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    Douce nuit, sanglante nuit 3 : coma dépassé
    Note moyenne
    1,8
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    4 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 657 abonnés 12 397 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 décembre 2023
    Les rêves ne sont pas toujours agrèables! Essayez de vous en rappeler [...] On pouvait faire difficilement pire que le nullissime "Silent Night, Deadly Night Part 2" sorti en 1987! il est parfois bon et même salutaire de tourner rapidement un nouvel opus pour oublier ce gros plantage! Ainsi naquit deux ans plus tard, "Silent Night, Deadly Night III : Better Watch Out !", avec Samantha Scully (aux faux airs de Jennifer Connelly) en jeune femme aveugle qui fait ètat d'ètranges visions! Pas vraiment de Père Noël assassin ici mais plutôt un serial killer avec un cerveau reconstituè grâce à un casque en plexiglas de sorte que le coeur fonctionne! Rires garantis! La dècouverte de ce troisième volet est de taille, car en dèpit du joli minois de Samantha Scully, l'essentiel du film est un bonheur pour les aficionados du nanar du slasher! Un slasher de Noël (sacrèment dèviant) commencè si bien en 84! On peut toujours se consoler avec les thèories scientifiques fumantes de Richard Beymer ("West Side Story") et la poitrine de Laura Harring ("Mulholland Drive)...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 170 abonnés 7 493 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2021
    Alors qu’on l’avait laissé pour mort dans le précédent opus, on retrouve finalement Ricky à l’hôpital. C’est devenu un légume (dans le coma) où le Dr. Newbury n’a rien trouvé de mieux que de tenter de lui reconstituer le cerveau (imaginez un dôme transparent sur le crâne, à travers lequel on verrait son cerveau flotter dans un liquide rougeâtre). Ce dernier parvient à rentrer en contact psychique avec Laura, une voyante aveugle (vous suivez toujours ?), quelques temps plus tard, le soir de Noël, Ricky a enfin daigner se bouger le cul, parvient à sortir de son coma, à enfiler un costume du Père Noël et (oh, surprise !) va de nouveau trucider tout ce qui lui tombe sous la main et ce, avec une aisance déconcertante (je vous mets au défi d’arriver à vous lever de votre lit après 6 ans de coma).

    Bref, alors que l’on pensait avoir atteint le summum de la "fils-de-puterie" avec Douce nuit, sanglante nuit 2 (1987), Monte Hellman (Macadam à deux voies - 1971) et ses scénaristes se sont donnés pour défis de relever le niveau et de nous entuber une fois de plus. En l’espace de 3 mois, le film a été écrit, réalisé & monté, comment dans pareille circonstance ne pas être surpris du triste résultat ?

    Comme pour le précédent opus, on est face à une pure opération mercantile (comme pour le précédent opus), visant à réaliser un film pour le marché de la vidéo, surfant sur le succès (et le badbuzz) rencontré par le premier opus en 1984. Et à la vue de ce merdier, on ne comprend même pas qu’il ait pu voir le jour. C’est mauvais et écrit par des tâcherons, entre l’absence de suspense et une distribution catastrophique (mention spéciale tout de même à Bill Moseley qui se ridiculise avec son bocal sur la tête et la pitoyable (bien que ravissante) Samantha Scully qui joue comme une empotée et n’est même pas foutue d’être crédible en "scream queen").

    Il semblerait que la saga soit définitivement en train de couler, reste à savoir maintenant ce que valent les deux autres opus (1990 & 1991) mais n’ayant aucun lien avec les précédents, ainsi que le remake (2012).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Shawn777
    Shawn777

    578 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Bon, j'ai enfin réussi à mettre la main sur ce troisième épisode de la franchise "Douce nuit, sanglante nuit", seul opus que je n'avais donc pas vu jusqu'à présent. Réalisé par Monte Hellman et sorti en 1989, je m'attendais honnêtement à bien pire ! En effet, après un premier opus assez fun, un second film complètement raté, un quatrième qui part dans des délires sans queue ni tête (et qui n'a surtout aucun rapport avec le reste de la franchise), un cinquième marrant mais mauvais et un remake également raté, ça ne présageait rien de bon pour cette troisième mouture ! Et finalement, tout en étant relativement raté bien-sûr, nous avons enfin sous les yeux quelque-chose qui ressemble de près ou de loin à un slasher et qui se rapproche donc du premier ! Le premier dérogeait déjà aux règles et codes du genre mais s'en rapprochait beaucoup plus que ses suites. Or ici, nous retrouvons ce côté slasher un peu bricolé. Car oui, nous sommes ici dans la suite directe du deuxième opus et nous suivons Laura, medium, qui rentre en contact avec Ricky, antagoniste du second film et frère du tueur du premier (malgré le côté très bancal de cette saga, elle est toujours assez difficile à résumer) qui est dans le coma. Mais à force de le titiller dans ses rêves, il finit par sortir de son coma et à traquer Laura, ainsi que tous les gens qui portent du rouge ou parlent de Noël. Le film emprunte donc un peu à "Halloween" (notamment la connexion entre le tueur et la final girl) mais également au septième chapitre de la saga "Vendredi 13" (et notamment pour l'aspect fantastique qui unit, encore une fois, le tueur et la final girl). Seulement, tout est très lent à se mettre en place, le côté slasher ne débute vraiment qu'une fois que les personnages sont dans la maison de la grand-mère, sinon tout le reste est plutôt monotone. On passera également sous silence l'association entre le flic et le docteur (qui emprunte encore une fois à "Halloween" d'ailleurs) dont on suit les discussions sans aucun intérêt en voiture. Malgré tout, le film reste plutôt sympathique dans sa partie slasher, même si ça ne casse pas des briques non plus ! D'ailleurs le physique du tueur (et notamment le hublot qu'il se trimballe sur le cerveau) est plus risible qu'autre chose. Le film ne brille pas non plus de par son casting, entre une Samantha Scully inexpressive et un Bill Moseley qui en fait dix fois trop, malgré le peu de lignes de dialogue qu'il a. "Douce nuit, sanglante nuit 3 : Coma dépassé" est donc raté mais reste relativement passable, du moins par rapport aux autres films de la série.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 387 abonnés 4 423 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2015
    Bon, j’ai trouvé ce film sous son titre anglais dans allocine qui curieusement ne l’a pas enregistré comme les autres épisodes sous son titre français. Alors je me lance dans une critique de ce troisième film, qui dans la droite ligne du deux, en un peu mieux, a moisi la saga.
    Je n’ai retenu finalement que deux bonnes choses : d’abord la musique. La musique est clairement très réussie dans ce film, avec de très belles plages immersives, dans un style qui rappelle les bonnes bandes son eighties. C’est un bon point, et j’ajouterai en deuxième point, correct celui-là plus que bon, le casting. Les acteurs sont plutôt concernée, avec une Samantha Scully peu connue mais qui assure assez bien le rôle principal, un Bill Moseley pas au top de sa forme, mais qui malgré un personnage de tueur zombis totalement ridicule arrive tout de même à faire preuve d’un peu de charisme, et quelques seconds rôles soignés, avec notamment la très charmante Laura Harring, et Robert Culp. Bon il ne faut pas se voiler la face, les acteurs sont corrects, mais les personnages ne valent pas un clou, et surtout le tueur qui est une sommité du raté, l’un des tueurs de slasher les plus médiocres qu’il m’a été donné de voir.
    Maintenant passons aux mauvais points. Déjà l’histoire. Le film est terriblement mou, il part dans des délires absurdes, les meurtres sont très mal mis en valeur, on sombre vraiment dans le n’importe quoi. Clairement, en s’orientant sur ce genre de chemin casse-figure il faut du lourd, un scénario béton, et de la puissance, du souffle, là c’est totalement ridicule parce que rien ne fonctionne vraiment. Les dix premières minutes posent d’ailleurs très bien ce que sera le film ensuite. Par ailleurs la mise en scène n’est pas une réussite. Le réalisateur est peut-être talentueux, je ne le nie pas, mais sa réalisation ici est très faible. Incapable d’instaurer une ambiance, il filme platement ses meurtres, il n’arrive pas à rendre compte du basculement rêve-réalité, et c’est mou. A l’image de tout le film d’ailleurs, c’est mou, c’est fade, ce qu’arrivera heureusement à gommer Yuzna en partie dans le quatrième film. Pareillement au niveau des décors, de la photographie, des effets sanglants, tout cela est terriblement minimaliste, le film fait son budget minuscule, et malgré la qualité de la musique, on peine à entrer dans une ambiance, dans un univers, qui fait juste fauché et ringard.
    Je suis franchement très déçu pour les quelques acteurs méritants, et pour le réalisateur de la bande son qui avait fait des efforts, mais ce film est bien faible. Un peu moins catastrophique que le 2 qui n’avait rien pour lui, ce troisième film, qui essaye laborieusement de se raccrocher aux deux premiers aurait mieux fait de faire comme le quatrième, de se détacher une bonne fois pour toutes de ces références, et d’aller de ses propres ailes. A réserver uniquement aux fans inconditionnels de Moseley, du réalisateur. 1.
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