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Un visiteur
0,5
Publiée le 13 décembre 2006
Looooooooooooooooong, très long, trop long. Je vais devoir avouer avoir beaucoup de mal à comprendre les "bonnes critiques" de ce film. Je pensais que la lenteur du début n'était que pour mettre l'histoire en place. Malheureusement ce n'était pas le cas. Au bout d'une heure et demi (et oui je suis restée concentrée aussi longtemps!!! sur 2h40) je me suis vraiment ENNUYEE. Je n'ai jamais autant observé le public pendant une séance. Bref je DECONSEILLE FORTEMENT ce film, sauf si vous voulez vous punir...
Je suis vraiment déçue, j'ai trouvé le film vraiment trop long. Il n'y a jamais rien qui se passe malgré les quelques moments d'amour, mais c'est trop peu !
Ce film m'a EXTREMEMENT déçue ! Je pensais trouver plus de sentiments ! Biensûr qu'il y en a eu, et ces moments là ont été tres beau ! Mais seulement ces moments là. Pendant au moins la moitié du film on nous montre la progression de la jouissance des deux amants ! Je trouve que ça ne vaut pas un cezar du meilleur film !
Alors là, je suis complétement sur interloquée?! J'ai lu avec attention les critiques avant et après le film, les critiques hallucinantes criant au chef d'oeuvre m'ont précipité à voir le film, et dès les 1ères minutes, je me suis demandée dans quel pétrin je m'étais mise... Mise en scène et images de téléfilm, cadrage qui coupe les tétes des personnages, gros plans inutiles, propos naif et niais, et surtout des acteurs que je qualifierais sans hésitation de castastrophiques... Pour moi tout sonnait faux : l'histoire, les dialogues, le jeu des acteurs, j'avais l'impression d'etre dans une série Z, rien à sauver... Je ne comprends absolument pas les critiques, j'ai comme la désagréable impression d'etre à coté de la plaque à moins que ce soit les critiques qui aient été soudoyées ou je ne sais quoi! J'ai rarement vu qqch d'aussi niais, sans parler de scène parfaitement grostesque : les fleurs bien sur, hilarante, la danse sous la pluie ou le mec en bottes joue au monstre en courant derrière la femme... J'ai lu dans les inrocks que l'actrice principale disait que la frontière entre la grace et le ridicule est étroite, ben je crois que c'est çà, certains ont cru voir de la grace, moi j'y ai vu une grosse farce complétement ridicule et ratée... Mais ce film restera une vraie énigme pour moi, pourquoi tant d'engouement (unanimes qui plus est...) pour une bluette à deux sous mal jouée...
A priori, si le film n'avait pas été réalisé par P. Ferran (bon souvenir de petits arrangements etc.), si la critique n'avait pas été aussi dithyrambique (elle compare à Renoir !, Truffaut !!, pas moins..) je n'aurais pas été voir ce film d'après un roman scandaleux à son époque mais assez desuet maintenant. Eh bien j'aurais dû. En dehors d'Hippolyte Girardot, parfait et de quelques bons seconds rôles, tout est raté dans ce film interminable . Image laide (vidéo numérique ?) acteurs principaux sans aucun charisme, scènes d'amour aussi sensuelles qu'un documentaire teuton sur la vie des bêtes... Tout ça est d'un ennui accablant, et carrément ridicule sur la fin quand ils galopent tous deux nus sous une pluie numérique et se fleurissent les parties ensuite. Hélas ...
Excellente version de l'oeuvre de Lawrence. Les trois personnages principaux jouent parfaitement leur rôle. La longueur du film peut rebuter mais je n'ai pas trouvé que cela nuisait à la qualité. Au contraire, il faut du temps pour que le garde chasse et lady Chatterley se rapprochent au point de devenir intimes. Très belle luminosité d'ensemble, même lorsqu'il pleut.
Une grande deçeption,j'attendais de le voir avec impatience mal m'en a prit de le faire,film ennuyeux,lourd,insipide,parfois vulgaire c'est une sorte de version érotique de martine à la campagne.
Le classique de la tromperie, un mari impuissant mais riche, un jardinier bel homme mais pauvre, l'argent avec l'un le plaisir avec l'autre, trop facile pour s'en priver. La scène sous la pluie est sympa. Un peu à l'eau de rose quand même.
Interminable , mal fichu , il ne vaut que pour un certain esthétisme.Il est malheureux de voir qu'un tel film truste les récompenses... Une immense incompréhension.
C'est l'hiver et Lady Chatterley se morfond auprès de son mari Sir Clifford, revenu de la Grande Guerre infirme et probablement atteint dans sa virilité. L'épouse noue avec le garde-chasse du domaine, Parkin, entrevu par hasard le dos nu et large -trouble inattendu pour la jeune femme pudique- une relation de voisinage d'abord distante. Suivront, en harmonie avec le printemps puis l'été, un désir hésitant et de brèves étreintes, un apprivoisement mutuel spoiler: qui se transforme en véritable amour.
On a de l'oeuvre originelle de DH Lawrence l'idée peut-être fausse d'un roman rose ou de gare complaisant et superficiel, avec pour sujet l'adulfère; adultère scandaleux entre une épouse de la haute société anglaise et un de ses employés. Préjugé né sans doute de médiocres adaptations cinématographiques telle que celle, érotique, de Juste Jaeckin avec Sylvia Kristel. On note que la réalisatrice Pascale Ferran a gommé le mot "amant" du titre: la cinéaste ne s'intéresse pas aux notions d'adultère et de morale conjugale. Son film, très simple finalement, est le portrait d'une jeune femme qui nait à la sensualité et à la volupté, voire qui s'émancipe par l'amour. La relation qu'entretient Lady Chatterley avec le garde-chasse semble être une constante découverte de sentiments et de sensations que le mariage avec Clifford n'a apparemment pas permis d'explorer. Délicat et sensible, ouvertement romantique dans sa représentation de la naure absolument indissociable de l'intrigue amoureuse, le film ne verse pas pour autant dans l'eau de rose ou le glamour. L'amant n'est pas le jeune premier dont peuvent rêver les jeunes filles; tandis que Marina Hands, aussi jolie soit-elle, ne fait pas dans le numéro de charme. L'actrice rayonne dans les expressions de pudeur de l'héroine (et d'impudeur dans certains moments), de candeur et de bonté. Son personnage et celui de Parkin nous touchent parce qu'ils sont dans la modestie, le silence souvent et la gaucherie parfois, très éloignés des clichés sur la passion et la séduction.
pas terrible. ont sent clairement qu'ont est plongé dans un monde de l'après première guerre mondiale, un monde en pleine évolution pas mal traditionnel mais pas assez, il aurait fallu raconter l'histoire dans l'année 1800, le film est ultra mou et n'avance a rien le film très long, le scénario n'est pas très crédible c'est plus une excuse le scénario pour faire un film de tradition . ont salut tout de meme le jeux d'actrices et l'exellente mise en scène, de belle jupes qui marque l'époque de début de modernité (les filles n'ayant plus a porter de longue robes en V) et sont moins controlé par les hommes. mais l'époque 1900 n'est pas vriment la bonne époque pour faire un film de tradition.
La campagne, c’est la nature et la nature, c’est la vie et la vie, c’est l’amour. Dans Lady Chatterley, adaptation française du roman de Lawrence, Constance s’ennuie ferme dans son manoir avec son bonhomme, riche industriel impotent et surtout pas très Juanita Banana. Un jour, Constance part en balade dans son domaine et rencontre le garde-chasse. De là, naît une histoire d’amour et un magnifique éveil à la sensualité. Il y a tout au long du film un parallèle entre l’apprentissage de Constance dans son rapport au corps et le rythme des saisons et de la nature. Le film rattache l’environnement naturel au différentes sensations que l’on éprouve à son contact si bien que la relation intime entre les deux personnages paraît aussi naturelle que le décor qui les entoure. De toute évidence, la nature et l’isolement sont les ingrédients indispensables de leur histoire. S’ils font le vide autour d’eux, c’est parce qu’ils ont trouvé l’autre, celui qui efface le superflu. Et si c’était ça aussi la campagne ? Se débarrasser de ce qui encombre le corps et l’esprit pour retrouver l’essentiel ? Alors si vous êtes toujours ok pour les ébats initiatiques dans les fourrés, Lady Chatterley est LE film qu’il vous faut.
Après 11 ans d’absence, Pascale Ferran fait son grand retour au cinéma avec une œuvre qui n’est pas passé inaperçue. Il s’agit de Lady Chatterley (2006), une adaptation du classique de la littérature érotique de l’écrivain D.H. Lawrence. Pour la petite anecdote, c’est la troisième adaptation du roman, après L'Amant de Lady Chatterley (1955) et la version érotique (et éponyme) datant quant à elle de 1981. Il est étonnant que le cinéma Français d’aujourd’hui puisse produire ce style de film. Alors que l’on pensait ne plus revoir ce genre de film sur nos écrans, le cinéma érotique est de retour dans une version soft certes. Doté d’une très belle mise en scène, où l’on découvre au fur et à mesure les protagonistes, qui eux, se découvrent à nous petit à petit, tout en se découvrant eux même l’un à l’autre. Une histoire d’amour comme on en voit plus, douce, passionnante, communicative, attendrissante, on reste émerveillé par ses séquences où le jeune couple à l’impression de retomber en enfance, se découvrant l’un et l’autre. Une œuvre étonnante et séduisante, portée par la grâce et le courage de ses acteurs (Marina Hands & Jean-Louis Coulloc'h).
Un très bon film érotique. Une bonne adaptation du roman de D. R. Lawrence. Marina Hands interprète cette femme qui veut atteindre le désir du plaisir charnel
Mouais, ce n'est vraiment pas du grand cinéma. Le César du Meilleur Film m'a l'air bien exagéré. M'est avis que l'Académie a voulu marquer le coup en remettant ce prix à un film qui avait un vernis de tabou, mais sans se rendre compte qu'il s'agissait tout de même un peu d'une escroquerie, car c'est de la qualité d'un téléfilm. Je ne sais pas ce que donne le roman de D. H. Lawrence mais cette version cinématographique m'a l'air bien mièvre. Quelques images un peu tabous, mais uniquement pour le style car sinon le film est bien plat. Il n'y a pas grand chose à tirer de cette romance, ni sensualité, ni passion, ni tabou. C'est d'un ennui, et ce, sur plus de deux heures et demie. Au bout d'une demie-heure, il n'y a plus vraiment de surprises et on voit clairement où le film veut en venir Les acteurs jouent de manière variable (le jeu de Marina Hands et d'Hippolyte Girardot m'a séduit, celui de Jean-Louis Coulloc'h moins). Les décors naturels ont le mérite de bien rendre à l'écran. Bref, pas grand chose à dire de bien positifs. Une romance adultérine qui dure 150 minutes et qui fait pschit.