Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 28 juin 2011
Dialogues amusants, rivalités jubilatoire, acteurs parfaits... "le diable s'habille en Prada" est un film très sympa. Assez drôle, léger, rythmé, on plonge dans le monde impitoyable de la mode et c'est un plaisir malsain et jubilatoire de voir le personnage principale se faire malmené du début à la fin. Le film aborde sans complexe et avec finesse la superficialité et l'importance (stupide) de la beauté. Meryl Streep est tout simplement excellente en chef tyrannique. Un délice.
Le Diable s'habille en Prada est pour ainsi dire vu et revu et chaque fois je valide ! Super casting, Meryl Streep et Anne Hathaway en tête de gondole mais aussi Stanley Tucci, Emily Blunt, Gisèle Bundchen ... Tous tirent leurs épingles du jeu que se soit dans les petites vacheries et dans certains passages plus délicats. Emily Blunt et Stanley Tucci brillent d'ailleurs à ce jeu. Le sourire final d'Emily est une scène que j'aime beaucoup et qui synthétise très bien les choses. La relation conflictuelle entre Miranda ( Meryl Streep exceptionnel ! ) et Andy ( Anne Hathaway qui rivalise ... ) est un autre motif de satisfaction, la conversation dans cette voiture entre l'une et l'autre et le point culminant du film. Une séquence qui dépasse du cadre et dont il est difficile de ne pas voir une forme de " passation ". En plus d’être bien rythmé et très agréable à suivre, ce long métrage fait briller ces acteurs et conjuguent les pirouettes et taquets en touts genres, notamment au niveau des dialogues ! Le prochain visionnage sera à coup sur tout aussi sympa, à coup sur !
Étonnante surprise que cette comédie qui déchire littéralement la chronique. Outre son synopsis qui n'est pas sans nous rappeler le monde que certains grands couturiers se sont construits , Le diable s'habille en prada est construit de multiples répliques faisant clairement mouche, pour le plus grand plaisir des avares de comédies du genre. Meryl Streep y est diaboliquement crédible, sans oublier le fait qu'Anne Hataway réalise ici-même une prestation de grande qualité. Tout y est pour combler ainsi que fidéliser le spectateur.
Meryl STREP s'éclate dans cette délicieuse comédie New Yorkaise, cette Miranda Priestly est cruellement drôle, surement inspirée par Cruella DENFER des 101 dalmatiens, épouvantablement snob et totalement psycho rigide, elle fascine ses employés qui sont prets à tout pour exaucer ses moindres désirs. On ne la déteste pas,elle subjugue tous ceux qui sont sous son emprise. Imaginons un duo avec le john Malkovich des liaisons dangereuses et on atteint le summum orgasmique. Ce monde de la mode sensé représenter l'originalité et la créativité est en réalité prisonnier de ses codes et de ses manies.
A la fois léger et un brin sophistiqué, j'ai découvert ce film avec mon ado de fille, et nous avons chacune été séduites pour des raisons différentes. Bien amené, sans prétention affichée, ce film nous a fait passer un excellent moment et nous a permis d'échanger sur l'image, le superficiel, la valeur au travail, les sociologies des organisations de travail .....
Adaptation du roman de Lauren Weisberger. Un sentiment mitiger après avoir vu ce film.
L histoire est d'un banal, la fin téléphoner, un peu trop facile, cependant le film a le merite de suivre la trame du roman original.
Les deux actrices principales jouent bien, Meryl Streep y campe une femme austère comme une porte de prison, cela colle très bien au scenario, Anne Hathaway y est un peu jeune et le jeux manque parfois de caractère, mais elle apporte de la fraicheur à ce film.
Très bon film, déjà vu à deux reprises. Les acteurs sont très bien choisis et leurs interprétations sont remarquables. Le scénario est je trouve intéressant et bien construit. Les clichés et la froideur du monde de la mode sont évidement exploités mais le film reste tout de même original et unique. Pas de longueur notable, le film est très fluide. Très bien écrit, le Diable s'habille en Prada n'est en revanche pas une comédie où l'on rit beaucoup, beaucoup de retenue tout de même, 5/5.
Une symphatique comédie américaine, avec Anne hathaway qui sait parfaitement jouer avec ses yeux triste et une Meryl Streep parfaite en mégère froide. Dans ce film on découvre le mondre très superficielle et snobe du monde de la mode, on voyage un peu avec de belles images de New York et Paris. Sympa mais pas indispensable.
Il faut reconnaître que, sans être la comédie du siècle (ni même de la décennie), Le Diable S'Habille en Prada aporte son lot de trouvailles et sait trouver l'humour qui fait mouche. On peut être dubitatif face à un scénario certainement bancal qui tente tant bien que mal à slalomer entre les clichés mais qui inéxorablement se jètent dans une plétore d'autres convenances de tout genre qui peuvent parfois être mal digérées. Passer cela, on peut surtout se régaler de la composition excellente de la toute excellente Meryl Streep qui confirme son statut de comédienne capable de sur-briller dans tous les genre. Face à elle, la belle Anne Hathaway reste assez sensible et convaincante, enfin les pitreries bien dosées d'Emily Blunt et Stanley Tucci apporte une certaine dose de bonne humeur à cette comédie qui, il faut l'avouer, s'avère surprenante.
bonne comédie!!!! moi qui n'avait pas du tout aimé le livre, ils ont réussi à me faire le film ce qui n'était pas gagné!!!! j'ai trouvé l'héroine bcp plus touchante alors qu'elle m'avait exaspérée dans le livre!!!!!! et puis , c'est tjs un plaisir de retrouver Anna Athaway et Meryl Streep!!!
L'héroïne est l'assistante n°2 d'une rédactrice en chef redoutable qui va lui en faire voir de toutes les couleurs. Notre petite assistante ne connaît rien au monde de la mode et elle n'attache pas trop d'intérêts aux « fringues » (A croire qu'à New York, il n'y a pas des candidates fan de mode, pour qu'elle ait pu être embauchée si facilement !) Du coup on lui fait vite comprendre qu'elle n'a aucun goût vestimentaire et qu'en plus elle est grosse (Ah oui, c'est vrai qu'elle fait une taille 40, une vraie baleine…) Alors qu'on lui a confié une mission, elle fait une erreur. Alors qu'elle essaye de se justifier, sa chef lui dit d'un regard méprisant : « les détails de votre incompétence ne m'intéressent pas » (Sympa !) L'assistante n°1 n'est guère d'un soutien puisqu'elle lui lance « c'est un travail épouvantable pour lequel tu es complètement nulle ». Elle est épouvantée par l'ambiance écrasante et dit: « Si je fais quelque chose de bien ,elle n'est pas reconnaissante. SI je fais quelque chose de mal, elle est vicieuse (…) Elle doit prendre son pied à voir tout le monde marcher anxieux, au bord du suicide » Il est vrai que, dans le monde du travail, on peut croiser des managers redoutables et des collègues qui se sont adaptés à ce calvaire de peur de perdre leur emploi. On se dit qu'il est temps pour elle d'aller voir d'autres horizons et qu'elle va démissionner pour aller travailler pour une entreprise dont l'esprit est plus clément. Eh non, notre assistante s'est convaincue qu'au bout d'un an de loyaux services, elle sera propulsée à un poste intéressant grâce à ses références. Alors, comme un caméléon, elle se modifie et finit par se mettre dans le moule. Elle en oublie pourquoi elle a accepté le poste au départ, elle néglige son père, tourne le dos à ses amis (alors que ce sont eux qui peuvent l'aider dans les coups durs !). Elle maigrit pour faire la taille 38 (là, le message pour nous mesdames est clair ! Au-delà du 40, vous êtes obèse !) Elle accepte de supplanter l'assistante n°1 (bonjour l'éthique !) elle finit par admirer sa chef (bravo, le rôle modèle !) D'accord elle se rachète dans les cinq dernières minutes du film, mais franchement j'avais déjà épuisé mon stock de compassion pour elle, et j'ai eu du mal à « acheter » cet épilogue rédempteur.