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Le pari est osé mais réussi, grâce à une candeur jusqu'au-boutiste, et à un parti pris esthétique qui marche, des décors nimbés de voiles et de blancs éclatants.
(...) magie particulière naturelle au ballet, mais parfois excessive pour le cinéma. Le film comblera en tout cas les petites filles et les fans de danse.
(...) un conte de fées gentillet et pas très abouti mais ces faiblesses sont compensées par une poésie touchante, une esthétique sensuelle et une chorégraphie dépouillée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Si l'hommage à la danse est sincère, le documentariste confirmé qu'est Nils Tavernier n'a malheureusement pas l'habileté ni de talent particulier pour filmer ballets et danseurs.
(...) les scènes de danse - vieillotes - ne décollent pas vraiment, alourdies par le rythme poussif de la mise en scène et une laideur esthétique qui encroûte le conte dans une ringardise cucul
Avec son message intemporel (...), "Aurore" marque quelques points sur le terrain de l'originalité et de l'état d'esprit. Malheureusement, et malgré un final sur des nuages, ça ne décolle jamais ...
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Parisien
(...) Nils Tavernier se sert de la danse, merveileusement filmée, pour peindre les sentiments à petites touches.
MCinéma.com
Le pari est osé mais réussi, grâce à une candeur jusqu'au-boutiste, et à un parti pris esthétique qui marche, des décors nimbés de voiles et de blancs éclatants.
Télé 7 Jours
[Nils Tavernier] revient au merveilleux pays des entrechats avec ce conte, dans la veine du Peau d'âne de Demy.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) magie particulière naturelle au ballet, mais parfois excessive pour le cinéma. Le film comblera en tout cas les petites filles et les fans de danse.
Paris Match
(...) un conte de fées gentillet et pas très abouti mais ces faiblesses sont compensées par une poésie touchante, une esthétique sensuelle et une chorégraphie dépouillée.
Première
Efforts louables, mais cruel manque de maîtrise.
Zurban
Si l'hommage à la danse est sincère, le documentariste confirmé qu'est Nils Tavernier n'a malheureusement pas l'habileté ni de talent particulier pour filmer ballets et danseurs.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Surprenant de naïveté, mais dépourvu de mièvrerie. (...) Pour très jeune public et fans de danse classique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) les scènes de danse - vieillotes - ne décollent pas vraiment, alourdies par le rythme poussif de la mise en scène et une laideur esthétique qui encroûte le conte dans une ringardise cucul
Score
Avec son message intemporel (...), "Aurore" marque quelques points sur le terrain de l'originalité et de l'état d'esprit. Malheureusement, et malgré un final sur des nuages, ça ne décolle jamais ...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le scénario naïf sert de frêle tuteur à des numéros chorégraphiques. Il ne comblera que les peties filles rêvant d'une carrière à l'Opéra.
Télérama
(...) une naïveté assumée, touchante, mais maladroite.
L'Obs
(...) un scénario qui oscille entre mièvrerie et féérie anti-sulpicienne. Cette "Aurore" est un affligeant crépuscule.
Le Monde
(...) les chorégraphies d'une musique terre à terre, (...) décors trop mièvres pour être kitsch.
Ouest France
(...) le résultat est d'une niaiserie confondante à laquelle il est difficile de croire et de vibrer.