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Parkko
159 abonnés
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2,5
Publiée le 7 juillet 2012
Une famille bloquée en plein désert. Personne à l'horizon. Ou du moins, c'est ce qu'ils pensent. Voici le cadre de ce film d'horreur, remake d'un ancien de Wes Craven. Là où le film surprend c'est que contrairement à beaucoup de films du genre, il y a un mec qui a l'air de savoir ce qu'il fait derrière la caméra. Alexandra Aja a, il faut le reconnaître, une certaine façon habile d'installer la tension. Malheureusement, le film manque cruellement d'originalité mais en plus de ça, Alexandre Aja ne laisse jamais complètement la tension s'installer. Par un montage trop soutenu, il perd une grande partie de ce qu'il tente de faire et se contente trop souvent de remplir un cahier des charges simples et routiniers plutôt que de vraiment aller jusqu'au bout de sa mise en scène. Dommage.
Une route pour la mort, Alexandre Aja le fils d'Alexandre Acardy ce n'est pas rien qui lui apprit toute les ficèles, conduit Ted Levine, Émilie de Ravin, et Kathleen Quinlan dans les bras méconnaissable de Micheal Bailey Smith qui leur faire vivre l'enfer démesuré, et une mention spéciale à Dan Byrd et Aaron Stanford pour leur interprétation vers la gravité. Une réalisation maîtrisé qui m'a fait vomir et une crise cardiaque, et il en faut beaucoup pour y arriver. Choisir bien son chemin dans un désert désertique à l'avenir est la bonne option. Des scènes cultes et ultra choquantes, gore à souhait, du suspens sidérants et un revirement de situation salutaire et jubilatoire ! Vue les testes de bombes nucléaires et radioactives que les américains font je comprend quand même leur colère à ses montres malgrés eux! D'autre réalisateur ont essayé depuis d'égaler ce film et personne n'y est vraiment parvenue. Des messages derrière tous ça c'est les hommes protège les femmes et que la bêtise de l'armée américaine complètement débile et incontinence! Un belle hommage au grand Wes Craven!
Comment parler de La Colline a des yeux comme une référence du film d'horreur. Absence flagrante de suspense, c'est beaucoup plus gore qu'éprouvant. Certes, l'histoire familiale est pas mauvaise et très pertinente, le film ne fait pas peur. Au final, c'est l'abus de sang et de tuerie, mais c'est tout.
Ca met une plombe à démarrer, et quand ca démarre on regrette presque cet instant tant ce tas de niaiseries va loin dans le stupide. Le scénario ? Ah bon il y a un scénario ? Jeu d'acteur ? Ah bon ce sont des acteurs ? Bref à éviter, tant l'on sombre dans la caricature, la bêtise, la niaiserie et l'invraisemblance de situation.
J'ai trouvé ce film on ne peut plus nul!!! C'est censé faire peur? Mouais, effet pas très réussis de mon côté. Les mutants qui y sont représentés sont ridicules, pas d'autres mots pour les qualifier. "Du sang, en veux-tu? En voilà!"...gore et rien de plus. De l'hémoglobine et de la violence gratuite...ça n'a aucun intérêt. Ce film est cliché à mort, un manque cruel d'originalité! A classer dans la lignée des films tels que "Saw", "Hostel" etc...Bref, pour apprécier ce film, il faut être adepte du genre! Je n'ai vraiment pas aimé!
Alexandre Aja, véritable fan du genre était bien placé pour réaliser un remake du film culte de Wes Craven mais malgré la tension qu'il arrive à rajouter, il ne peut sauver l'histoire qui manque cruellement de rythme dans sa première partie. Les personnages sont relativement manichéens et la morale (la victime qui devient bourreau) est vraiment poussiéreuse. On ne s'attache pas aux personnages et on a même une légère envie de stopper le film quand vient la deuxième partie, diablement plus efficace dans sa violence et son rythme, venant relever le niveau et maintenant l'attention jusqu'au bout. Et les décors sont vraiment superbes.
Un remake utile qui prouve que Alexandre Aja est vraiment barré dans sa tête (après son “Haute Tension” bien gore). Son film est vraiment déguelasse mais au bon sens du terme puisqu’un traitement trop polissé aurait nui au propos. Mais la réussite de ce remake ne tient pas que dans sa mise en scène flippante et ses monstres répugnants (mais tellement humains). Il doit énormément à la qualité de son casting surtout Aaron Stanford vrai clone du réalisateur et hallucinant de maturité (il est loin de Pyro le gamin de X-Men) et Ted Levine parfait archétype de l’Amérique républicaine de Bush. Seul le rôle complètement sacrifié de Billy Drago est regrettable (on aurait aimé en savoir plus sur sa vie et la façon dont il a élevé ses gosses). Certaines scènes sont vraiment traumatisantes (l’assaut de la caravane par les mutants, la mort du père, le réveil du gendre dans le frigo plein de restes humains...)
Une Fois n’est pas coutume, enfin un remake d’une excellente facture. Alexandre Aja, jeune réalisateur de 28 ans ne se contente pas seulement de d’adapter paresseusement ou d’améliorer à grand renfort d’effets spéciaux.
Il impose sa griffe mordante, il s’approprie l’œuvre. Il nous la livre brutale, calibrée et assumée au point de nous faire suffoquer à force d’anxiété ou d’écœurement. Traité à la manière d’un western horrifique et réaliste, ce survival joue sur la réflexion autant que sur le visuel. Face à une telle situation, tous les principes explosent. Le spectateur est en permanence mis à contribution : que ferait-il en pareille circonstance ? Se sent-il capable d’anticiper et de provoquer une cruauté plus intense que celle des agresseurs, juste par instinct de survie ? C’est là toute la profondeur du traitement. Pas de complaisance, ni de gratuité, « la colline a des yeux » se pose comme une évidence malgré son message parfaitement incorrect. Si le fond est impeccablement dominé, la forme n’est pas négligée non plus. Le montage incisif, les scènes parfois speedées, la photo granuleuse dans l’action participent à l’effervescence générale. Sentiment accentué par une bande son sagace entremêlée de réverbérations stridentes et d’une musique tantôt onirique, tantôt menaçante. Le casting, impeccable, dirigé d’une main de maître, donne à chaque personnage une consistance réelle et profonde. Bref ce film est certainement l’un des plus accomplis dans le genre depuis quelques années. Une insolente et ahurissante réussite qui laisse pantois !
Dès le début on arrive à créer une ambiance assez préoccupante avec une idée d'histoire un peu différente, et tout le long la réalisation est bien faite. Après il y a comme souvent des actions pas très plausibles et c'est parfois mou, mais dans la dernière partie il recommence à y avoir de l'action et là ça fait plaisir sans parler que les amateurs de gore se régaleront! Mais bon pour ma part je trouve que le gore ou du sadisme (avec entre autre le bébé) ça facilite beaucoup des réactions et la satisfaction chez le spectateur, même avec un film moyen, ce qui les aide donc beaucoup.
Remake du célèbre film de Wes craven, la colline a des yeux de Alexandre Aja surpasse son prédecesseur. Les scènes chocs s'enchainent et nous entrainent dans un précipice de terreur. Rien ne nous est épargné. Film glauque, immoral dans une ambiance vraiment malsaine mais, et c'est là qu'est le génie d'Aja, l'histoire ne tombe jamais dans le ridicule ou le stéréotype. C'est une véritable montée d'angoisse qui ne s'arrête qu'au dénouement final. A ne pas mettre devant tous les yeux.
Le film garde de la version de Craven un réalisme et une brutalité assez traumatisants mais Aja y ajoute un rythme, une virtuosité filmique et quelques sous-entendus politiques pour le moins bienvenus.Il dresse le portrait assez juste d'une famille américaine moyenne, typique d'une Amérique policée, chrétienne, bourgeoise et normative... L'Amérique de California Dreaming, (tube emblématique et ici très ironique des Mamas & Papas) pas plus attachante que vraiment antipathique... Puis il confronte cette famille au plus violent des assauts, lors de la déjà mythique scène de la caravane... Cette famille se défendra et comme dans tout bon survival. Mais le plus passionnant est comment Aja épingle cette famille américaine et l'étudie à la loupe tel un entomologiste. Les agresseurs ne se contenteront pas d'agresser, ils crucifieront, bruleront et profaneront les membres de cette tribu US (et notamment le père) et lorsqu'Aja nous dévoilera qui sont ces "monstres" le film prendra alors une tournure politique encore plus marquée, digne des chefs d'œuvres des années 60 et 70 de Carpenter à Romero... L'Amérique a créé des monstres (expérimentation nucléaire) et a fait de ces dégénérés cannibales sadiques et sanguinaires des laissés pour compte qui luttent - à leur manière - pour leur propre survie et se révoltent contre l'Amérique bien pensante en la massacrant et en la dévorant... La métaphore est à peine voilée par l'action frénétique du film et une scène à ce titre, est mémorables : le drapeau américain et sa bannière étoilée plantée dans un crane. Et la famille américaine nourrie au biberon de l'autodéfense se battra bravement et perdra, sans doute dépassée par ces forces du mal. Le film souffre certes de quelques faiblesses, il est un peu roublard, parfois ambigu et l'on peut regretter le sacrifice ausi déplaisant que ridicule de la petite Ruby, seul personnage positif des "freaks". Mais ce film, vraiment terrifiant est d'ors et déjà un classique, alors pourquoi pina
Alexandre Aja, fils du cinéaste Alexandre Arcady, sattaque, à Hollywood à un remake du film culte de Wes Craven, « La Colline a des Yeux ». Pari risqué, mais pari plutôt réussi. Ce chef-duvre du film gore possède un scénario dans les canons du genre. Un couple, pour fêter son anniversaire de mariage, emmène toute sa famille traverser les grands déserts américains en caravane. Une longue route désertique est leur seul horizon. Un vieux pompiste dégénéré leur indique alors un raccourci permettant déconomiser de précieuses heures. Evidemment cest un piège, et en lempruntant la famille va se retrouver prisonnière dune tribu de dégénérés difformes qui nont quun seul but : transformer ces dodus touristes en chair comestible. Sengage alors un combat sanglant qui fera de nombreuses victimes. Ce nest évidemment pas à un film gore quon demande de philosopher. Celui-ci remplit très bien son cahier des charges : faire peur, tout en respectant les codes et la grammaire du film dhorreur classique. Respectueux du film de Craven tout en le modernisant légèrement, Aja sen sort avec les honneurs, grâce à une mise en scène à la fois nerveuse et classique, sachant gérer avec parcimonie ses moments de tension et de défoulement.