Une Origin Story intéressante avec des scènes dures et cruelles !! Des scènes qui explique cet " appétit " qu'à Hannibal Lecter !! Le reste du film se résume avant tout à une vengeance personnelle assez sanglante !!
Une vraie daube ! Aucun rapport avec le dr lecter du silence des agneaux ou de dragon rouge ! Là c'est stupide, King et sans intérêt ! On comprend mieux pourquoi ce film ne fait pas parti de la trilogie tellement c'est mauvais ! Ce film est à fuir
Le film "Hannibal Lecter (Les origines du mal) montre comment le petit garçon Hannibal Lecter est devenu un des plus grands criminels du cinéma.
Quand on dit "Hannibal Lecter", je pense à des scènes du "Silence des agneaux" où Hannibal Lectertrès calme, jete son regard froid sur la jeune stagiaire du FBI, Clarice Sterling, jouée par la magnifique Jodie Foster. Je pense aussi à des scènes de "Hannibal" où Hannibal Lecter coupe le crâne d'une personne vivante, prélève un morceau du cerveau, le fait cuire et la fait gouter à cette victime qui lui répond que c'est bon! Berk! Bon, l'histoire de "Hannibal Lecter (les origines du mal) est très bien ficelée, à la fois palpitante et angoissante! Ce film montre bien le traumatisme de Hannibal Lecter durant son enfance, et la transformation de son identité durant son adolescence. Hannibal Lecter, traumatisé, est attiré par la dissection. Certaines scènes sont à détourner des yeux! Berk! Hannibal Lecter ne pense qu'à se venger ceux qui lui ont fait beaucoup souffrir. C'est 100000000 fois pire que "Le Conte de Monte-Cristo". L'acteur français Gaspard Ulliel est vraiment à la hauteur de l'acteur américain Anthony Hopkins! Il a la gueule d'ange mais son sourire et ses yeux bleus pétillent pleins de froideur, de haine et de sadisme! Féroce! Diabolique! Il est impressionnant quand il est furieux sous les lumières rouges. Brrr! J'ai bien aimé ce film !
Une mise en scène soignée. J'ai bien aimé les quelques scènes de la seconde guerre mondiale. Gaspard Ulliel me semble également bien choisi pour incarner Hannibal. Il a ce regard inquiétant. Mais le récit manque d'ambition et en dehors des quelques assassinats et bizarreries dont l'explication est peu obligatoire... Le film contient trop de lenteur qui aurait du se transformer en suspens inquiétant.
Après "Le silence des agneaux"" et " Hannibal". Il nous fallait bien évidemment un préquel sur les origines de tout cela, comme cela se fait dans beaucoup de film de ce genre. Pour le coup, le casting fut étonnant (un Français interprète Hannibal, une "chinoise"....) ; pourquoi pas ; d'autant que les prestations restent relativement correct. Pour ce qui est du film il suivre pour bien comprendre le pourquoi du comment. Même si l'on se dit que cela va un peu loin et qu'Hannibal à quelques problèmes psychologiques^^. Il n'y a pas vraiment de temps mort même si le film ne force pas le gore. Il répond à des questions que l'on a pu se poser en voyant les autres opus. Je m'attendais cependant à un peu plus d"action' et de suspens, la fin étant légèrement prévisible. Mais cela reste un film convenable pour un spin off. Pourquoi pas, si vous avez vu les deux autres opus et que des questions vous interpèle.
N'y cherchez pas une similitude avec l'Hannibal Lecter que l'on connait (Antony Hopkins), il n'y en a aucune. Cela surprend car on s'attend à découvrir ce qui a poussé Lecter à partir en vrille comme ça et tout ce que l'on voit, c'est un jeune homme (qui ne ressemble en rien à Hopkins jeune) qui semble opérer ses petits larcins comme s'il était forcé à suivre l'histoire, comme s'il justifiait l'objectif du film, et le tout sans réelle conviction.Un peu gros tout ça. Même si la réalisation est impeccable, les acteurs plutôt convaincants, le déroulement des faits semble cousus de fil blanc, ils ne font que justifier l'horreur d'un futur Hanibal Lecter mais ce n'est pas franchement convaincant...On ne retrouve pas l'atmosphère pesante, la crainte que l'on ressent pour le personnage Lecter que l'on connait.
Il était temps que cela se termine, oui, laissez Hannibal reposez en paix et arrêtez de faire du fric sur son dos en composant une énième histoire à sa gloire... Ce qui faisait le charme du docteur Lecter dans les premiers volets était sa psychologie, son charisme et le fait qu'il soit difficile à cerner, c'est cela qui fait la force du personnage ! Alors pourquoi vouloir nous raconter sa jeunesse et démystifier le mythe, mais quelle erreur ! Cet origine du monstre est donc un calvaire à suivre car sans parler du film en lui même, on ne peut que le comparer avec ses ainés et c'est donc très mauvais. Cela reste un film banal, pas mauvais si on le considère comme un film hors saga mais cela reste une histoire de vengeance et non plus de duel psychologique ! Pour mieux apprécier le film, il suffirait finalement de changer le nom du héros...
Remontant à l'enfance d'hannibal au moment de la guerre froide, les circonstances qui ont entraîner sa folie et les meurtres d'une cruautés de par sa sœur et qui déterminera les siennes ultérieurement sur sa vengeance des ravisseurs. C'était une bonne raison de regarder ce film et celui gaspard Ulliel, impressionnante interprétation et jubilatoire. Même si on s'écarte du Silence des Agneaux, on vit quand même une bonne tension fertile en scènes sanglante à souhait et aussi tordu que froid. Les pesonnages sont cependant très caricaturaux donc pas très subtile et pas super profond ce qui rend l'histoire un brin conventionnel. Le plus impressionnant c'est le lieu où ça se déroule, Milly la forêt ou Fontainebleau, pas loin là où j'habite, ça me fait froid dans le dos. La fin assez évidente et quelques peu décevante.
Je mets cinq étoiles pour rehausser le niveau, et c'est vraiment légitime. Injustement boudé, le film a trop souffert de la comparaison avec Hopkins et c'est regrettable. Un film prenant du début à la fin, et une photographie sublime. La performance du très regretté Gaspard Ulliel est exceptionnelle. Nous avons perdu un de nos meilleurs acteurs... Que la vie est cruelle parfois...
Vraiment pas fameux du tout! Il manque l'intensité et le jeu d'acteur du Silence des agneaux, par contre il se trouve qu'il soit un leger poil supérieur a l'adaptation du Dragon rouge. Au niveau du casting, Gaspard Ulliel se révèle être très fade, reste Gong Li (toujours aussi resplendissante), mais rien n'y fait, son rôle est bien plat. Seul le tout début est interressant. Après c'est de la chasse à l'homme sanguinaire et sans surprise.
Parce qu’Hannibal Lecter : Les Origines du mal demeure sûr de lui malgré l’absence totale de cohésion de son récit. Sûr de ses ambitions et enchaînant les époques et les pays en prenant soin de respecter un contexte géopolitique complexe retranscrit à la truelle, ce prequel étonne par sa vantardise qui ne se déboulonne jamais. Le film de Peter Webber passe ainsi son temps à voir plus gros que son ventre en voulant croquer la naissance du docteur cannibale dans un mélodrame historique croisé avec le thriller et le film d’action… qui ne donne au final qu’une série Z hilarante à son propre insu.
Enormément d'attente pour ce préquel des aventures d'un des plus grands méchants de l'Histoire du cinéma tiré, comme les 3 autres opus, d'un roman de Thomas Harris. Et malheureusement, comme pour "Hannibal" de Ridley Scott, la déception est grande. La faute au romancier, qui a écrit ses 2 livres après le succès du "Silence des agneaux" et qu'on peut légitimement soupçonner de ne pas vouloir tuer la poule aux œufs d'or ? Pas seulement. Tout d'abord, le film souffre de l'absence de l'indispensable Anthony Hopkins au générique alors qu'un rôle de narrateur semblait tout indiqué. Sans cette caution artistique, le préquel partait avec un très sérieux handicap. Mais "Hannibal Lecter" n'est pas exempt d'autres défauts, à commencer par la mise en scène sans génie (aucun travail sur les couleurs ou les décors) ni rythme (beaucoup de longueurs) de Peter Webber et l'absence quasi-totale de l'humour dont est imprégné le personnage de Lecter dans les autres films. On peut comprendre que ce préquel retraçant les jeunes années du cannibale, le réalisateur ait voulu insister sur ses traumatismes. Mais dans ce cas, Webber s'est également planté puisqu'on ne ressent à aucun moment le drame vécu par Lecter lorsque sa sœur est assassinée puis dévorée par ses tortionnaires. La raté magistral de cette scène, que j'attendais comme le messie et pour laquelle je me préparais à être bouleversé, en dit long sur le plantage du film. Passé la déception, il faut reconnaître quelques qualités à cet "Hannibal Lecter" à commencer par l'interprétation surprenante de Gaspard Ulliel, qu'on n’attendait pas là, et dont le regard fou et le sourire en coin réussit à nous faire flipper malgré un physique peu impressionnant. Il étouffe d'ailleurs le reste du casting d'où ressortent à peine Dominic West en flic, Gong Li en guide spirituelle et Rhys Ifans en salaud. On appréciera également quelques séquences rappelant le goût du futur docteur pour les meurtres pervers (la mort du poissonnier en tête) et les clins d'oeils (involontaires ?) aux autres films (Lecter apprenant le raffinement auprès de Lady Shikibu, ses débuts à la faculté de médecine, le masque de samouraï rappelant le masque de l'hôpital psychiatrique...). Manque malgré tout une maîtrise de l'œuvre et surtout une prise de conscience de ce que représente Hannibal Lecter dans la culture populaire. Si le réalisateur et le producteur Dino Di Laurentiis (qui a vraisemblablement décidé d'achever le mythe !) l'avaient compris, ils n'auraient jamais osé livrer un travail aussi bâclé ! Au final, ce préquel restera comme le mois bon de la saga du cannibale, juste derrière "Hannibal" dont il est pourtant le parfait opposé (Ridley Scott ayant pêché par excès de style et de gore). Mieux vaut revoir le formidable "Silence des Agneaux" d'origine ou l'efficace "Dragon Rouge".