Une Origin Story intéressante avec des scènes dures et cruelles !! Des scènes qui explique cet " appétit " qu'à Hannibal Lecter !! Le reste du film se résume avant tout à une vengeance personnelle assez sanglante !!
Le film "Hannibal Lecter (Les origines du mal) montre comment le petit garçon Hannibal Lecter est devenu un des plus grands criminels du cinéma.
Quand on dit "Hannibal Lecter", je pense à des scènes du "Silence des agneaux" où Hannibal Lectertrès calme, jete son regard froid sur la jeune stagiaire du FBI, Clarice Sterling, jouée par la magnifique Jodie Foster. Je pense aussi à des scènes de "Hannibal" où Hannibal Lecter coupe le crâne d'une personne vivante, prélève un morceau du cerveau, le fait cuire et la fait gouter à cette victime qui lui répond que c'est bon! Berk! Bon, l'histoire de "Hannibal Lecter (les origines du mal) est très bien ficelée, à la fois palpitante et angoissante! Ce film montre bien le traumatisme de Hannibal Lecter durant son enfance, et la transformation de son identité durant son adolescence. Hannibal Lecter, traumatisé, est attiré par la dissection. Certaines scènes sont à détourner des yeux! Berk! Hannibal Lecter ne pense qu'à se venger ceux qui lui ont fait beaucoup souffrir. C'est 100000000 fois pire que "Le Conte de Monte-Cristo". L'acteur français Gaspard Ulliel est vraiment à la hauteur de l'acteur américain Anthony Hopkins! Il a la gueule d'ange mais son sourire et ses yeux bleus pétillent pleins de froideur, de haine et de sadisme! Féroce! Diabolique! Il est impressionnant quand il est furieux sous les lumières rouges. Brrr! J'ai bien aimé ce film !
Excellente suite du fameux film le silence des agneaux l'acteur principal gaspard ulliel ici est génialissime dans son rôle vraiment j'ai adoré cette suite un très bon film a regarder
J'ai revu ce film sur Netflix. Je reste étonné de voir des notes aussi basses pour un film qui est certainement l'un des meilleurs films d'horreur que j'ai pu voir . Contrairement à ce que j'ai pu lire, il y a de la cohérence historique et psychologique : l'humanité fabrique ses monstres. L'esthétique choisie dans le film fait corps avec le récit. La créature de Frankenstein est réinventée. Seul détail qui est une escroquerie culturelle , mais c'est un détail, la villa Tugendhat dans laquelle une scène est tournée ne se trouve pas en France mais en République tchèque.
Parce qu’Hannibal Lecter : Les Origines du mal demeure sûr de lui malgré l’absence totale de cohésion de son récit. Sûr de ses ambitions et enchaînant les époques et les pays en prenant soin de respecter un contexte géopolitique complexe retranscrit à la truelle, ce prequel étonne par sa vantardise qui ne se déboulonne jamais. Le film de Peter Webber passe ainsi son temps à voir plus gros que son ventre en voulant croquer la naissance du docteur cannibale dans un mélodrame historique croisé avec le thriller et le film d’action… qui ne donne au final qu’une série Z hilarante à son propre insu.
Pas vraiment convaincant le film qui revient sur l'origine du psychopathe le plus fascinant de l'Histoire du cinéma. Les points positifs : Gaspard Ulliel qui s'en sort plus qu'honorablement et Gong Li, parfaite en personnage très ambiguë. Les points faibles : une intrigue pas vraiment excitante et des seconds rôles sacrifiés. La fascination n'est plus au rendez-vous.
Film découvert sur Netflix 13 ans après sa sortie. Je suis étonnée des notes aussi basses concernant celui-ci. Une histoire forte, un film bien mené, un acteur qui incarne très bien son rôle.
Je partais avec un gros a-priori car je n'apprécie guère Gaspard Uriel mais il ne me choque pas particulièrement dans ce rôle, si ce n'est le fait qu'il en fait trop (mimiques, postures...) alors qu'Hannibal est "réputé" pour son flegme et son self-contrôle. Le film en lui-même, bien réalisé et avec une bande-son plutôt bonne, retrace les jeunes années et les débuts d'un tueur cannibale intelligent et manipulateur, rien de bien novateur en somme.
Digne de la lignée avec une pointe beaucoup plus noir que les précédents c'est dire. Malgré l'absence d'Anthony Hopkins les acteurs présents sont très bon même très très bon.
Hormis le fait de connaitre la jeunesse d'Hannibal Lecter, ce qui n'était pas non plus indispensable, le film n'a aucun intérêt. L'ensemble est assez mauvais, le pire étant l’interprète d'Hannibal qui n'est pas du tout crédible, et en fait des caisses avec ses mimiques du visage pour paraître machiavélique, c'est grotesque.
Remontant à l'enfance d'hannibal au moment de la guerre froide, les circonstances qui ont entraîner sa folie et les meurtres d'une cruautés de par sa sœur et qui déterminera les siennes ultérieurement sur sa vengeance des ravisseurs. C'était une bonne raison de regarder ce film et celui gaspard Ulliel, impressionnante interprétation et jubilatoire. Même si on s'écarte du Silence des Agneaux, on vit quand même une bonne tension fertile en scènes sanglante à souhait et aussi tordu que froid. Les pesonnages sont cependant très caricaturaux donc pas très subtile et pas super profond ce qui rend l'histoire un brin conventionnel. Le plus impressionnant c'est le lieu où ça se déroule, Milly la forêt ou Fontainebleau, pas loin là où j'habite, ça me fait froid dans le dos. La fin assez évidente et quelques peu décevante.
Ainsi naissent les serial killer comme Hannibal Lecter, la mise en scène n'est pas d'une grande virtuosité, quelques bourdes et puis c'est bof, l'origine du mal de la terre ou de son enfer. La guerre ravage l'Europe de l'Est où est né le petit futur monstre masqué son cannibalisme, il a vu l'horreur à travers sa sœur, oh malheur spoiler de mauvais poil mangé, il mangera c'est sûr et certain.
Les chacals de la Polizei Nazi, c'est sa raison d'être vengeur autoproclamée loi quand il était jeune prenant Gaspard Ulliel, sa première compagne japonaise à l'honneur samouraï, Gong Li, ça ne décolle pas les chef-d'œuvre de livres de cuisine. Dragon rouge, le silence des agneaux, d'excellentes recettes concoctées par le cuisinier Thomas Harris, c'est le film ou le roman qui est mauvais, telle est la question qui se pose.
Suffit pour la saga qui se suspend dans la fiction tueuse, on apprend une chose, Hannibal est l'animal, docteur toc toc, c'est pour une consultation du FBI, ses agents Will Graham le choqué et Clarice Starling, l'envoûtée.