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Un visiteur
3,0
Publiée le 31 juillet 2012
David Frankel signe là un film sympathique qui dépeint l'univers corrosif de la mode et nous fait passer un agréable moment. On peut pester contre des stéréotypes et une trame peu surprenante désormais routiniers des productions du genre mais la fraicheur d'Anne Hathaway, incarnant une pauvre secrétaire harcelée par Meryl Streep, tyran de luxe, réveille un film de prime abord mou et peu inspiré. Le Diable s'habille en Prada sort du lot grâce à ces deux actrices principales mais ne peut espérer tatonner les sommets, la faute d'une réalisation trop sage et d'un dénouement convenu. Pas de quoi l'enterrer au fin fond d'une boutique de fripes mais pas assez pour s'éloigner du simple "bon marché".
Film que je regarde pour la 4éme fois entre 2006 date de sa sortie et aujourd'hui en 2012. Film génial, actrices belles tallentueuses. A voir sans hesiter.
Ce duo Meryl Streep / Anne Hathaway est juste excellent !!! Dans le film, même si le sujet porte sur la mode et toute la création avec les relations entre les différents postes, le personnage de M. Streep (tellement génial, travaillé en profondeur, super jeu d'acteur ! ) prend beaucoup plus d'ampleur, et devient le centre du film ! Excellent !
Ce film est à voir surtout pour M.Streep et S.Tucci...tous deux irremplaçables ! Les autres font de la figuration ! Dans l'ensemble, c'est contournable :p
Le monde de la mode… A la fois encencé et décrié. C’est avec cette prétention assez forte que David Frankel met en scène une jeune première souhaitant faire carrière dans le journalisme et donne certaines clés au spectateur pour déchiffrer et analyser la haute couture et les médias s’y rattachant. Comme expérience, le réal est passé par la case ‘Sex and the City’ il faut le rappeler. Aussi, la distribution est plus que prometteuse : Miranda Priestly (Meryl Streep) au départ tyrannique se révèle émotive et fragile (au dénouement et ponctuellement, la scène dure quelques minutes seulement), Andrea Sachs (Anne Hathaway) au départ cruche se révèle plutôt maline et franche. En outre, Emily Blunt (mauvaise), Stanley Tucci (énormissime car un peu caricatural), Simon Baker et Tracie Thoms complètent un casting déjà excellent. La BO donne un bon rythme avec des artistes tous très connus : K.T. Tunstall, Madonna (hommage à Vogue évidemment), Jamiroquai, Bitter Sweet, Moby et bien d’autres. Côté scénario, c’est excellent et surtout parce que la protagoniste sans cœur est d’un charisme fou : la notion du droit du travail lui importe peu tout comme la considération pour n’importe quel être vivant excepté les couturiers célèbres ainsi que les personnes avec un minimum de classe. Malgré tout, il est évident que des problèmes entre vie privée (avec son petit copain) et vie professionnelle vont arriver à Andrea tant les attentes de Miranda prennent le pas sur son temps libre. Cependant, le couple qu’elle forme avec Nate n’a que peu d’intérêt et de crédibilité aux yeux du spectateur et c’est bien dommage. De même, on peut sentir une petite gêne étant donné que la relation entre la boss Miranda et son assistante Andrea commence à tourner en rond après les deux actes consummés (Andrea moche vestimentairement parlant, Andrea tout en devenir et en alerte face aux fashion news)… A partir du moment où la jeune assistante journaliste atteint le sommet de son statut –et par la même occasion prend la place d’Emily- et que le troisième acte débute, un gros temps mort apparaît pour bien marquer un doute ou plutôt une remise en cause essentielle dans son objectif professionnel mais sans fonctionner réellement. En dépit de ces bémols tous très mineurs, l’œuvre a assurément des qualités qui font de celle-ci non seulement un bon divertissement mais aussi et surtout une bio simple et masquée de Diana Vreeland (témoignage de Meryl Streep) ou encore Anna Wintour (la plus plausible), rédactrices en chef de Vogue. Bref, un film appréciable au ton humoristique par moments mais en aucun cas une comédie satirique intense ou violente à l’égard du monde de la mode, ‘Le Diable s’habille en Prada’ s’avère plutôt être une représentation originale et intéressante de ce monde.
Une comédie sentimentale très réussite qui s’appuie notamment sur le rôle de Meryl Streep en despote absolue du milieu de la mode et de la très charmante et magnifiqe Anne Hathaway.
Un film franchement cool ! Meryl streep est juste super et anne hathaway et très bien. Le seul ennuie c'est ........ Je ne sais pas mais j'adore comme même
Attention tout le monde sous la moquette, Miranda arrive. La secrétaire en titre croule immédiatement sous la charge des consignes débitées de manière doublement chaloupées par le débit et la démarche d’une responsable au regard vague.
Andréa nouvelle recrue se doit de lire entre les lignes d’un texte hiérarchique constamment remanié, les classes sont dures, plusieurs urgences sont programmées en une seconde, quinze minutes pour déjeuner, cellulite à bannir, courses folles dans Manhattan bien souvent inutiles, gestion à la volée de fourrures et de sacs à main projetés avec désinvolture sur les bureaux.
Rituels à respecter lors de livraisons à domicile, être sur le pont vingt quatre heures sur vingt quatre, Miranda est au fond de votre poche galbée dans la dernière technologie de dépendance en circulation.
Il faut penser mode, se munir artificiellement du concept même en exécutant des taches subalternes, se prendre en main, encaisser les remarques désobligeantes, rebondir par l’orgueil, se transformer pour enfin basculer laminée mais conquise dans un univers impitoyable : la soumission à l’enseigne et ceci jusqu'à épuisement.
On ne travaille pas dans l’univers de la mode, on est la mode, il faut être à la hauteur vestimentairement parlant même si le salaire ne le permet pas, pour cela il est nécessaire de se laisser rabaisser en espérant des remords d’une personne déterminante ayant accès au stock de robes.
A la réflexion « Ma vie privée ne tient plus qu’à un fil » on entend « Parfait c’est ce qui se passe quand on fait bien son travail ».
Le petit copain des années sandwiches est sacrifié, les tentations sont fortes à condition de ne voir que soi, on ne pense plus qu’au job, à L’extérieur de cette sphère, tout est approximatif.
Certains reconnaîtront une journée standard de leur quotidien. Cette gentille petite comédie américaine atténue au maximum un sujet dramatique. Les américains ne savent pas faire des films douloureux, ici tout est soft, plaisant sans conséquences ni vibrations.
Néanmoins cette petite oeuvrette transporte dans ses soutes un véritable débat sur l’aliénation professionnelle ou la pire des difficultés est d’être soi-même dans un monde ne permettant pas de se construire hors de l’enseigne.
Si vous avez quelque chose à dire gardez le pour vous, si vous avez quelque chose à faire faites le pour moi.
Au départ la situation est simple « Au job qui paie le loyer » trinquent ces jeunes avant de pénétrer sur le ring de l’investissement corporel et cérébral ceci pour toute une vie ou il faudra apprendre à se soumettre puis conquérir afin d'éviter d'être broyé, c’est la loi.
A la contemplation d’Andréa libérée Miranda un instant éveillée s’offre un sourire en reprenant sans trop tarder un visage de cire sur la route de l’autodestruction. "
alor sa jadore c tro cooooollll mai le truce c ke c pas nn c rien pardon jadore mai je ne le trouve pas dan les magasine jai fai tou les magasine (carfour intermarche..........)mai je ne le trouve pa alorre si vou savier ou sai contacter moi o (06 72 11 03 15 y merci davance
Ce sont des très bons acteurs qui sont réunis là, mais la sauce n'a pas bien pris. La fin est plate, pourtant ça aurait pu être bien ! Le rendu du monde de la mode est très drôle cependant, surtout au début.
Avec "Le diable s'habille en Prada", réalisé par David Frankel (Tous les espoirs sont permis, Marley et moi)), on retrouve un de ces films américains, léger, divertissant et dont la cible principale est la gente féminine et je dois dire que j'ai plutôt bien aimé. Les personnages sont attachants et tous très bien joués avec Anna Hathaway, Emily Blunt et bien sûr Meryl Streep qui joue sont rôle à merveille. Le film n'a pas de temps morts, le scénario est bien écrit, et la morale de fin est plaisante également. Cependant, le film perd un peu de sa saveur à partir du deuxième visionnage. Un film sympathique donc, à voir au moins une fois.