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(...) il manque une réelle crudité qui renforce son propos (...) Reste une oeuvre didactique qui a le mérite de sortir de l'oubli des hommes injustement oubliés dans un paysage cinématographique encore frileux.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Vous aurez compris tout seuls comme des grands que l'acteur [Michel Serrault] aurait pu se contenter de faxer sa performance vue, revue et re-revue (...) j'ai passé l'âge ou je ne l'ai pas encore atteint...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Dans l'univers tiède et très naïf des "Enfants du pays", [la] violence des sentiments n'est qu'effleurée. Pierre Javaux lui a préféré la fable et les bons sentiments. Le thème aurait mérité plus de vigueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
A force de plongées dans un comique strictement fondé sur la différence de culture, de couleur, de langage, la teinture humaniste s'étiole pour ne révéler enfin qu'une philanthropie postiche, l'illustration démonstrative et décolorée d'une morale bien-pensante.
(...) une fable de bonne volonté, d'une épaisse naïveté, vaguement pédogogique, mais terriblement encline à ronéoter les clichés véhiculés sur les Africains.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'argument était prometteur (...) Seulement, si les bons sentiments faisaient les bons films, ça se saurait (...) un long-métrage tout juste opportuniste (...) Grossier.
Un téléfilm à l'économie qui se satisfait de quelques considérations convenues sur la tolérance et l'ouverture, et d'un hommage à peine esquissé aux Tirailleurs Sénégalais, dont le sacrifice historique mérite sûrement propos plus ambitieux.
Plans sursoulignés (une boîte de Banania par-ci, un buste de Marianne par-là), sentimentalisme impardonnable, cabotinage effréné de Michel Serrault ... Bref, ce qu'on appelle un naufrage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Une fable balourde où la candeur se fait niaiserie et où les bons sentiments (...) effarants de premier degré, sentent la " Bibliothèque rose " des années 1950.
(...) Javaux peine à approfondir son sujet de départ, ce qui donne au film un air de flottement, quelque chose que l'on voit mais que l'on oublie vite. Une forme de poésie absente d'une oeuvre dont le thème principal est la découverte de l'Autre. Dommage !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Africultures.com
(...) il manque une réelle crudité qui renforce son propos (...) Reste une oeuvre didactique qui a le mérite de sortir de l'oubli des hommes injustement oubliés dans un paysage cinématographique encore frileux.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) en dépit d'une mise en scène sans éclat et d'une interprétation inégale, [le film] recèle de jolis moments d'émotion.
Brazil
Vous aurez compris tout seuls comme des grands que l'acteur [Michel Serrault] aurait pu se contenter de faxer sa performance vue, revue et re-revue (...) j'ai passé l'âge ou je ne l'ai pas encore atteint...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le réalisateur s'enlise dans les clichés qu'il voulait justement éviter. Beaucoup de maladresses autour d'un thème qui méritait meilleur traitement.
Le Monde
Un message pour la mémoire et la tolérance, respectable mais entaché d'une grande désuétude.
Le Parisien
Dans l'univers tiède et très naïf des "Enfants du pays", [la] violence des sentiments n'est qu'effleurée. Pierre Javaux lui a préféré la fable et les bons sentiments. Le thème aurait mérité plus de vigueur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
A force de plongées dans un comique strictement fondé sur la différence de culture, de couleur, de langage, la teinture humaniste s'étiole pour ne révéler enfin qu'une philanthropie postiche, l'illustration démonstrative et décolorée d'une morale bien-pensante.
MCinéma.com
(...) sur une trame usée jusqu'à la corde et mille fois déclinée, Pierre Javaux réussit une honnête comédie dramatique. Ç'aurait pu être pire.
Positif
(...) une fable de bonne volonté, d'une épaisse naïveté, vaguement pédogogique, mais terriblement encline à ronéoter les clichés véhiculés sur les Africains.
Score
(...) un pur produit issu de rêves de rentabilité télévisuelle. Mais pas un gramme de grand cinéma pour autant.
Télérama
Un gentil film, scolaire et désuet, qui ne dérape jamais, mais patine sur force clichés.
Zurban
Si le sujet de ce premier film est original (...) le traitement n'évite pas la chronique gentillette.
Le Journal du Dimanche
L'argument était prometteur (...) Seulement, si les bons sentiments faisaient les bons films, ça se saurait (...) un long-métrage tout juste opportuniste (...) Grossier.
Ouest France
Un téléfilm à l'économie qui se satisfait de quelques considérations convenues sur la tolérance et l'ouverture, et d'un hommage à peine esquissé aux Tirailleurs Sénégalais, dont le sacrifice historique mérite sûrement propos plus ambitieux.
Première
Plans sursoulignés (une boîte de Banania par-ci, un buste de Marianne par-là), sentimentalisme impardonnable, cabotinage effréné de Michel Serrault ... Bref, ce qu'on appelle un naufrage.
TéléCinéObs
Une fable balourde où la candeur se fait niaiserie et où les bons sentiments (...) effarants de premier degré, sentent la " Bibliothèque rose " des années 1950.
aVoir-aLire.com
(...) Javaux peine à approfondir son sujet de départ, ce qui donne au film un air de flottement, quelque chose que l'on voit mais que l'on oublie vite. Une forme de poésie absente d'une oeuvre dont le thème principal est la découverte de l'Autre. Dommage !