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4,0
Publiée le 31 mai 2021
Fraîchement diplômée, Andrea débarque à New York et décroche le job de rêve en tant qu'assistante de la tyrannique rédactrice en chef d'un magazine de mode.
C'est David Frankel (Beauté cachée) qui adapte le roman de Lauren Weisberger. Le scénario a été écrit par Aline Brosh McKenna (Nouveau Départ). Le film a été nommé à deux Oscars, Meilleure actrice et Meilleurs costumes.
Avant de mettre cette comédie, j'avais énormément de préjugé. Je pensais avoir un contenu où, si on n'aime pas la mode, ça serait une horreur à regarder. Pourtant pas du tout. Pas besoin de s'y connaitre pour apprécier avec plaisir.
Vous l'aurez compris, le thème de la mode ne va pas être envahissant. En réalité, cela va servir de trame de fond pour appuyer le récit. Celui-ci aurait pu se passer dans un autre domaine, même s'il est vrai que ce milieu est connu pour ses dérives.
Le rythme va être soutenu dans le récit de cette jeune assistante. À aucun moment je ne me suis ennuyé. J'ai été facilement pris par l'histoire.
Elle va représenter la face cruelle du monde du travail. J'avais de la peine pour Andrea. On va endurer avec elle toutes les misères que lui fait vivre sa boss.
Ce film va donc se transformer en une belle symbolique du sacrifice pour le travail. Cela en vaut-il la peine ? Jusqu'où peut-on pousser la limite ? La vie ne doit pas se résumer à "métro-boulot-dodo". Vouloir atteindre ses rêves est très noble, mais on ne peut pas tout accepter et sacrifier la relation avec ses proches. Finalement, même si par moments j'ai rigolé, on est plus devant un drame qu'une comédie selon moi. Il y a un sens profond.
Je veux saluer les sublimes performances des actrices. La grande Meryl Streep montre l'étendue de sa grâce. Quant à Anne Hathaway, elle a une fougue touchante. Le casting secondaire est tout aussi qualitatif avec Emily Blunt et Stanley Tucci.
Ce fameux " diable " du titre, n'est autre que Meryl Streep. Et la grande actrice n'est jamais aussi géniale que dans ces petits rôles. Sans elle, le premier long métrage de David Frankel n'aurait pas retenu notre attention plus de quelques minutes.
Film culte de chez culte, Le Diable s'habille en Prada est la comédie romantique ultra glamour sur le milieu de la mode par excellence. Tout d'abord le casting 5 étoiles: Anne Hathaway, Emily Blunt et Stanley Tucci offre au film un cachet incroyable mais la performance du film revient à Meryl Streep, divine dans le rôle de la tyrannique Miranda Priestly. La bande son est exquise et ajoute au film une touche pétillante. Les répliques sont cultes, la réalisation est belle et les costumes superbes. A voir de toute urgence si ce n'est pas déjà fait.
Le Diable s'habille en Prada de David Frankel est une petite satire gentillette du monde de la mode, et au passage, une franche adaptation de la romancière Lauren Weisberger. Au premier abord, le public masculin bien viril pourrait se sentir menacer devant de telles intentions, et bien force est de constater que celui ci ne manque pas d'intérêt. Originalité n'est peu être pas son mot d'ordre, mais la mise en scène est amusante et captivante. Une grande partie du scénario gravite autour de deux personnages radicalement différents. Il y a d'un côté cette figure emblématique du monde de la mode, prêtresse glaciale de la haute couture, j'ai nommé Miranda Priestley! Une illustre personnalité influente, directement inspiré d’Anna Wintour, directrice en chef du magazine Vogue, ici changé en Runway. Ce rôle interprété par la formidable Meryl Streep n'est pas qu'une caricature. Celle ci lui offre un réel charisme, beaucoup de classe et d'élégance. Le genre de personne que l'on aime détester. Et de l'autre, l'assistante potiche et ordinaire qui deviendra rapidement la chouchoute de la patronne. Celle ci se laisse littéralement absorber par le milieu, et en oublie peu à peu ses principes fondamentaux, devenant ainsi une diablesse prête à tout pour réussir. Le charme maladroit d’Anne Hathaway est assez irrésistible. D'ailleurs, cette morale n'est pas si racoleuse; no pain, no gain en d'autres termes, et avant tout, ne pas oublier qui l'on est vraiment. Les seconds rôles apportent tous leur pierre à l'édifice, et on ne s’ennuie pas une seconde, c'est indéniable. Du cinéma girly, certes, mais intelligent. A voir donc. 3,5/5
Comment ternir les étoiles de la haute-couture, du luxe, de la presse, et de la mode ? Sans savoir si David Frankel s’est réellement posé la question, le réalisateur a trouvé matière à réponse dans le roman éponyme de Lauren Weisberger que la scénariste Aline Brosh McKenna a adapté pour l’occasion. Pour illustrer cette réponse, rien de mieux que de faire une affiche partagée en deux, avec d’un côté une femme mûre tirée à quatre épingles, et une jeune femme quelque peu encombrée de l’autre, une affiche soulignée par quelques mots menaçants et sensés donner le ton : "Un job d’enfer. Une boss infernale". Autrement dit, on nous promet du lourd. Et pour assurer le lourd, autant faire appel à un casting prestigieux. Dans le rôle de la femme mûre, Meryl Streep nous étonne dans un rôle dans lequel on ne l’attendait pas. Loin, très loin de ses rôles inoubliables de "Out of Africa" ou de "Sur la route de Madison", elle représente ici une éminente rédactrice en chef du magazine féminin le plus influent au monde. Face à elle, une jeune comédienne de la nouvelle génération : Anne Hathaway. Elle prête ses traits à Andrea, une jeune journaliste obtenant un job d’enfer pour lequel des millions de filles tueraient pour l’avoir. L’une est sophistiquée en ne jurant que par les marques de luxe (et encore), l’autre est l’antechrist de la mode en s’habillant chez… on va dire l’équivalent de La halle aux vêtements. Tel un passage de témoin entre les deux actrices, l’une sait tout des rouages la mode, des ateliers de création à l’inondation des boutiques bon marché, l’autre en ignore tout. Si Meryl Streep a fière allure dans le rôle de la boss infernale, Anne Hathaway prête souvent à sourire devant ses attitudes qui font penser au chien-chien à sa mémère qui se démène comme un beau diable pour satisfaire sa patronne. Les deux personnages n’ont rien en commun, sauf le caractère : un caractère bien trempé. On se dit alors que plus ça va aller, plus ça va faire des étincelles. Il y en a oui, mais pas autant qu’on pourrait s’y attendre, simplement parce qu’il y a un arbitre de choix, campé par un Stanley Tucci irrésistiblement sympathique, doté qu’il est d’un humour tout en finesse. Et pourtant, l’autre assistante n’a de cesse d’essayer d’alimenter les rancœurs avec un malin plaisir, par l’intermédiaire d’Emily Blunt dont on se demande si ce n’est pas elle le diable… Ce qui ressort avant tout de ce long métrage, c’est l’apparente ambiance bonne enfant qu’il y a eu sur le plateau de tournage. Il en ressort une comédie fraîche et légère, mais cela a un inconvénient de taille : l’aspect grinçant et satirique ne ressort pas suffisamment. Cela en fait une comédie plaisante à suivre, gentillette, mais tout de même un peu mal ajustée. Nos dames devraient cependant y trouver leur compte, et ce malgré la petite touche de moralité typiquement hollywoodienne. Quant aux hommes, ils devront retenir une chose : c’est que le luxe a vite fait de faire tourner les têtes, surtout quand il y a un blondinet plus ou moins bellâtre qui débarque avec son sourire toutes dents dehors et qui se croit irrésistible. Non mais ! Ca m’énerve !! (en plus, perso, je ne le trouve pas terrible, hein… si ? mais nooon, non, non et non !).
exellent film! Meryl Streep et Anne Hathaway sont exellente chacune dans leur rôle!!!!!!!!!! a film a voir sans attendre pour le plaisir des yeux, les actrices et surtout pour le sénario....
Le diable s'habille en Prada est une comédie à la structure hollywoodienne toute prémâchée : le coup du poisson hors de l'eau, un canevas auquel il suffit d'appliquer un milieu particulier et adapter les gags. Chaque nouvelle scène est donc anticipée par le spectateur bien habitué au menu, incluant plein de seconds rôles horripilants et sans aucune gourmandise de réalisation. En outre, le seul intérêt potentiel du film n'est pas vraiment exploité : le personnage incarné par Meryl Streep est bien loin d'être aussi démoniaque que ce qu'on nous annonce (on n'évite pas les affreuses scènes tentant de justifier son attitude odieuse ou celles nous la montrant sous un autre jour). Si par-dessus le marché on se contrefout de la mode, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent en attendant que la fin du film vienne vous inviter à disposer.
Une très bonne interpretation du roman de Lauren Weisberger . Le casting est parfait ( particulierement Meryl Streep ) . Mode , Drame , Romance , Humour sont au rendez vous : Andreâââ ! Apportez moi mon café !
Film très sympathique!L'histoire n'était aussi banale qu je le pensais! Meryl Streep est très glaciale dans ce film et l'héroïne est très attachante! On passe un bon moment !
Histoire gavante et sans aucun intérêt, Merryl Streep est insupportable tellement elle surjoue, quand à Anne Hathaway son sourire et son talent nous font retarder le moment où l'on va lâcher l'affaire, jusqu’à ce qu'une scène débile nous fasse deviner ce qui va se passer pendant l'heure restante. Il devient alors inutile de continuer à perdre notre temps.
Un des meilleur film que j'ai vu cette année De la méchanceté, de la mode et les(jolies et exentriques) employées de RUNAWAY font de ce film 1h30 de bonheur