Avis : Darkman - Page 3

C'est un peu approximatif dans son action, mais la mise en scène du film est bien. J'ai tout de suite accroché au personnage et le méchant a look typé. C'est classé très années 90. Parfois un peu kitsch, il est vrai. Mais la réalisation des effets spéciaux reste bonne et assez amusante, sans effets ordinateur, ce qui rend bien mieux à l'oeil. L'histoire n'est pas mauvaise, même si un peu classique. Très divertissant et pas mal amusant, notamment dans ses prises de vues. Un bon film, pour moi. Avec un effet de masque qui est TOTALEMENT repris dans "Mission Impossible 2" spoiler: Mettre un masque du gentil au méchant, le ligoter et lui mettre du ruban adhésif pour qu'il ne parle pas et se fasse tuer par ses amis
C'est du joli, ce petit plagiat ! :)

Ça ne m’étonne pas vraiment d’être passé jusque là à côté de ce film de super-héros car il est clair qu’il n’a rien de marquant, c’est en quelque sorte le Batman d’Universal (sorti un an après et qui va même jusqu’à coller Danny Elfman dans une composition musicale étrangement commune), l’intérêt est dans l’anti-spectaculaire pour ce concentrer sur l’humain et la mise en scène, et je trouve ça quand même assez sympa de voir ça aujourd’hui, le kitsch des effets de Raimi apportent d’ailleurs un charme non négligeable, bien que parfois dans l’excès (d’où son aspect relativement vieillot). Les enjeux moraux m’ont rappelé quelque peu ceux de Spawn/Al Simmons pour donner un caractère à la fois dark et bienveillant au personnage de Darkman, par contre il y a sans doute erreur de casting concernant Liam Neeson qui perso ne m’a pas vraiment convaincu, loin du charisme naturel de ses rôles futurs, dommage que Raimi n’ai pas fait appel à son acteur fétiche Bruce Campbell (même si il y va de son petit cameo). Il faut aussi avouer que ce récit de vengeance n’a plus grand chose d’intéressant quand on en constate les lignes plus que prévisibles, pas vraiment de surprises au rendez-vous, et un manque d’adversité plus qu’évident, quid du méchant de l’histoire ? Inexistant. Par contre il est tout aussi évident de voir que le réalisateur se fait plaisir, la patte Raimi est belle et bien perceptible, mais ça ne suffit malheureusement pas pour faire un vrai bon film dans sa globalité, un divertissement qui ne tient pas toutes ses promesses.

Un film fantastique différent dans lequel le spectateur ne doit à aucun moment tenter de s'identifier à un personnage, il doit rester consommateur,

Entre les deux derniers "Evil Dead", Sam Raimi réalisa en 1990 un film qui le fait un peu sortir de sa zone de confort, mais pas trop ! Effectivement, malgré le côté anti-héros, on y retrouve les thèmes phares du réalisateur, à savoir un petit côté horrifique, un petit côté gore, un humour noir assez marqué par moments et puis une mise en scène très marquée. Mais, même si j'apprécie beaucoup le réalisateur, je n'ai pas accroché à celui-ci ! C'est donc l'histoire de Peyton, un chercheur en peau synthétique, qui se fait presque tuer brûler vif par de méchants hommes de main au service d'un entrepreneur douteux. Comme se faire brûler vif, ça met Peyton très en colère quand même, il se met en quête de vengeance sous les traits de Darkman. Le synopsis n'est franchement pas trop mal, il rappelle beaucoup des œuvres plus sombres telles que "The Crow" (même si les films sont sortis après "Darkman", les comics sont parus en 1989), mais malheureusement, je trouve l'ensemble assez mal géré. Dû au style un peu touche-à-tout du réalisateur, on ne sait finalement pas vraiment sur quel pied danser. On a l'impression que le studio souhaite faire une œuvre sombre et sérieuse alors que le réalisateur souhaite la détourner par moment vers la comédie noire, voire même quelques fois horrifique. Même dans sa mise-en-scène, nous passons de quelque chose de très stylisé et très beau à des plans et des scènes très cartoonesques, à l'image (il réutilise par ailleurs quelques mêmes effets qui rappellent fortement la trilogie) de "Evil Dead 2", ce qui est très dommage car cela nous sort du film, enfin c'est en tout cas l’impression que cela m'a donné. Si j'ai donc accroché à toute la première partie du film, j'ai eu du mal à rester concentrer dans la dernière, tous ces effets ne collant pas vraiment à l'ambiance générale du film ni à l'univers se voulant au départ très sombre et sérieux. De plus, étant donné que cette quête de vengeance n'est pas vraiment originale, assumer le côté sombre et torturé à fond aurait été bien plus souhaitable. En ce qui concerne le casting, nous pouvons retenir Liam Neeson, Frances McDormand et Larry Drake qui jouent très bien ! "Darkman" est donc un film qui reste dans l'ensemble sympathique mais qui possède néanmoins quelques longueurs et qui est loin d'être le plus réussi de la filmographie du réalisateur !

Avant de s'attaquer à la saga "Spider-Man" dans les années 2000, S. Raimi avait déjà crée son propre super-héros : un génial inventeur, défiguré, qui lutte contre la pègre dans sa ville. L. Neeson lui prête ses traits et S. Raimi signe un spectacle violent, une série B qui dans sa dernière partie empile les séquences spectaculaires, certes les trucages ont mal vieillis mais quel punch, quelle énergie, quelle inventivité. La caméra de Raimi est comme toujours en mouvement, multipliant zooms, travellings et acrobaties pour un résultat stimulant. Le rythme général du film est toutefois assez ronronnant et le héros tarde à se distinguer, trop emprisonné qu'il est dans son histoire d'amour impossible. Les méchants sont par contre de pur produits de comic book, démontrant que Raimi avait déjà bien intégré le concept. On passe un bon moment, plein de fun, de répliques géniales et avec des scènes d'action enlevées. D'autres critiques sur

Avant sa trilogie Spiderman Sam Raimi s'était déjà aventuré dans le film de super héros avec ce Darkman de sa création avec cependant un esprit série B voir plus. Et pour le coup c'est amusant, il se dégage vraiment de ce film un esprit bande dessiné vraiment sympa notamment avec des méchants vraiment très méchants, le trait est poussé dans tout les aspects du film d'ailleurs mais sans que cela soit désagréable car on est face à du pur divertissement, certes fauché mais plaisant car ne se prenant à aucun moment pour ce qu'il n'est pas. Je parlais de Spiderman plus haut, c'était aussi intéressant de voir à quel point il a pu inspirer le numéro deux et trois de la trilogie, comme la scène du labo qui sera franchement reprise pour le docteur Octopuss dans le deux et le final sur le gratte ciel en construction qui fait beaucoup penser à celui de Spiderman 3. Liam Neeson s'en sort très bien dans son rôle jouant parfaitement ce personnage ne contrôlant plus ses réactions et ses sentiments. Alors oui le film a par moment des côtés mal fichus qui piquent franchement les yeux mais cela reste un bon petit film à regarder.

Beaucoup d'effets et beaucoup d'ironie, un bon thriller américain.

Basé sur un concept qui sera repris dans la saga Mission : Impossible, Darkman fait partie de ces films qui ont terriblement mal vieillis. On notera des effets gore en gélatine (comme dans Evil Dead), une caméra de mauvaise qualité (digne des série policières type K2000 sans la voiture), des décors soit sur fond vert, soit en superposant des morceaux de papier (une fois qu'on a repéré ça, on ne peut s'en détacher), des punch lines très mauvaises et un tendance à surjouer pour l'ensemble des les acteurs. Dans un sens, Darkman fait penser au mauvais Judge Dredd de 1995.

"Darkman" est l'une des oeuvres un peu oublié voir sous estimé de Sam Raimi, reconnu pour ses deux trilogies "Evil Dead" et "Spider man". Les gens crachent dessus pour un scénario déjà vu ou des effets spéciaux qui sont vieux. ça n'a gêné personne qu'"Avatar" possède un scénario déjà vu et qu'il soit incapable de transcender et prétexte à une démo technologique. Et je déteste cet argument d'effets spéciaux vieux mas bien pour l'époque, évidement qu'aujourd'hui c'est désuet mais ce n'est absolument pas important. Peu de vieux films possèdent des effets spéciaux encore efficace. Pourtant "Darkman" est l'un des rares comic book movie, qui n'est même adapté d'un comics en plus, à être réussi chose rare à l'époque pour les geeks. Mis à part "Batman" et "Superman" le film de super héros était bien naze. "Darkman" est un mixe d'influences comic book, une fusion quasi parfaite entre le neuvième art et le septième celui du movement. Usant du langage cinématographique et de ses propres délires visuels très comic book justement, Sam Raimi livre là un véritable livre que l'on regarde. Difficile de ne pas faire le lien avec "Spider man", dont "Darkman" se veut la face sombre. "Spider man" et "Darkman" sont les deux faces d'une même pièces, concocté par un brillant réalisateur passionné et intègre. Personnage principal attachant et torturé aux méthodes de justice douteuses, histoire d'amour touchante qui ne fait jamais dans le larmoyant, Liam Neeson comme d'habitude géniallissime, joli score de Danny Elfman, humour noir joyeux, mise en scène inventive, scénario brillament écrit et le look de"Darkman" inspiré de "The shadow" a une sacré gueule avec en prime un caméo de l'unique Bruce Campbell. Culte.

J'adore ce film! Neeson est excellent et raimi nous crée un mythe assez intéressant.

Je viens de m'offrir le dvd et j'ai trouvé ce long-métrage tout simplement excellent !! Un film avec une mise en scène appliquée et travaillée, un bon casting et un superbe humour noir !! Après c'est clair que le scénario vole pas haut, mais pour un film de "super-héros" c'est plus que potable... Bref, j'ai adoré, un bon point pour la filmographie de Sam Raimi.

À peine a-t-il en un rien de temps conquis une nouvelle génération de cinéphiles, adeptes du cinéma d'horreur déjanté et qui tâche, que l'intenable Sam Raimi change de registre. Tout en restant dans le cinéma de genre, l'auteur des deux premiers Evil Dead et de Mort sur le gril, comédie acide et cartoonesque, attaque les années 90 avec un super-héros que l'on croirait tout droit sorti d'un pulp des années 40... En résulte un film fantastique inédit, glauque et violent, mettant en scène un vigilante défiguré qui n'aspire qu'à la vengeance plus qu'à la justice. Ainsi naît Darkman, savant mélange de film de super-héros et de polar sombre, aux scènes d'action dantesques et aux effets spéciaux saisissants (nous sommes en 1990, ne l'oubliez pas). Le scénario nous entraîne donc dans une ville cernée par le crime organisé qui va peu à peu déchanter face à ce freak déterminé à faire payer les bourreaux responsables de son état. Dans le rôle-titre, le alors peu reconnu Liam Neeson, excellent dans la peau (brûlée vive) du Dr. Westlake et de son alter ego Darkman, chapeau feutré et long manteau noir rappelant fortement un autre héros de vieux pulp : The Shadow. Se joignent également au casting le génial Larry Drake, la brillante Frances McDormand ainsi qu'une pléiade de gueules patibulaires. Ainsi, entouré d'une belle brochette d'acteurs, Raimi s'amuse comme un petit fou à allier effets visuels et son habituel humour noir tout en conservant une trame propre, agréable à suivre et sans faux-plis. Au final, sans avoir la prétention de révolutionner quoique ce soit, Darkman demeure encore aujourd'hui une référence dans le genre et un excellent film fantastique à mettre au top de la filmographie de son atypique metteur en scène.

''Darkman'' est un film réalisé par Sam Raimi, sorti en 1990. Ce fut un succès public (49 millions de $ pour un buget de 16 millions de $), ce qui engendra deux suites directement sorties en DVD (mauvais signe). Ne parvenant pas à obtenir les droits de Batman ou de The Shadow, Raimi décide de créer son propre personnage de comics : Peyton Westlake, alias Darkman.

Peyton Westlake (Liam Neeson) est un généticien qui travaille sur la création de peaux synthétiques plus vrais que nature. Fiancé à Julie Hastings (Frances McDormand), une avocate qui dispose d'un document compromettant Louis Strack, Peyton est un jour agressé par Roger G. Durant, un tueur envoyé par Strack afin de récupérer le document. Atrocement défiguré lors de l'explosion de son laboratoire, Peyton entreprend d'assouvir sa vengeance à l'aide de ses peaux synthétiques. Il peut ainsi prendre l'apparence de n'importe qui, mais ses peaux très sensibles à la lumière fondent au bout d'une centaine de minutes !

On catalogue souvent ''Darkman'' film de super-héros. Il est vrai que ''Darkman'' en adopte parfois l'esthétisme (même façon d'iconiser à un haut degré le personnage principal). De plus, ''Darkman'' sort au cinéma alors que le genre est en plein essor : le ''Batman'' de Tim Burton est sorti en 1989 et a connu un immense succès. Et c'est lui-même qui tirera le coup d'envoi de la domination des films de super-héros avec sa trilogie ''Spider-Man''. Pourtant, c'est un aller un peu vite que cataloguer ''Darkman'' film de super-héros. La raison ? C'est simple, au contraire de Batman, Superman (et autres), Darkman ne cherche en rien à défendre la veuve et l'orphelin. Son seul but est de mener à bien sa vengeance, en sachant pertinemment qu'il ne pourra jamais revivre la vie qu'il connaissait avant. Ce personnage est sans conteste La grosse qualité du film. Il rejoint la galerie de ''mutants'' qui habite la filmographie de Sam Raimi. Que ce soit les morts-vivants de la trilogie ''Evil Dead'' ou les super-héros/ vilains de la trilogie ''Spiderman'', le cinéma de Raimi semble peuplé d'êtres physiquement ou psychologiquement différents, parfois monstrueux. On remarque à quel point un crescendo s'opère dans la part d'humanité entre les trois figures centrales de ''Evil Dead'', ''Darkman'' et ''Spider-Man''. Entre les esprits purement maléfiques de ''Evil Dead'' (dont Dakman, sans ses peaux synthétiques, ressemble physiquement) et Peter Parker/Spider-Man, tourmenté mais héroïque, Peyton Westlake se situe dans un entre-deux. Silhouette sombre constamment prête à basculer dans la folie la plus totale, Darkman est un être complètement déchiré. Raimi confère au protagoniste une véritable dualité : tantôt être humain qui tente de renouer une relation avec Julie, tantôt monstre qui n'hésite pas une seule seconde à tuer ses ennemis. C'est justement ce dernier point qui fait sortir ''Darkman'' des films de super-héros. Les super-héros ne sont pas seulement des êtres aux super-pouvoirs, mais aussi des êtres aux ''super-valeurs''. Ainsi, Spider-Man ou Batman (pour prendre l'un des plus sombres) répugnent toujours à achever les super-vilains. Ce n'est nullement le cas ici, où le protagoniste central est extrêmement violent. spoiler: Au point que le film se termine sur une note plutôt pessimiste : Peyton tue le méchant, lequel l'avait averti qu'il ne vaudrait pas mieux que lui s'il le tuait.
C'est pourquoi la phrase présente sur l'affiche est absurde : ''Aujourd'hui le crime a un nouvel ennemi et la justice a un nouveau visage''. D'une part, Peyton s'attaque uniquement aux hommes qui lui ont fait du tort, par vengeance, d'autre part il fait justice lui-même et ne sert pas une Justice avec un grand J. L'intérêt du film est là : malgré sa volonté de s'affirmer en tant qu'être humain, c'est finalement son instinct vengeur et monstrueux qui finit par prendre le dessus. spoiler: D'où la scène finale où Peyton quitte Julie (et donc la seule qui pouvait encore l'accepter en tant qu'homme) pour se mêler à la foule, sous une de ses peaux. Peaux qui ne servent désormais qu'à masquer l'absence d'identité du protagoniste, lequel abandonne son identité pour le surnom de Darkman. Et pour devenir un rejeté ne pouvant que se fondre dans la foule pour une durée limitée.


On est en fait davantage dans une bonne série b qu'autre chose. Et qui dit série b dit action. Et sur ce plan-là, le film se plante complètement. La faute d'abord aux effets spéciaux qui ont terriblement mal vieilli (en même temps, on ne peut pas s'attendre à de la folie furieuse avec 16 millions de $). De même, les scènes qui s'opposent aux séquences d'action, c'est-à-dire les scènes entre Peyton et Julie sont parfois insupportables de cucuteries (on peut ne pas aimer Frances McDormand, qui en fait toujours des tonnes). De toute façon, c'est très simple, excepté Darkman, les autres personnages ne sont pas du tout mémorables. Et les méchants n'échappent malheureusement pas à cette règle. Dans ce film d'une très grande noirceur, on pouvait s'attendre à des méchants tout aussi sombres. Or, si Durant est un dangereux psychopathe, Raimi donne au personnage (et à ses sbires) un côté comique. Un comique qui désamorce toute crédibilité : comment prendre au sérieux un méchant dont un des sbires utilise une jambe mitrailleuse ? A ce titre, Sam Raimi corrigera le tir avec son ''Spider-Man'' : chaque scène où le Bouffon vert apparaîtra sera un moment vraiment flippant.

Grâce à son personnage principal (et aux stupéfiants maquillages) ''Darkman'' parvient à se hisser au-dessus d'une simple série b. Pourtant, on ne peut s'empêcher de songer au film énorme qu'aurait pu être ''Darkman'', si le scénario était allé plus loin et si les effets spéciaux avaient été plus perfectionnés. Toutefois, ''Darkman'' de Sam Raimi possède un petit charme rétro bien à lui.

Sam Raimi livre ici, bien des années avant "Spider-Man", sa version du film de super-héros. Nous voilà donc dans un univers sombre et gothique où le brillant scientifique Peyton Westlake se fait défigurer et brûler à la suite de la destruction de son laboratoire par des truands. Survivant à ses blessures, il décide se venger tout en travaillant sur un composant qui lui permettrait de porter un masque de son visage comme on porte une peau. Si l'on peut saluer l'inventivité de la mise en scène de Sam Raimi, toujours à la recherche de nouveaux plans et cadrages à exploiter et nous offrant quelques jolis morceaux de bravoure, on peut tout de même déplorer la pauvreté d'une trame scénaristique assez classique aux méchants peu charismatiques et aux tourments du héros assez peu exploités. Reste un bon moment de cinéma, différent de ce que l'on peut voir notamment grâce à Sam Raimi et à son sens assez dingue de la mise en scène.

A la fois hommage aux comics façon 50's et référence à leur réécriture moderne, Darkman s'inscrit dans la nouvelle vague des super-héros torturés. Bien servi par Liam Neeson, jouant avec les effets de caméra kitsch, Sam Raimi déroule une intrigue des plus classiques avec un savoir-faire certain. Le résultat est des plus agréables, même si certaines impasses sont faites au niveau de l'histoire, évitant de donner une tonalité trop sombre à un film déjà chargé en la matière. A noter: la fin, subtile et puissante à la fois, et qui annonce bien des futures déclinaisons dans le genre.