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Que les rêveurs virulents s'émancipent, que le désir prenne le pouvoir, que le tumulte règne : Grizzly Man nous invite sur ce territoire si bien connu du cinéaste, celui où la plus grande liberté se paie de sa vie. Pour le spectateur de cette tragédie, la catharsis opère comme jamais.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
A rebours de l'équation moderne (expérimentation formelle + culte de la banalité), Herzog invente un primitivisme sans origine, inactuel. Le degré zéro des formes cinématographiques installe le spectateur dans la proximité du plus extraordinaire des destins.
Car au-delà des images fabuleuses d'un film naturaliste dénué d'artifice, c'est bien d'une plongée dans les méandres névrotiques de l'âme humaine dont il s'agit.
Sans donner dans le psychologisme, Herzog laisse affleurer une personnalité maniaco-dépressive (...) Ce film original risque de susciter des réactions ambivalentes (...) Quoi qu'il en soit, Herzog une fois de plus, met devant et derrière la caméra la figure décisive : "der Wilde Mann"
La critique complète est disponible sur le site Positif
Certains pourront toujours pointer du doigt la manipulation inhérente au cinéma d'Herzog qui aime à multiplier les mises en abyme, mais les témoignages infiniment sincères et enflammés des proches de Timothy touchent droit au coeur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On y voit un homme narcissique et prétentieux, qui passe le plus clair de son temps à se filmer plutôt qu'à nous raconter les ours qui sont censés le fasciner.
Chronic'art.com
Mais surtout: Grizzly man, malgré ses airs riquiqui et volontiers minables, est un immense moment de cinéma.
Fluctuat.net
Que les rêveurs virulents s'émancipent, que le désir prenne le pouvoir, que le tumulte règne : Grizzly Man nous invite sur ce territoire si bien connu du cinéaste, celui où la plus grande liberté se paie de sa vie. Pour le spectateur de cette tragédie, la catharsis opère comme jamais.
Première
"Grizzly man" est un documentaire incroyable, à tous les points de vue. Pour son sujet d'abord (...) pour son auteur surtout (...)
Zurban
Troublant et émouvant.
Cahiers du Cinéma
A rebours de l'équation moderne (expérimentation formelle + culte de la banalité), Herzog invente un primitivisme sans origine, inactuel. Le degré zéro des formes cinématographiques installe le spectateur dans la proximité du plus extraordinaire des destins.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un sujet à la démesure de l'extrémisme romantique du réalisateur d'Aguirre et Fitzcarraldo.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) "Grizzly Man" n'est pas un documentaire animalier lambda, mais un drame qui nous hante.
Libération
Car au-delà des images fabuleuses d'un film naturaliste dénué d'artifice, c'est bien d'une plongée dans les méandres névrotiques de l'âme humaine dont il s'agit.
Paris Match
Ce documentaire hallucinant au dénouement si dramatique est une curiosité de plus à mettre au crédit de Werner Herzog.
Positif
Sans donner dans le psychologisme, Herzog laisse affleurer une personnalité maniaco-dépressive (...) Ce film original risque de susciter des réactions ambivalentes (...) Quoi qu'il en soit, Herzog une fois de plus, met devant et derrière la caméra la figure décisive : "der Wilde Mann"
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) Herzog réalise un documentaire d'une grande puissance dramatique.
aVoir-aLire.com
Certains pourront toujours pointer du doigt la manipulation inhérente au cinéma d'Herzog qui aime à multiplier les mises en abyme, mais les témoignages infiniment sincères et enflammés des proches de Timothy touchent droit au coeur.
Brazil
Tout est a priori vrai dans ce film, mais rien n'efface le parfum de la supercherie.
Le Monde
Le ridicule y côtoie le grandiose avec une telle évidence que la tentation est forte de voir dans cet objet filmique une forme de canular.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
On y voit un homme narcissique et prétentieux, qui passe le plus clair de son temps à se filmer plutôt qu'à nous raconter les ours qui sont censés le fasciner.
Score
Vu son destin tragique, cette irrévérence amusante rend perplexe et finit par agacer.
Télérama
(...) fallait-il ce documentaire poussif, souvent grotesque ?