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Albert
9 abonnés
343 critiques
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3,0
Publiée le 1 novembre 2024
scientifiquement parlant c'est du grand nimporte quoi, il suffit d'avoir lu quelques bouquins de vulgarisations pour s'en rendre compte donc bon niveau scénario c'est assez triste par contre visuellement il y a des moments de grâce avec notamment ce plan du soleil, ça aurait mérité de l'éterniser pour qu'on puisse en faire une expérience contemplative alors bien le film a vieilli mais montre un sacré sérieux dans le travail fourni et dans la créativité, de bons dialogues.
Danny Boyle s’attaque à la Sf avec son acolyte Alex Garand au scénario. Entouré d’un casting prometteur et international le film démarre très bien et est très prenant. On est pris d’empathie pour l’équipage de cette mission chargée de ranimer le soleil pour sauver la terre et les moments de tension sont efficaces. Par contre je ne comprends pas le parti pris des dernières 20 minutes de surcuter le montage le rendant quasi incompréhensible (manque de moyens pour nous présenter « l’hôte » indésirable de manière correcte ?)
Malgré un beau casting, Sunshine n'est qu'un mauvais mash-up de film catastrophe, de slasher et de réflexion sur le sens de la vie, sorte de rencontre improbable entre La tour infernale, Freddy et 2001, sans jamais avoir l'efficacité des 2 premiers ni la profondeur du dernier. Il pourrait au moins avoir le mérite d'être une belle transcription dans l'espace mais là encore, il n'y a pas grand chose qui tient la route. A commencer par le comportement et la mentalité d'un équipage sensé venir d'une planète mourante. Et on ne parlera pas du réalisme scientifique.
Le pitch a beau ne pas être des plus originaux, les acteurs sont excellents, les rebondissements font que le suspense est habilement géré donc on peut le dire : Sunshine est une réussite.
Débutant comme une expédition de la dernière chance classique mais efficace, notamment grâce à des personnages clairement individualisés et à une réalisation maitrisée, ce thriller perd sa force dès que l'aspect slasher aux accents métaphysiques l'emporte jusque dans une mise en scène désormais floutée et désagréable. De fait, l'exagération tant visuelle que physique autour du survivant insiste avec maladresse sur le propos pourtant original du film, à savoir questionner les choix psychologiques en des situations extraordinaires mais surtout présenter le Soleil comme une divinité face à laquelle science et spiritualité s'affrontent. A vouloir faire comprendre cette problématique explicitement, le récit perd en subtilité, en devenant presque ridicule. Reste cette musique envoûtante et une hybridation générique intéressante. Dommage que le résultat soit contreproductif!
Bain de soleil bienfaisant (entre un psychologue qui pèle, un rationnel qui se les pèle et un psychotique mutant). De la SF sur le mode de "la dernière chance", qui fait réfléchir sur l'intérêt de l'existence humaine. A noter, certaines scènes de barbaque susceptibles de heurter.
Je ne m'en lasse pas. Je le vois pour la 3ème fois en quoi, 11 ans, et il ne prend pas une ride. C'est la marque d'un grand film dans son genre, à la fois poétique et brutal, il prend aux tripes.
Un peu spéciale mais pas mauvais pour autant malgré un concept particulier. L'histoire est correcte mais perd sens à sa fin avec des questions ouvertes mais pas répondu. C'est quoi ce type soleil là ? ça sort d'où ? aucune explication, il sert 10 minute, puis on l'oublie, avant de s'en réservir 5 minute. La Da est sympa, les effets spéciaux aussi, mais on fait trop dans la catastrophe. Les événements catastrophe s'enchaînent de manière assez prévisible, nos fameux scientifiques deviennent alors des êtres même plus capable de penser correctement, les mauvaises décisions s'enchaînent. Mais dans sa globalité, ça va, j'ai vu pire. Comme dit la tension marche bien malgré le fait que ça soit très gros, et puis on s'ennui pas de trop
En 2007, Danny Boyle livre un bon thriller sur fond de science-fiction. A bord d’un vaisseau spatial, des astronautes sont chargés de rallumer le soleil en voie d’extinction pour sauver la Terre. Cette mission périlleuse va se transformer en un huis clos psychologique très haletant. La qualité des images et des effets spéciaux rend crédible le contexte de l’histoire et son univers inhospitalier. Chargé de symboles (le rapport entre la machine et l’homme, la déification du soleil, etc.), le scénario prend toutefois, dans sa dernière partie, une tournure horrifique déstabilisante. D’autant plus que le réalisateur britannique l’accompagne de sa fâcheuse mise en scène hachée et compulsive brisant le caractère contemplatif utilisé jusque-là. Bref, une intrigue angoissante dans laquelle on se brûle les ailes.
Le changement de rythme au fil du film est assurément spectaculaire ; mais cela perd inévitablement le spectateur petit à petit. La mise en place des personnages au début du film est excellente, avec un personnage principal qui met du temps à le devenir, ce qui nous laisse miroiter différentes possibilités. Seul quelques images suffisent à cerner chaque personnage, notamment Cliff Curtis et son attrait pour la lumière, spoiler: du début jusqu’à la fin . Le jeu de lumière, élément central, est d’ailleurs époustouflant et réussi. Le scénario est assez fou et sors de l’ordinaire. Malgré le fait que tout annonce ce qui va se passer, spoiler: l’intrusion du capitaine du vaisseau précédent notamment , cela nous surprend et je ne vois personnellement rien venir. La fin est cependant disproportionnée et me perd.spoiler: J’ai cru que Murphy mourrait en sautant vers le soleil, j’ai cru que pinbacker était mort et je ne comprends pas comment il atterrit sur la bombe, j’ai mis du temps à comprendre que la plateforme de fin était la bombe,... Cette accélération rythme cependant le film et nous permet de vivre l’accélération subit à bord du vaisseau. Il sera difficile de me sortir de la tête la possibilité que Christopher Nolan se soit inspiré du film de Danny Boyle, que ce soit le scénario dans Interstellar ou la lumière dans Oppenheimer.
J'avoue qu'en lisant le pitch, je partais pas sur un a priori négatif. Je le trouve complétement stupide. Le soleil s’éteint en 2050 ? on peut le rallumer avec une bombe ?!?! Ya besoin d'une mission habitée pour faire ça !!!???!!!??? Sérieux, le scénario de Mega Force à plus de sens, c'est dire... Enfin, faisons abstraction, après tout, c'est pas si grave, la plupart des film de science fiction n'ont pas beaucoup de sens niveau science (après ils mettent pas l'accent dessus eux, mais bon). Mais le problème, c'est que le film n'est pas du tout un film de science fiction mais un film pseudo philosophique avec un rythme horriblement lent, des personnages pas franchement intéressants et une histoire débile. Coté points positifs, je retiendrais un cast plutôt convainquant et de belles images mais ça ne suffit pas à le rendre intéressant à mes yeux :(
Vu à sa sortie, j'étais complètement passé à côté, revu aujourd'hui, je l'ai pris de plein fouet ! Sunshine est un excellent film de SF lorgnant sur les traces de 2001 et pas si loin d'être au niveau de Interstellar. L'atmosphère y est exceptionnelle, la photographie somptueuse et le casting simplement parfait. L'intrigue, avec son postulat simple, s'élargit au fur et à mesure que le temps passe pour passer de la vie en communauté de l'équipe au destin de notre planète sans oublier une partie thriller aussi improbable qu'implacable. On ne s'ennuie jamais, il se passe toujours quelque chose et entre les interprétations sans faille et la superbe musique il est de toute façon assez compliqué de décrocher. C'est beau, un rien philosophique, très maîtrisé et ça donne également à réfléchir. Une belle expérience ciné.
Un casting 5 étoiles, un dernier voyage pour sauver l'humanité, de belles images, un bon scénario même si quelques incohérence. Ce film a tout pour plaire au gens qui aime ce genre de film, petite déception avec la finest un peu trop longue à mon goût ...