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Votre avis sur Darkman ?
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Une dizaine d'années avant de s'attaquer (et de façon prodigieuse) au mythe "Spider-man", Sam Raimi s'était déja essayé au genre du film de Super-heros (ici mêlé à une ambiance de Série B) avec ce petit bijou à la fois sombre, décalé et émouvant.
En plus de s'offrir les services de Liam Neeson (Doit on rapeller que c'est un fichue d'acteur passe-partout ? - Je parle pas du nain !) qui hérite ici du rôle d'un scientifique gravement mutilé, avide d'amour et de vengeance, à la schizophrénie naissante, le film mise surtout sur sa mise en scène audacieuse et délirante (c'est bien simple, tout les effets de styles de Spidey sont la) qui nous propose alors quelques gunfights, poursuites et meurtres particulièrement passionantes, le tout mélé à un scenario cohérent, drôle, à l'émotion sincère.
Une réussite haussant déja donc Raimi au rang des geeks les plus barrés et interessants du cinéma americain.
A noter le caméo inoubliable de Bruce Campbell.
En plus de s'offrir les services de Liam Neeson (Doit on rapeller que c'est un fichue d'acteur passe-partout ? - Je parle pas du nain !) qui hérite ici du rôle d'un scientifique gravement mutilé, avide d'amour et de vengeance, à la schizophrénie naissante, le film mise surtout sur sa mise en scène audacieuse et délirante (c'est bien simple, tout les effets de styles de Spidey sont la) qui nous propose alors quelques gunfights, poursuites et meurtres particulièrement passionantes, le tout mélé à un scenario cohérent, drôle, à l'émotion sincère.
Une réussite haussant déja donc Raimi au rang des geeks les plus barrés et interessants du cinéma americain.
A noter le caméo inoubliable de Bruce Campbell.
Le seul défaut de ce film est sans aucun doute le côté vieillot de certains effets spéciaux quant au reste c'est magnifique: des cascades, des fusillades, de la tension, du drame, un peu d'humour, des scènes aériennes, des explosions, de l'action, des tourments, de l'amour et une jolie bande-son. Bref on ne s'ennuie pas, c'est vraiment agréable, ça vaut le détour et c'est à ne pas manquer!!
un film fantastique avec pour personnage principal une sorte de super héro sans en être. avec le talent génial de sam raimi dont on reconnait la facon de filmé, a la fois dynamique et millimétré. la musique de danny elfman est magistral.
Le film de super-héros a souvent engendré de véritables étrangetés. Sans être véritablement une curiosité, "Darkman" reste néanmoins un film à part, penchant plus du côté de l'horreur et des scènes chocs que de l'histoire du héros au coeur pur. Liam Neeson, toujours près à interpréter des personnages originaux, se glisse dans la peau du Darkman, un homme rempli de haine et avide de vengeance envers ceux qui l'ont défigurés. Beaucoup de petites trouvaille sympathiques, une réalisation et des effets spéciaux parfois un peu cheap et surtout, un film qui ne cesse de flirter avec l'histoire sombre et tragique et le burlesque, marque de fabrique des bonnes grosses séries B. Ce dernier choix est peut être voulu mais se révèle vite perturbant au point qu'on préfère se moquer du pauvre héros plutôt que de partager son déséspoir. Liam Neeson et Frances McDormand livrent une prestation correct mais c'est surtout Larry Drake dans le rôle du méchant sadique collectioneur de doigts qui donne au film le punch dont il avait besoin pour décoller un tant soit peu. Sam Raimi a fait mieux, beaucoup mieux mais il a au moins le mérite d'apporter un peu d'originalité dans un genre peuplé par pas mal de gros blockbusters insignifiants.
Série B antihéroïque à l'humour délicieusement macabre, Darkman s'impose comme une valeur sûre du cinéma de Sam Raimi, un rappel, bien avant Spiderman, du potentiel du réalisateur en termes de création d'univers et d'ambiance.
Cette critique a été transférée sur un nouveau compte.
Des ténèbres, de la mélancolie, et des bagarres : voilà un film qui aurait pu être très bon. Si seulement, la mise en scène de Sam Raimi, très cartoonesque n'était pas là. Et c'est là le grand paradoxe de Darkman, parce que ce côté BD donne son dynamisme et son charme au film, mais, le propulse droit dans les années 80, et je veux dire par là, celles qui ont vu le règne des nanars. C'est à mon avis en partie dû à cette musique envahissante et ce montage qui font déconseiller ce film aux épileptiques. Dommage, car Sam Raimi nous avait habitué à mieux. Cependant, une courte apparition de Bruce Campbell parvient à elle seule, par le souvenir de ses héroiques grimaces dans Evil Dead, à faire apprécier Darkman.
Le film n'est pas mauvais, il y a vraiment de belles trouvailles au niveau du récit (l'homme qui se venge de ceux qui ont détruit son visage en se faisant passer pour eux grace aux masques qu'il conçoit) et une ambiance très sombre particulièrement bien rendue (lorsque Westlake erre dans les ruelles après qu'il se soit enfui de l'hôpital). Malheureusement, le gros point faible de ce long-métrage réside dans ses scènes d'actions, qui ont aujourd'hui beaucoup vieillies (où est-ce cela qui fait son charme ?). Il y a 20 ans je l'aurais peut-être beaucoup aimé, mais force est de constater que ce détail d'importance, lorsqu'on le visionne en 2013, nuit au film selon mon humble avis. En tout cas, cela nous permet de découvrir un des films les moins connu du cinéaste Sam Raimi. Bien divertissant tout de même.
Raimi signait là son premier film de super heros en s'inspirant du fantôme de l'opera et du personnage The Shadow, le resultat est un pur "film-comic" qui se devore comme un BD. Certaines scénes sont terriblement spectaculaires alors que d'autres tombent clairement dans le burlesque un peu comme dans Evil Dead. Raimi se permet pas mal d'effets délirant et fait de ce Darkman, une excellente base pour les futurs Spiderman.
un film de super héros,trop peu connu,on reconnait bien la patte de sam raimi(certains plans font déjà penser à spider-man),le personnage est bien approfondit grace à la performance de liam neeson et l'idée de base est originale,le film n'a pas beaucoup viellit.
Si le scénario de "super-héros" qui accompagne le film n'est pas désintéressant, la réalisation de série B qui va avec n'est pas brillante. Heureusement le réalisateur propose un second degré qui sauve parfois son film mais ce n'est pas assez systématique pour le rendre vraiment amusant.
Le film qui montre que Sam Raimi est un excellent réalisateur!!! Sachant que le budget n'était pas très grand, l'importance n'est pas là car une mise en scène et des effets spéciaux beaux(pour l'époque) nous montre que Sam Raimi fait que du bons avec peu ou beaucoup d'argent!!!
Pour l'instant, j'ai adoré tous les films de Sam Raimi, donc je le considère mon réalisateur favori sans hésiter...
Pour l'instant, j'ai adoré tous les films de Sam Raimi, donc je le considère mon réalisateur favori sans hésiter...
Un très bon film totalement oublié de Sam Raimi qui ne demande qu'à être redécouvert.
Une Bd filmé et complètement assumé du réalisateur et de tous les comédiens. Il y a des plans incroyables. Un vrai plaisir pop corn ...et ça fait du bien
Une Bd filmé et complètement assumé du réalisateur et de tous les comédiens. Il y a des plans incroyables. Un vrai plaisir pop corn ...et ça fait du bien
Un film que j'ai apprécié même si il est exagéré à certains passages. L'idée d'un masque fait d'une peau véritable est bien vu. Ca reste assez commun, le gentil se venge du méchant qui lui a ruiné son visage. La fin, que je ne raconterais pas, est par contre totalement originale je ne m'attendais pas à ça du tout! Raimi fait, comme il sait le faire, du cinéma qui reste grand public tout en étant très original. Dommage que le dernier Spider Man sortit cette année n'est vraiment pas été une réussite! Encore ici le film est mièvre à de nombreux moments mais ça passe encore. Un divertissement sympathique.
Un super-héros que je ne connaissais pas ? Honte à moi !
Un généticien en pleine invention de culture de peau artificielle est involontairement pris dans le tourment d’un conflit financier entre le fisc et la pègre. Attaqué, battu, mitraillé, brûlé, défenestré, rafistolé et en partie dénervé dans un hôpital, puis auto-peaufiné par ses propres soins, il renait sous la forme d’un psychopathe défiguré et vengeur : Darkman.
Margé une influence évidente des ambiances des Pulp Magazines des années 50, et des traits de caractère et de look du Caméléon et de Cooperhead de l’univers Marvel des années 60, voici un autre mythe, original, du brave savant transformé en super-monstre redresseur de torts, reclus malgré lui dans sa monstruosité, et dont les actes de justice ne doivent leur modération relative que grâce à son ancienne personnalité.
Créé en 1990 par Sam Raimi, on y retrouve le mixage des sinistres Evil Dead et des flamboyants Spider-Man, joué par des encore jeunes premiers, Liam Neeson et Frances Mac Gormand. Hélas les successions de scènes clairement affichées dans l’excès, l’incohérence ou la clownerie lui cassent son potentiel et empêche de prendre le film au sérieux. On a pratiquement un cartoon porté à l’écran alors qu’on tient ici l’envergure sombre, brillante et violente d’un Sin City ou d’un Watchmen. J’attends un remake avec impatience.
Un généticien en pleine invention de culture de peau artificielle est involontairement pris dans le tourment d’un conflit financier entre le fisc et la pègre. Attaqué, battu, mitraillé, brûlé, défenestré, rafistolé et en partie dénervé dans un hôpital, puis auto-peaufiné par ses propres soins, il renait sous la forme d’un psychopathe défiguré et vengeur : Darkman.
Margé une influence évidente des ambiances des Pulp Magazines des années 50, et des traits de caractère et de look du Caméléon et de Cooperhead de l’univers Marvel des années 60, voici un autre mythe, original, du brave savant transformé en super-monstre redresseur de torts, reclus malgré lui dans sa monstruosité, et dont les actes de justice ne doivent leur modération relative que grâce à son ancienne personnalité.
Créé en 1990 par Sam Raimi, on y retrouve le mixage des sinistres Evil Dead et des flamboyants Spider-Man, joué par des encore jeunes premiers, Liam Neeson et Frances Mac Gormand. Hélas les successions de scènes clairement affichées dans l’excès, l’incohérence ou la clownerie lui cassent son potentiel et empêche de prendre le film au sérieux. On a pratiquement un cartoon porté à l’écran alors qu’on tient ici l’envergure sombre, brillante et violente d’un Sin City ou d’un Watchmen. J’attends un remake avec impatience.
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