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Revu en IMAX aujourd'hui, et même ressenti que lors de sa première sortie en 2009 :
une mise en scène et des effets visuels à couper le souffle pour un scénar assez convenu et manichéen, message écologiste en bonus.
Mais j'ai quand même très hâte d'être le 14 décembre pour la suite.
une mise en scène et des effets visuels à couper le souffle pour un scénar assez convenu et manichéen, message écologiste en bonus.
Mais j'ai quand même très hâte d'être le 14 décembre pour la suite.
Tres bon film super film les acteurs et images incroyables triste scene a la fin vivement avatar 3 et suoer film
Tout fier d’étaler à la face du monde son nouveau joujou numérique, James Cameron nous en mets plein la vue avec la faune, la flore et l’action sur Pandora. Quant à l’histoire… pas révolutionnaire ! Seul son bilan de la civilisation étasunienne globalement très négatif est à retenir. Quant au scénario, il explicite ce qui ne devrait passer que par les images.
Et tout à ses préoccupations technologiques à nous refiler une philosophie proto-myazakienne, il en oublie de développer la psychologie et les motivations des personnages.
Et sur les 2h41 de ce spectacle, bien peu de temps est consacré à la contemplation. OK, la premier coup des trois dés (ha, ha) est tiré ; j’espère que les Japs vont répliquer !
Et tout à ses préoccupations technologiques à nous refiler une philosophie proto-myazakienne, il en oublie de développer la psychologie et les motivations des personnages.
Et sur les 2h41 de ce spectacle, bien peu de temps est consacré à la contemplation. OK, la premier coup des trois dés (ha, ha) est tiré ; j’espère que les Japs vont répliquer !
Excellent pour le visuel, les graphismes. Ce n'est pas réaliste mais c'est très beau à voir. L'histoire n'est pas mal du tout. Mais sinon, Abyss et Titanic ont bien plus de mérite qu'Avatar. Plus grand succès de l'histoire du cinéma, plus de 2 milliards d'entrées, nouveau symbole écrasant de la toute-puissance des studios d'Hollywood... et paradoxalement apprécié par des contestataires comme Michael Moore ou Evo Morales, car il délivre un message anti-impérialiste. Et James Cameron ne pourra pas se reprocher de jouer contre sa Patrie avec ce film : il est canadien et non pas américain.
Mais sinon, il n'est pour moi que le troisième meilleur film de Cameron. Abyss est son plus personnel et Titanic son plus ambitieux et courageux je dirais.
Mais sinon, il n'est pour moi que le troisième meilleur film de Cameron. Abyss est son plus personnel et Titanic son plus ambitieux et courageux je dirais.
Comment faire un nouveau long-métrage de fiction quand votre précédent est devenu le plus gros succès de l’Histoire du Cinéma ? James Cameron a mis 12 ans à répondre à cette question et a trouvé la solution juste en battant son propre record et en faisant décoller une nouvelle technologie (la 3D moderne) !
Il faut reconnaitre, qu’après le chef-d’œuvre Titanic, le cinéaste signe une splendeur de tous les instants avec Avatar. Grâce à des trucages numériques incroyables et des plans d’une véritable splendeur signés par le directeur de la photographie Mauro Fiore, il présente un univers magnifique qui s’avère être un sincère hymne à la nature.
Effectivement, James Cameron a pour but à travers Avatar de faire part d’un discours écologique et anticolonialiste. La référence à la conquête du continent américain et à la destruction des peuples amérindiens est évidente à tel point que les rares critiques que le film a rencontrées mettent en avant la proximité de son histoire avec celles de Danse avec les loups et de Pocahontas. Si l’intrigue possède des points communs avec celles-ci, cela n’est aucunement gênant car Cameron mène son récit de main de maître et arrive à passionner de bout en bout tout en continuant à poursuivre dans ses thématiques propres.
Ainsi, on retrouve le goût du cinéaste pour les personnages de femmes fortes. Après Sarah Connor, Ellen Ripley, Lindsey Brigman, Helen Tasker et Rose, le héros est ici associé à la scientifique Grace Augustine (Sigourney Weaver), à la militaire Trudy (Michelle Rodriguez) et à la véritable guerrière bien que profondément pacifique Neytiri (Zoe Saldana) spoiler: avec qui notre héros (Sam Worthington) vivra une histoire d’amour (cette romance entre un soldat et une indigène pouvant rappeler celle entre Rambo et Co Bao dans Rambo II : La Mission dont Cameron avait rédigé la première version de scénario, largement remanié ensuite par Sylvester Stallone)
.
Après ses deux Terminator, Aliens, le retour, Abyss ou Titanic, le réalisateur traite une fois de plus également du désir fou des hommes de se prendre pour Dieu par l’intermédiaire de la technologie. Il souligne à nouveau les conséquences catastrophiques que ces comportements entraînent à travers un discours de plus en plus clairement revendiqué. En effet, Avatar est un véritable hymne à la communion avec la nature fortement inspiré par les civilisations amérindiennes (un paradoxe pour un cinéaste dont chaque film cherche à repousser encore plus loin les innovations technologiques) et un film profondément anticolonialiste dont le discours est clairement inspiré de la Conquête de l’Ouest américain mais qui peut être adapté à toutes les invasions colonialistes (voir le film ressortir en salle en 2022 peut entraîner un rapprochement avec l’invasion russe de l’Ukraine).
Si, d’un point de vue thématique, Avatar appartient clairement au cinéma de James Cameron, le travail visuel du film possède aussi pleinement la patte de son réalisateur. Une fois de plus, les effets spéciaux sont poussés tellement loin qu’aucun film jusqu’à Avatar : La Voie de l’eau (13 ans plus tard !) n’a réussi à les dépasser. Chaque plan de Pandora est d’une splendeur rarement atteinte au cinéma et les Na’vis sont recréés avec un tel réalisme que le travail de capture de mouvement arrive parfaitement à retranscrire le jeu des acteurs et leurs émotions. Le tout est renforcé par la qualité de la 3D même si celle-ci est loin de posséder l’importance qui a été vantée par la promotion du film en 2009.
Au final, Avatar est un film sublime dont la beauté permet d’oublier totalement certains aspects qui auraient pu paraître caricaturaux (les militaires sont proches du cliché et rappellent fortement ceux d’Aliens, le retour) pour offrir un véritable voyage du spectateur dans un monde merveilleux tout en tenant un discours écologique profondément humain. Superbe !
Il faut reconnaitre, qu’après le chef-d’œuvre Titanic, le cinéaste signe une splendeur de tous les instants avec Avatar. Grâce à des trucages numériques incroyables et des plans d’une véritable splendeur signés par le directeur de la photographie Mauro Fiore, il présente un univers magnifique qui s’avère être un sincère hymne à la nature.
Effectivement, James Cameron a pour but à travers Avatar de faire part d’un discours écologique et anticolonialiste. La référence à la conquête du continent américain et à la destruction des peuples amérindiens est évidente à tel point que les rares critiques que le film a rencontrées mettent en avant la proximité de son histoire avec celles de Danse avec les loups et de Pocahontas. Si l’intrigue possède des points communs avec celles-ci, cela n’est aucunement gênant car Cameron mène son récit de main de maître et arrive à passionner de bout en bout tout en continuant à poursuivre dans ses thématiques propres.
Ainsi, on retrouve le goût du cinéaste pour les personnages de femmes fortes. Après Sarah Connor, Ellen Ripley, Lindsey Brigman, Helen Tasker et Rose, le héros est ici associé à la scientifique Grace Augustine (Sigourney Weaver), à la militaire Trudy (Michelle Rodriguez) et à la véritable guerrière bien que profondément pacifique Neytiri (Zoe Saldana) spoiler: avec qui notre héros (Sam Worthington) vivra une histoire d’amour (cette romance entre un soldat et une indigène pouvant rappeler celle entre Rambo et Co Bao dans Rambo II : La Mission dont Cameron avait rédigé la première version de scénario, largement remanié ensuite par Sylvester Stallone)
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Après ses deux Terminator, Aliens, le retour, Abyss ou Titanic, le réalisateur traite une fois de plus également du désir fou des hommes de se prendre pour Dieu par l’intermédiaire de la technologie. Il souligne à nouveau les conséquences catastrophiques que ces comportements entraînent à travers un discours de plus en plus clairement revendiqué. En effet, Avatar est un véritable hymne à la communion avec la nature fortement inspiré par les civilisations amérindiennes (un paradoxe pour un cinéaste dont chaque film cherche à repousser encore plus loin les innovations technologiques) et un film profondément anticolonialiste dont le discours est clairement inspiré de la Conquête de l’Ouest américain mais qui peut être adapté à toutes les invasions colonialistes (voir le film ressortir en salle en 2022 peut entraîner un rapprochement avec l’invasion russe de l’Ukraine).
Si, d’un point de vue thématique, Avatar appartient clairement au cinéma de James Cameron, le travail visuel du film possède aussi pleinement la patte de son réalisateur. Une fois de plus, les effets spéciaux sont poussés tellement loin qu’aucun film jusqu’à Avatar : La Voie de l’eau (13 ans plus tard !) n’a réussi à les dépasser. Chaque plan de Pandora est d’une splendeur rarement atteinte au cinéma et les Na’vis sont recréés avec un tel réalisme que le travail de capture de mouvement arrive parfaitement à retranscrire le jeu des acteurs et leurs émotions. Le tout est renforcé par la qualité de la 3D même si celle-ci est loin de posséder l’importance qui a été vantée par la promotion du film en 2009.
Au final, Avatar est un film sublime dont la beauté permet d’oublier totalement certains aspects qui auraient pu paraître caricaturaux (les militaires sont proches du cliché et rappellent fortement ceux d’Aliens, le retour) pour offrir un véritable voyage du spectateur dans un monde merveilleux tout en tenant un discours écologique profondément humain. Superbe !
shindu77
Encore un film de qui est à ranger dans la catégorie des tops. Une belle histoire, une qualité visuelle magnifique, de bons acteurs. Que demander de plus ?
Le film de SF original par excellence, qui était très attendu.
Merveilleux, dépaysant, immersif, engageant, ce film fait voyager son spectateur à la découverte d'un monde ultra plaisant à observer.
Je n'ai pas grand chose à dire tant ce film est devenu légendaire, qu'il a bénéficié d'une communication énorme (normal quand son père est à l'origine de Titanic), et que sa suite est attendu avec impatience par beaucoup (trop ?) de personnes.
Merveilleux, dépaysant, immersif, engageant, ce film fait voyager son spectateur à la découverte d'un monde ultra plaisant à observer.
Je n'ai pas grand chose à dire tant ce film est devenu légendaire, qu'il a bénéficié d'une communication énorme (normal quand son père est à l'origine de Titanic), et que sa suite est attendu avec impatience par beaucoup (trop ?) de personnes.
Florent B.
Le plus gros succès de l'histoire du cinéma, au visuel époustouflant, à l'esthétique soignée, ou la magie opère, dans un univers fantastique, énergique, regorgeant d'inventivité et de créativité. Un résultat à la hauteur de son budget pharaonique, au service d'un divertissement de qualité, qui nous fait voyager, nous transporte dans un rêve aux images sublimes qui ne peuvent que nous émerveiller. A la fois poétique et spectaculaire, d'une beauté flamboyante, et à la mise en scène impeccable, provenant du talentueux James Cameron, spécialiste en la matière. Une formidable épopée colorée, alliant scène d'action démentielle à l'émotion dosée avec justesse. Un excellent moment de cinéma. A voir.
C’est excellent en 2D et monumental en 3D, même pour ceux qui sont réfractaires comme moi à ce format. On peut certes trouver que l’histoire en elle-même n’est pas des plus originales, mais c’est surtout la façon dont elle est présentée que la magie opère. James Cameron a tout bonnement créé un univers unique, à l’image d’un George Lucas avec son "Star Wars". Le monde de "Pandora" est tellement réaliste que j'ai été réellement troublé avec quelle vélocité l’immersion dans laquelle nous plonge le réalisateur m'a semblé facile et évidente. Difficile également de se dire que l’on est simplement en train de visionner un film et que cela n'est qu'imagination tant la culture des «Na’vi» impressionne par sa simplicité et sa logique. J’ai été véritablement bluffé par leur relation avec l’environnement naturel et le monde animal qui les entoure. C’est écologiquement fort. Visuellement époustouflant avec des effets spéciaux prodigieux, l’expérience «Avatar» est vraiment incomparable. Le casting est nickel et tous les éléments techniques sont parfaitement maîtrisés. Les maquillages, les costumes et les décors sont prodigieux avec une mention spéciale aux montages "Hallelujah". L'ensemble est sublimé par la magnifique partition musicale de James Horner. Chef d’oeuvre.
voila la recette:
Prenez un shaker, mélangez danse avec les loups, pocahontas, les schtromphs (juste pour la couleur), un peu de manichéisme, une moralité écolo bien fade, plein d'effet spéciaux 3d, remuer énergiquement. Et voila, le cocktail est pas degueulasse c'est même super beau mais bon pas de quoi avoir une érection non plus.
Prenez un shaker, mélangez danse avec les loups, pocahontas, les schtromphs (juste pour la couleur), un peu de manichéisme, une moralité écolo bien fade, plein d'effet spéciaux 3d, remuer énergiquement. Et voila, le cocktail est pas degueulasse c'est même super beau mais bon pas de quoi avoir une érection non plus.
Quel film !! Moi qui ne mets presque jamais 5 étoiles, je dois dire que la je ne regrette pas ! La 3D est magnifique, les acteurs sont bien presents et une histoire de 2h40 ou l'on ne s'ennuie a aucun moments ! C'est surprenant comment James Cameron a inventé tout ce monde etc...L'histoire est très captivante. Le duo Sam Worthington et Zoé Saldana fonctionne bien, et ce monde est passionnant. Si un deuxieme volet va peut etre sortir, je serais le premier dans les salles ! Enfin tout ca pour dire que ce film est super, a voir et revoir !
Une claque visuelle !
Un film magnifique où l'on ne fait que s'évader dans ce monde (et la 3D encore plus).Je me demande comment peut on arriver à réaliser de tel film.Les paysages sont sublimes (et ne parlons pas de la nuit, c'est plus que sublime; on se croirait dans un rêve).
Le film a de bons moments d'actions et des passages émouvants.J'ai bien aimé la musique aussi qui correspondait bien au film.
Courez TOUS voir Avatar, c'est plus qu'un film : un événement.
En tout cas, merci James Cameron pour ce magnifique voyage à Pandora; et bien sur je vais de nouveau y retourner.
Un film magnifique où l'on ne fait que s'évader dans ce monde (et la 3D encore plus).Je me demande comment peut on arriver à réaliser de tel film.Les paysages sont sublimes (et ne parlons pas de la nuit, c'est plus que sublime; on se croirait dans un rêve).
Le film a de bons moments d'actions et des passages émouvants.J'ai bien aimé la musique aussi qui correspondait bien au film.
Courez TOUS voir Avatar, c'est plus qu'un film : un événement.
En tout cas, merci James Cameron pour ce magnifique voyage à Pandora; et bien sur je vais de nouveau y retourner.
Depuis les années 50, un grand nombre de réalisateurs (dont fait, ou plutôt faisait, partie Cameron!) et de scénaristes ont faits en sorte d'insuffler un fond philosophique à diverses œuvres de science-fiction pour remarquablement habituer le spectateur à pousser la réflexion très loin. Eh bien, cela n'a servi à rien car l'autre se pointe avec son fond écologique à deux balles, et fait un carton plein au box-office. Il y a pas de justice en ce bas-monde. Pour le fond donc c'est un simplisme déplorable qui règne. Ce sont les hyper-méchants humains contre les hyper-gentils Na'vi, aucune ambiguïté, aucune subtilité, rien... . Côté histoire, c'est juste un melting-pot de rebondissements qu'on a déjà vu 300 000 fois auparavant. Donc quand j'en ai eu marre de me dire "Ça je l'ai déjà vu ailleurs", j'ai regardé le reste d'un œil morne. Un point d'originalité arrive à surnager tout de même : le fait que le type soit en fauteuil roulant (c'est vrai qu'il y a de quoi changer la face du cinéma avec ça !). L'interprétation est loin d'être formidable aussi, même pour Sigourney Weaver c'est dire, et mention spéciale au très fadasse Sam Worthington. Quand aux dialogues, ils sonnent creux. Ah oui, et la musique est super-sirupeuse. James Cameron a mis quinze ans à écrire ce film. Alors il rédige son synopsis, créer ses personnages et met tout cela sous forme de scénario devant un bon petit café. Mettons une heure pour rédiger son synopsis, une demi-heure pour les personnages, vingt-deux heures et demie pour mettre en forme, et quatorze ans et trois cent soixante quatre jours pour boire le café. Ouais, le compte est bon (à moins qu'il préfère la bière!). Bon l'ensemble à quelques grands mérites du côté technique, au niveau du son, des décors et bien sûr des effets spéciaux (bien qu'ils paraîtront obsolètes dans cinq ans!) qui font que l'oeuvre n'est pas d'un inintérêt total. On dit que "Avatar" est révolutionnaire. C'est tout à fait vrai car maintenant on banque deux euros de plus (enfin c'est le tarif par chez moi!) pour une paire de lunettes totalement naze et qui fait mal à la tête, merci Monsieur Cameron.
Roub E.
Spectacle saisissant, Avatar met le paquet sur l esthétique du monde qu il décrit à savoir cette planète Pandora. Tout y est assez merveilleux même si le goût de Cameron pour la couleur bleu est ici un peu trop prononcé. Film au message écologiste assez positif même s il paraît assez cul cul par moment. Le casting est de qualité et la vie semble être insufflée partout dans un film jouant pourtant à fond la carte du numérique.
AVATAR (2009): Le réalisateur James Cameron nous présente ici sa planète aux mille merveilles, Pandora. Un endroit à des années-lumière de la Terre où la nature est sacrée et pratiquement vierge. Dans la première heure, Jake Sully (Sam Worthington), un ancien marine, sera notre guide. Comme lui, on partira à l'aventure dans des lieux d'une incroyable beauté, mais aussi très hostiles. La rencontre avec le peuple Na'vi, des autochtones, nous fera découvrir par ses coutumes que la nature est bien vivante, une grande richesse qu'il faudra savoir préserver. Mais voila… James pointera encore du doigt la bêtise humaine, celle qui veut s'enrichir, celle qui veut profiter, celle qui veut tout détruire, celle par qui la paix se retrouvera menacée. "AVATAR" nous transportera dans un univers comme on n'en a jamais vu, au-delà de notre imagination. Des visuels surprenants, des effets spéciaux révolutionnaires, vraiment bluffant, chaque scène captera l'attention, tout nous sera nouveau. James Cameron, le perfectionniste, apportera ici un scénario intéressant et rempli d'idées. Une réalisation plus que parfaite avec un montage dynamique, jamais saoulant, jamais fatigant. En ce qui concerne le jeu d'acteurs, Sigourney Weaver, Sam Worthington, Zoe Saldama, des personnages charismatiques, passionnants, évolueront dans un nouveau monde enveloppé d'une musique épique et entrainante. Préparez-vous à un grand plongeon dans un nouveau chef-d'oeuvre de James Cameron, la magie de la nature. Vu et revu, mais toujours aussi époustouflant.
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