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NeoLain
5 001 abonnés
4 741 critiques
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3,0
Publiée le 4 mai 2012
Non non lisez bien ! Le titre est Fierrot le pou et non pas Pierrot le fou d'un autre cinéaste célèbre. Premier court-métrage de Kassovitz qui déjà bien à son aise et donne du ton. Déjà aussi, il hésite pas à se montrer en tant qu'acteur, il joue ici un gars maladroit en tentant des jongles et paniers au basket. Apparait une femme qui elle marque panier sur panier, Kasso tente de la séduire.
Un joli court métrage tourné en noir et blanc dans lequel un jeune homme tente de séduire une jeune fille durant un entraînement de basket. Sans dialogues, le film est bien réalisé et sait se faire très agréable. Très réussi.
Un court-métrage sympa avec une technique déjà affirmée de la part de Mathieu Kassovitz même si tout cela ne raconte pas forcément grand-chose. Intéressant et déjà proche de "La haine".
Le premier court de Mathieu Kassovitz, est en noir et blanc pour donner vie à une histoire banale, il arrive à rendre attachant son personnage en 2 minutes. Drôle, beau, réussi.
Je ne suis pas un inconditionnel des courts métrages. Je pense que ce format est idéal pour les expérimentations stylistiques mais qu'il ne laisse pas le temps d'y pénétrer et de s'y attacher ( exceptions : Un Chien Andalou de Bunuel et The Big Shave de Scorsese ). Fierrot le Pou ( l'hommage à Godard est frappant : Kasso n'a jamais caché sa passion pour la Nouvelle Vague ) est donc le premier film de Mathieu Kassovitz : un essai assez inintéressant dans son contenu ( un pauvre type qui joue au basket pendant sept minutes sous prétexte de draguer une minette ) qui manque de rythme. La mise en scène est probablement travaillée mais elle demeure inefficace et répétitive. Tourné en Noir et Blanc, Fierrot le Pou ressemble à une vulgaire publicité pour Adidas dans laquelle le jeune Mathieu s'évertue à trouver son style. En définitive, ce court métrage s'oublie très vite, surtout quand on voit le travail que le jeune cinéaste a réalisé par la suite ( La Haine et le cultissime Assassin(s) ). Quelconque.
Ah la la Fierrot Le Pou est un court métrage avec Mathieu Kassovitch qui m’a particulièrement intrigué durant le visionage, sans dialogue avec de beaux mouvements de caméra et une ambiance pleine de vide j’étais scotché, tout ça pour que cela me laisse sur ma fin. Je n’ai pas compris ce que le film essayait de dire. Une forme séduisante pour un fond inexistant. A voir tout de même
Cette comédie sans dialogues réalisée par Mathieu Kassovitz est faite avec beaucoup d’humour. Le noir et blanc ne nuit absolument pas au sujet. Les personnages sont attachants, Solange Labonne est très naturelle. Le pitch : Sur le terrain de basket, un jeune joueur s’entraine au panier…
Un court métrage qui montre 2 jeunes faire du basket disons que l'on peut bien observer et de près les entrainements. Je le déconseille aux moins de 3 ans. 3/5
Le premier court métrage de Mathieu Kassovitz Fierrot le Pou est un bon début mais qui a mon sens est trop simpliste, il raconte l'histoire d'un homme interprété par Mathieu Kassovitz qui essaie de tenter de séduire une femme pendant un entraînement de basket mais ce dernier est ridicule comparé à elle et enchaîne les bourdes.
Le montage est plutôt bon et les plans sont sympa aussi avec des plans pied et gros plan pour bien voir la re'contre des deux personnages et les jugements que ces deux derniers se portent, les acteurs sont très moyen par la faute du budget mais cela est vite excusé par la suite vue la carrière de Kassovitz.