Un bon épisode de la saga Hannibal Lecter selon moi, au dessus du très mauvais Dragon Rouge. Gaspard Ulliel et Rhys Ifans sont très bien dans leur rôle. Certains éléments de l'histoire peuvent paraître étranges ( les cours de katana notamment) mais ils restent crédibles, on aura toujours du mal à justifier la "force" anormale du personnage de Lecteur. Il ne faut pas oublier que ce film s'inspire du livre du même nom. A voir absolument
Cet épisode est intéressant ! Il nous permet de savoir ce qui a poussé Hannibal à devenir cannibale. Le jeu des acteurs est très bon (surtout G. Ulliel qui joue très bien le rôle de Hannibal, aussi bien que Anthony Hopkins), l'ambiance est assez angoissante et il y a du suspens mais pas autant que dans LE SILENCE DES AGNEAUX ou DRAGON ROUGE malheureusement et puis je trouve que le scénario est un peu classique (le personnage principal a perdu sa famille et cherche a se venger). Enfin, ce film fera plaisir au fan de la saga.
Ce dernier opus de la série "Hannibal Lecter" s'apparente à un chant du cygne, tant l'intérêt cinématographique s'avère inexistant. Les scénaristes ont cru bon de tout mélanger : les pays de l'est pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, la culture japonaise et son univers exotique, la France... un vrai patchwork géographique. Avec un but ambitieux, expliquer pourquoi Hannibal Lecter est un grand malade. Eh bien, ce n'est absolument pas convainquant. On tombe même dans le grand n'importe quoi lorsque le héros se met à jouer du sabre au milieu des saucisses et du bleu d'Auvergne. Le plus fort, c'est que malgré ce mélange détonnant on s'ennuie. La première partie est bien trop longue. Pas de suspense ensuite, l'intrigue est tristement linéaire. Je repère la victime et je la bute. Waouh ! Trop cool. Même le jeu de Gaspard Ulliel me laisse sceptique tant il sonne faux. C'est ballot, pour une fois qu'on pouvait se vanter d'avoir un acteur français à l'affiche. Le seul intérêt du film semble finalement être le décor, assez sympa, ainsi que les atouts de la charmante Gong Li.
Gaspar Ulliel est grandiose, il joue le rôle du psychopathe à la perfection. J'ai vraiment adoré ce prequel même si les critiques presses et spectateurs l'ont complètement descendu. L'ambiance est géniale aussi.
J'avais déjà vu les 3 autres films mais n'avais jamais eu l'occasion de visionner celui là. Maintenant que c'est chose faite, je dois dire que je ne suis pas déçue. Pouvoir comprendre comment Hannibal Lecter a pu devenir ce qu'il est dans "Le silence des agneaux" ainsi que les 2 films suivant est bien plaisant! Je trouve le scénario plutôt bien construit et l'acteur très convainquant. Il a vraiment le visage fait pour le rôle, si expressif... à vous glacer le sang!
Assez glauque et bien gore, Hannibal Rising revient sur la montée en puissance de ce cher Hannibal dans sa jeunesse. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Ulliel y est excellent et rentre parfaitement dans le personnage. Bon après le scénario manque un peu de finesse et se concentre beaucoup sur le thème de la vengeance. Reste un très bon film et une bonne pré-quelle de la saga tant connue.
Bien loin de l'esprit de la trilogie, ces origines du mal sont à prendre à part sous peine d'être comparées aux pointures comme le Silence des agneaux et autres Dragon Rouge. Il est certain que l'on pouvait se poser des questions concernant le choix de l'acteur pour incarner Hannibal jeune. Néanmoins, Gaspard Ulliel s'avère plutôt bon. Même si on est loin des performances titanesques d'Hopkins, le tout reste assez satisfaisant. Ensuite, si on peut critiquer bien des choses sur ce long-métrage, on ne peut cependant pas nier le talent d'esthéticien de Peter Webber, dans un visuel excellent qui rattrape ainsi la mise en scène plutôt plate. Comme mentionné tout en haut, le scénario est lui aussi à prendre à part. Beaucoup d'incohérences, c'est certain. Un passé assez improbable, aussi certain. En bref, les puristes de la trilogie ne trouveront pas leur bonheur par là, tandis que les autres pourront y voir un long-métrage convenable, ni mauvais ni très bon.
Hannibal Lecter : les origines du mal offre une photographie remarquable, malheureusement c'est le seul bon point à retenir de ce pré-quel. Quoique, notons la performance du jeune acteur Gaspard Ulliel qui s'en sort très bien. Mais voilà, l'ensemble du film ne parvient pas à convaincre, il va à l'opposer de ce qui fait le charme de la saga.
Il y a un manque total de subtilités, tout est simplifié au possible, l'histoire touchante sur le douloureux passé d'Hannibal laisse rapidement place à une dose vulgaire et constante d'action, à la limite du dégout, sur un rythme de vengeance personnelle qui démarre sur un jeu de piste hasardeux pour se finir sur une scène des plus banales qui a déjà était exploité maintes fois au cinéma. En fin de compte il n'y a pas grand chose à retenir de ce pré-quel qu'il faut voir comme un simple thriller et non comme un film dans le même genre que les précédents films de la saga car il ne procure aucunement les mêmes frissons et les mêmes émotions.