent fois revoir "la leçon de piano" de Jane Campion pour y trouver le désir, l'amour et les classes sociales plutôt que dans cette adaptation de D.H Lawrence avec son lot de maladresses (voix off, cartons, raccourcis mal venus, problèmes de rythme, casting...) Le film tombe complètement à côté de la plaque et manque de souffle tout bonnement. Les critiques dithyrambiques louent la justesse des plans séquences, l'audace des inserts et une mise à nue de l'amour qui peut naître entre deux êtres a priori pas du même monde. Je n'y ai vu qu'un manque d'inspiration et d'incarnation flagrant. Cent fois revoir "la leçon de piano".
Comme l'a fait T-zone, hier, 22 juin, j'ai regardé la version longue sur Arte et j'en suis tout heureux ! Ce film français est un vrai bonheur : rien que la vie, l'amour, la nature, l'amour (l'autre), la beauté. Un film rare, qui "respire" et qui laisse respirer !
une grosse m...., d'une platitude inénarrable ! avec un garde chasse au charisme de doublecheese oublié au fond d'une poubelle d'un parking de macdo de banlieue! a fuir au plus vite! au secours !