AlloCiné
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Votre avis sur Astérix aux Jeux Olympiques ?
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Une foule de célébrités pour un mauvais film. Je n'ai aimé que le passage avec le sabre laser (étant fan de Star Wars), la prestation d'Alain Delon qui arrive à se moquer de lui-même et celle de Gérard Depardieu qui incarne plutôt bien Obélix.
Le reste est navrant. Clovis Cornillac est lamentable dans le rôle d'Astérix. A fuir.
Le reste est navrant. Clovis Cornillac est lamentable dans le rôle d'Astérix. A fuir.
Un gros casting !!! :D Cette opus d'astérix et un film bon ;)
C'est sur qu'ils y a pas mal d'erreur mais bon il ne mérite tant de zéro de la part de tout le monde ;)
de trouve sa injuste :(
je lui met 2.5 car s'était un film sympas a regarder juste pour sa que je met 2.5, sinon ils y a peaucoup d'erreur et c'est dommage :(
C'est sur qu'ils y a pas mal d'erreur mais bon il ne mérite tant de zéro de la part de tout le monde ;)
de trouve sa injuste :(
je lui met 2.5 car s'était un film sympas a regarder juste pour sa que je met 2.5, sinon ils y a peaucoup d'erreur et c'est dommage :(
S'il y a bien une chose qu'un film se présentant à la base comme une comédie se doit de réaliser, c'est de faire rire. Hors, ici, il y a un problème, et de taille: on ne rit quasiment jamais, même avec la meilleure volonté du monde.
Si le casting s'avère être 3 étoiles, l'interprétation n'est franchement pas à la hauteur de ce que cela pouvait laisser présager. Et pour cause, ce casting est très inégal.
Alain Delon qui nous déclame son texte sans aucune conviction, comme s'il jouait à la Comédie Française (pour un film ça passe difficilement...), Gérard Depardieu qui se révèle complétement nullissime en Obélix, Stéphane Rousseau complétement apathique en Alafolix (et que dire de la princesse Irina). D'autres s'en sortent mieux, comme Clovis Cornillac, pas franchement mauvais, ou Elie Semoun en juge olympique.
Bref, ici, on ne retrouve absolument pas, hormis à de rares instants, l'esprit de cette excellente BD qu'est Astérix. Car si Astérix avait été ainsi, je doute qu'il aurait eu le même succès...
Là, j'ai juste l'impression de me retrouver face à un film de copains, où toute la crème des acteurs et humoristes français se sont réunis pour se faire plaisir, quitte à ce que le résultat soit fade pour les autres. Et on nous a même foutu des sportifs qui n'ont pour la plupart aucun talent pour le cinéma (franchement, Zidane, on nage en plein délire...).
De toute façon, pour un film qu'on estampille "Astérix et Obélix aux jeux olympiques", on les voit clairement peu en définitive par rapport à Brutus, qui les éclipse totalement. Si encore, Brutus était bien interprété, et faisait rire, bon ça pourrait passer. Mais là, non, je suis désolé, ça marche pas.
J'ai bien aimé néanmoins l'apparition d'Alexandre Astier, qui m'a donné l'agréable impression de me retrouver devant un épisode de Kaamelott, série dont je suis fana.
Alors bon, je peux aussi être relativement indulgent: en effet, le cinéma français s'avère plutôt avare de films se passant durant l'antiquité, et à défaut de faire rire, il réussit toujours à nous transporter et à nous dépayser quelque peu.
Et puis, je m'attendais à pire au niveau des décors, qui s'ils ne valent pas certaines productions Hollywoodiennes (bon je sais il y a moins de moyens ici) sont pas trop mauvais.
Il y a aussi les costumes qu'on peut toujours citer, qui sont plutôt bien.
Enfin bon, après visionnage, je ne m'étonne finalement pas que le film ait été latté par la critique.
Si le casting s'avère être 3 étoiles, l'interprétation n'est franchement pas à la hauteur de ce que cela pouvait laisser présager. Et pour cause, ce casting est très inégal.
Alain Delon qui nous déclame son texte sans aucune conviction, comme s'il jouait à la Comédie Française (pour un film ça passe difficilement...), Gérard Depardieu qui se révèle complétement nullissime en Obélix, Stéphane Rousseau complétement apathique en Alafolix (et que dire de la princesse Irina). D'autres s'en sortent mieux, comme Clovis Cornillac, pas franchement mauvais, ou Elie Semoun en juge olympique.
Bref, ici, on ne retrouve absolument pas, hormis à de rares instants, l'esprit de cette excellente BD qu'est Astérix. Car si Astérix avait été ainsi, je doute qu'il aurait eu le même succès...
Là, j'ai juste l'impression de me retrouver face à un film de copains, où toute la crème des acteurs et humoristes français se sont réunis pour se faire plaisir, quitte à ce que le résultat soit fade pour les autres. Et on nous a même foutu des sportifs qui n'ont pour la plupart aucun talent pour le cinéma (franchement, Zidane, on nage en plein délire...).
De toute façon, pour un film qu'on estampille "Astérix et Obélix aux jeux olympiques", on les voit clairement peu en définitive par rapport à Brutus, qui les éclipse totalement. Si encore, Brutus était bien interprété, et faisait rire, bon ça pourrait passer. Mais là, non, je suis désolé, ça marche pas.
J'ai bien aimé néanmoins l'apparition d'Alexandre Astier, qui m'a donné l'agréable impression de me retrouver devant un épisode de Kaamelott, série dont je suis fana.
Alors bon, je peux aussi être relativement indulgent: en effet, le cinéma français s'avère plutôt avare de films se passant durant l'antiquité, et à défaut de faire rire, il réussit toujours à nous transporter et à nous dépayser quelque peu.
Et puis, je m'attendais à pire au niveau des décors, qui s'ils ne valent pas certaines productions Hollywoodiennes (bon je sais il y a moins de moyens ici) sont pas trop mauvais.
Il y a aussi les costumes qu'on peut toujours citer, qui sont plutôt bien.
Enfin bon, après visionnage, je ne m'étonne finalement pas que le film ait été latté par la critique.
Dimanche soir, rien à faire, rien à regarder. J'ai allumé TF1, grand mal m'en a prit. Je me suis retrouvé devant "Astérix aux Jeux Olympiques". Il est vrai que la programmation est de circonstance (même si c'est les JO d'hiver). Bon c'est sûr qu'il y a meilleure référence pour parler des JO, mais je me suis laissé tenté. C'est vrai que c'est carrément pitoyable. Pour le plus gros budget de l'histoire pour un film français, ils auraient pu faire mieux quoi... On a compris que la moitié était passé dans la salaire pharamineux d'Alain Delon et compagnie mais merde, ils devaient quand même leur rester assez d'argent pour se payer des scénaristes, au moins un. C'est méga incohérent et pas du tout dans l'esprit de la BD ! Déjà Cornillac (je l'aime bien, il est lyonnais, mais quand même) en Astérix, c'est pas crédible. Clavier était bien meilleur ! Ensuite, Poelvoorde me les a bien cassé avec ses vannes à deux francs. Bon s'il faut bien reconnaitre quelque chose, c'est que le rôle de César va bien à Alain Delon, en même temps c'est pas dure pour lui, il lui suffit de se comporter comme d'habitude. J'ai kiffé la présence de Vanessa Hessler, mais c'est un plaisir purement masculin, donc ça ne devrait pas compter. Non mais à côté de ça, c'est mou, c'est pitoyable humoritisquement parlant sérieux, tout est surjoué au maximum, je me doute que ça doit être voulu, mais quand même c'est pitoyable. Je ne sais pas à quoi s'attendait Langmann mais c'est raté !
asterix au jo est plutot bon . 1,2 sur 5 est totalement exagérer vu que vous le comparer au precedent . c est pas le meillieur des quatre mais il est tres sympa avec beaucoup de guest venu completer cette histoire presque moyenne
L'intérêt de ce troisième Astérix réside dans le casting haut de gamme qui a pris sans aucun doute l’essentiel du gros budget. Ce troisième opus respecte les codes établis par les épisodes précédents à savoir une succession de blagues faisant référence à l'époque actuelle, de l'autodérision (assez plaisante), tout un tas d'anachronismes et un scénario léger faisant outre d'une quelconque réalité et s'éloignant encore plus de la BD. Néanmoins, le rythme est plutôt bon et on ne s'ennuie jamais. Cela ne suffit pas pour faire une bonne comédie, surtout quand certains choix d'acteurs ne paraît pas très judicieux....
Difficile de décrire un navet pareil. Le budget le plus important du cinéma français. Honte au cinéma français. Et bravo chabat ton Astérix est le meilleur et de loin.
Ciné2909
Blockbuster français de l’année 2008, Thomas Langmann avait sur les épaules l’énorme responsabilité de prendre la suite d’Alain Chabat. Fort d’un budget de plus de 78 millions d’Euros; Astérix aux jeux olympiques se donne comme ambition première d’être un vrai spectacle. Si on retrouve avec plaisir les personnages qui ont bercé notre enfance, il faut aussi dire que Langmann n’a pas pris beaucoup de risques. Une fois encore nos gaulois sont relégués à des seconds rôles et le grand show promis se révèle n’être qu’une petite comédie sympathique sans grande envergure. Les scènes manquent souvent de liant et le parterre de stars ne semble être là que pour attirer les spectateurs dans les salles.
Le comique est là, et est dans un style forcé par rapport au comique présent dans les deux films précédents. Là, on joue vraiment à montrer les têtes et à faire son show sans arrière pensée avec à tour de rôle du divertissement et de l’ennui. L’ensemble est ainsi inégal, très brouillon et ses récompenses sont d’ailleurs des gérards mérités dans l’ensemble.
Ce troisième opus a reçu un grand nombre de mauvaises critiques, il est vrai que comparativement à l' Astérix d'Alain Chabat ( Astérix mission Cléopâtre) celui-ci malgré un plus gros budget (78 millions d' Euros) est plusieurs crans en dessous, en dehors de la course de chars et de l'apparition de Jamel Debouze, l'humour semble se destiner principalement à la tranche 6-10 ans. L'originalité se trouve dans le choix des acteurs et surtout des nombreux invités. Bon en résumé on ne s'ennuie pas trop mais il est certain que tout le monde s' attendaient à mieux.
Quand on met tout l'argent dans le recrutement des acteurs il ne reste plus rien pour tout le reste, notamment le scenario. Ce film vous fera très vite comprendre en quoi c'est mal.
Nul, pas drôle, une honte et une insulte envers Astérix.
Nul, pas drôle, une honte et une insulte envers Astérix.
Après l’adaptation très réussie d’Alain Chabat, il a fallu attendre près de 6 ans pour voir une nouvelle adaptation des aventures d’Astérix et Obélix, cette fois menée par Thomas Langmann et Frédéric Forestier.
Un jour, Thomas Langmann eut l’idée de faire d’Astérix & Obélix une superproduction européenne avec un casting cosmopolite et pléthorique. Il a pris le premier album qui s’y prêtait, Astérix aux Jeux Olympiques, y a injecté une somme exorbitante, a multiplié les scènes d’action et les caméos et nous a livré cela en Janvier 2008. Personne ne l’a prévenu que son film sentait le pâté. En effet, le film est écrit avec les pieds, à raison d’un gag qui foire toutes les minutes et des personnages jamais vraiment travaillés et surtout terriblement superficiels. Astérix et Obélix sont relégués au second plan pour laisser un Benoît Brutus Poelvoorde en roue libre qui devient insupportable en neuf minutes top chrono dans la mesure où le seul acteur qui lui donne la répartie est Michael Bully Herbig, muet dans le film (étant donné qu’Alexandre Astier disparaît près d’une heure en plein milieu du film). Alain Delon est utilisé n’importe comment en Jules César et se trouve juste être gênant, plus qu’autre chose. Ne parlons pas de l’insupportable José Garcia, qui n’est pas vraiment gâté par son rôle. Pour ce qui est d’Elie Semoun, il est un des rares bons points du film, dans la mesure où il fait du Elie Semoun. C’est dire la catastrophe.
Pour pallier les failles du scénario, Langmann et Forestier ont réessayé la formule du Boulet : balancer une tonne de scènes d’action indigentes, un nombre de caméos proche du foutage de gueule et des effets spéciaux scandaleusement hideux pour une production de cette taille et de cette époque. La course de chars est trop longue, les coléoptères sont une idée catastrophique, certains caméos sont inexplicables (Mouloudus Achour ? Jean Todt ? Francis Lalanne ? Dany Brillant ? SCHUMIX ? ZINEDINE NUMERODIS ZIDANE ? TONUS PARKUS ? Sérieusement, les mecs ?). Ajoutez-y un score digne d’un Monoprix de province et vous avez là l’un des pires films français de l’Histoire du Cinéma, un échec aussi énorme que l’ambition démesurée du fils de Claude Berri.
Une chose est à mettre au crédit d’Astérix aux Jeux Olympiques : on ne s’ennuie pas, pendant les deux heures du film, tant la nullité transpire de chaque image, au grand dam d’un spectateur malheureux.
Un jour, Thomas Langmann eut l’idée de faire d’Astérix & Obélix une superproduction européenne avec un casting cosmopolite et pléthorique. Il a pris le premier album qui s’y prêtait, Astérix aux Jeux Olympiques, y a injecté une somme exorbitante, a multiplié les scènes d’action et les caméos et nous a livré cela en Janvier 2008. Personne ne l’a prévenu que son film sentait le pâté. En effet, le film est écrit avec les pieds, à raison d’un gag qui foire toutes les minutes et des personnages jamais vraiment travaillés et surtout terriblement superficiels. Astérix et Obélix sont relégués au second plan pour laisser un Benoît Brutus Poelvoorde en roue libre qui devient insupportable en neuf minutes top chrono dans la mesure où le seul acteur qui lui donne la répartie est Michael Bully Herbig, muet dans le film (étant donné qu’Alexandre Astier disparaît près d’une heure en plein milieu du film). Alain Delon est utilisé n’importe comment en Jules César et se trouve juste être gênant, plus qu’autre chose. Ne parlons pas de l’insupportable José Garcia, qui n’est pas vraiment gâté par son rôle. Pour ce qui est d’Elie Semoun, il est un des rares bons points du film, dans la mesure où il fait du Elie Semoun. C’est dire la catastrophe.
Pour pallier les failles du scénario, Langmann et Forestier ont réessayé la formule du Boulet : balancer une tonne de scènes d’action indigentes, un nombre de caméos proche du foutage de gueule et des effets spéciaux scandaleusement hideux pour une production de cette taille et de cette époque. La course de chars est trop longue, les coléoptères sont une idée catastrophique, certains caméos sont inexplicables (Mouloudus Achour ? Jean Todt ? Francis Lalanne ? Dany Brillant ? SCHUMIX ? ZINEDINE NUMERODIS ZIDANE ? TONUS PARKUS ? Sérieusement, les mecs ?). Ajoutez-y un score digne d’un Monoprix de province et vous avez là l’un des pires films français de l’Histoire du Cinéma, un échec aussi énorme que l’ambition démesurée du fils de Claude Berri.
Une chose est à mettre au crédit d’Astérix aux Jeux Olympiques : on ne s’ennuie pas, pendant les deux heures du film, tant la nullité transpire de chaque image, au grand dam d’un spectateur malheureux.
Je n'avais pas prévu de regarder ce "film" mais l'accident de Shumacher (on est le 07 Janvier, et il est dans le Coma depuis une dizaine de jours) m'a donné envie de donner une chance à ce film, par charité chrétienne surement (je suis athé). Mais quel mal j'ai eu pour regarder ce film jusqu'à la fin, 1h25 de malaise devant cette daube (sur les 1h35 mais j'y reviendrais par la suite).
Déjà ça commence mal y'a Langmann à la Real. Ensuite pour profiter du succès de Cornillac de l'époque (ouf cette époque est révolue, je le déteste, qu'est ce qu'il est mauvais) on le plante dans le rôle d'un Astérix inutile dans ce film. Rousseau a depuis disparu, c'est pas le pire. L'idée des Jeux Olympique aurait pu amener un film complètement barré, y'avait plein de chose à faire, mais non ils ont décidé de faire un truc gnian-gnian, pardon débilisant...
Les dernières 10 minutes après la scène du banquet finale qui nous laisse soupirer un ouf de soulagement est pas trop mal réussi, pléiade de stars sportives française qui jouent bien leurs rôles (Zidane meilleur que la plupart des professionnels de ce film), l'idée à développer était celle-ci, pas celle d'une histoire d'amour impossible et incohérente ?!
Ah oui et sur Shumacher, cette scène de la course de chevaux est longue mais longue...
Je savais que ce film était nul mais je ne l'imaginais pas à ce point...
Déjà ça commence mal y'a Langmann à la Real. Ensuite pour profiter du succès de Cornillac de l'époque (ouf cette époque est révolue, je le déteste, qu'est ce qu'il est mauvais) on le plante dans le rôle d'un Astérix inutile dans ce film. Rousseau a depuis disparu, c'est pas le pire. L'idée des Jeux Olympique aurait pu amener un film complètement barré, y'avait plein de chose à faire, mais non ils ont décidé de faire un truc gnian-gnian, pardon débilisant...
Les dernières 10 minutes après la scène du banquet finale qui nous laisse soupirer un ouf de soulagement est pas trop mal réussi, pléiade de stars sportives française qui jouent bien leurs rôles (Zidane meilleur que la plupart des professionnels de ce film), l'idée à développer était celle-ci, pas celle d'une histoire d'amour impossible et incohérente ?!
Ah oui et sur Shumacher, cette scène de la course de chevaux est longue mais longue...
Je savais que ce film était nul mais je ne l'imaginais pas à ce point...
Très peu d'inspiration dans ce film. Après l'excellent "Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre", difficile d'être satisfait...
Ça ne fonctionne pas du tout. Non non non non et non. Ce film avait une idée mais elle fut malheureusement très mal exploitée par des acteurs qui surjouent a ne plus pouvoir regarder le film.
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