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Incertitudes
210 abonnés
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2,5
Publiée le 9 novembre 2018
Une petite virée en Asie pour voir si les petits japonais aiment aussi les grosses tutures trafiquées ? Oui, au prix d'un prétexte complétement bidon expédié durant les cinq premières minutes. Un jeune blanc-bec, à en faire regretter Paul Walker, c'est dire, est envoyé en punition là-bas après une énième virée en voiture. A quoi bon se creuser la cervelle dans un Fast & Furious me direz-vous ? Qui dit voyage dit dépaysement. Changement de culture. Mal du pays. En fait, non. Les Tokyoïtes ont exactement les mêmes goûts que leurs homologues américains dont ils parlent même la langue ! Je pensais même que l'arrivée du taïwanais Justin Lin aux manettes allait apporter un point de vue différent. Nada. La vitesse avant tout. Le hip-hop en fond sonore. Et des jeunes femmes rivalisant de positions lascives pour exciter les mâles avant une course. A ce sujet, Tokyo Drift est particulièrement gratiné. Exemple dans la course-poursuite d'ouverture où la blondinette se déclare elle-même comme trophée pour les deux concurrents. Dans les deux volets précédents, ça n'allait pas jusque là. Bon, après, on retrouve le mafieux à battre au volant, des virées assez bien fichues, il faut le dire, et avec moins de numérique que chez John Singleton, avec une police aux abonnés absentes. A croire qu'il n'y a pas de radar ou de limitation de vitesse chez eux. En réalité, on croise bien une bagnole de flics à un moment mais elle ne fait absolument rien à part contempler le spectacle. un spectacle particulièrement idiot à un tel point qu'ils se sont sentis obligés de préciser avant d'envoyer le générique de fin que toutes les cascades ont été réalisées par des professionnels sur des circuits et qu'il ne faut en aucun cas chercher à les imiter. Si j'avais un doute sur la cible visée par Universal, ils sont définitivement levés.
Ce 3e épisode a failli enterrer la franchise. Comme si ça ne suffisait pas d'amputer le duo initial dans le 2, on repart d'une feuille vierge avec 100% du budget dans les voitures...avec malheureusement un acteur principal loin d'être charismatique (le futur confirmera sa furtive carrière). A part ça, on peut saluer la tentative d'apporter autre chose (Tokyo, drift, pas d'enquête policière mais un environnement mafieux). Mais au final c'est le plus mauvais épisode de la saga.
Film extrêmement faible. Le fond du panier est atteint. Les voitures ne sauvent pas le filme car même l'action n'est pas terrible. A oublier sauf pour les dernières minutes du film.
Beaucoup le considère comme le plus mauvais de la saga je suis pas d'accord c'est un film un peu à part avec un casting certes moins impressionnant que les précédents mais Tokyo Drift amène son propre univers et nous fait découvrir une nouvelle discipline qui est le drift. Ça change des autres ici pas d’enquête seulement des courses et l'univers du tunning qui est plus mis en avant. Malgré les changements le film reste très impressionnant avec des bonnes courses poursuites surtout celle dans les rues de Tokyo qui est vraiment incroyable.
Avec ce 3ème volet, on pensait bien que la saga virait au portnawak et que ça allait se finir au rayon DTV. Casting rajeuni et sans star, réal inconnu, pitch minimaliste mais un budget toujours confortable. De plus, le film ne cartonna pas vraiment mais la scène de fin conjugué à l'échec de "Les chroniques de Riddick" allaient relancé la machine. En attendant, il faut se farcir L. Black et son accent du Midwest, une intrigue sans originalité et une paire d'acteurs qui jouent comme des pieds, à l'instar du 1er rôle féminin (son tout premier film il faut dire), les dialogues sont débiles, empilant les poncifs et les lieux communs mais heureusement que le jeune J. Lin sait envoyer la sauce derrière la caméra avec quelques séquences particulièrement bien foutues voire jouissives (la course-poursuite dans le centre-ville de Tokyo) émaillées de quelques plans bien foutus. Un pur divertissement qui vide bien le cerveau, avec des caisses et des petites pépés qui en jettent. C'est con mais qu'est ce que c'est bon, surtout après un 2ème volet très, très nul. Plus de critiques sur
Un épisode plutôt secondaire pour ce spin off qui nous emmène dans la ville de Tokyo. Une belle réalisation , avec beaucoup de dynamique, de belles courses de voitures, et de la super -action. Mais le scénario est assez light,et il manque un peu de profondeur aux personnages, ce que l'on retrouvera au fur et à mesure de l'évolution de la franchise .Les épisodes 5 et 6 atteignant de sommets, dépassant largement le simple film d'aventures.
On ne veut pas laisser mourir une franchise qui rapporte beaucoup d'argent mais on a pas encore les moyens suffisants pour sortir une suite crédible alors on sort un film sur le même thème avec des petits raccords de temps en temps à la saga originel et le retour en caméo d'un personnage majeur de la saga pour faire encore plus de lien. Film à oublier de la saga.
"Fast & Furious : Tokyo Drift" est probablement considéré comme l'opus le plus mauvais de la saga. En raison de son décalage complet au niveau des environnements, mais surtout au niveau des personnages. Et il est vrai que ce projet ne ressemble pas aux deux premiers volets. Cependant, il serait difficile de le trouver vraiment moins bon que ceux-ci. Pour moi, il continue simplement dans la même direction et il est simplement très similaire aux deux premiers. Sur le papier, c'est certain que ne pas retrouver les héros des premiers volets amène forcément à un réel questionnement quant à la bonne continuité de ce volet au sein de la saga. Malgré tout, je trouve qu'il y a eu un certain soin apporté aux personnages de ce nouvel opus. Leur développement sera toujours très superficiel et cliché, mais j'ai eu un petit attachement envers ceux-ci. Que ce soit pour notre héros, ou même au niveau de certains personnages secondaires, comme Han par exemple. Mais comme je l'ai précisé, cela ne reste qu'un ressenti, dans les faits, tout est très simple. On ne développe rien de très intéressant, cela se ressent surtout au niveau du personnage de Neela, car elle ne sert que de simple "love" intérêt pour notre héros. Par ailleurs, celui-ci, bien qu'étant correctement joué par Lucas Black, me laisse assez perplexe. Il y a certainement eu une erreur de casting, mais j'ai eu beaucoup de mal à croire qu'il n'était même pas majeur pendant toute la durée du film. Donc, finalement, il est vrai que les bases de ce nouveau projet sont assez bancales, mais il faut également dire qu'il est également le plus divertissant des trois premiers. L'arrivée à Tokyo amène de nouveaux décors, mais aussi de nouvelles mécaniques de course. L'apport du drift permet réellement de ne pas nous retrouver face aux mêmes types de séquences que lors des deux précédents. Sachant que cet aspect est plutôt bien exploité, notamment lors d'un superbe final assez haletant. Encore une fois, ce troisième volet n'est qu'un simple divertissement assez sympathique. Il ne nous donne pas de quoi sauter au plafond, mais il reste plaisant à voir, tout comme les deux précédents. Pour conclure, une suite dans la droite lignée de ce que propose la licence.
Ce troisième épisode a le mérite d'innover en délocalisant son histoire au Japon. Mais finalement c'est le seul changement. Encore très classique mais charmant Tokyo Drift est divertissant jusqu'à son twist final pour les aficionados.
Le troisième volet qu'est "Tokyo drift" s'apparentera un peu comme le hors-série de la saga "Fast and furious". Celui-ci se déroule au Japon en nous proposant une nouvelle équipe inconnue au bataillon, plus jeune et plus concentrée sur le drift (dérapage) que sur la course à proprement parler. Cet opus sonne comme une baisse de régime pour la franchise, que ce soit en terme d'intérêt ou de qualité. Mais, la production, clairement maligne, a tout de même prévu une issue de secours, et pas des moindres, puisque le spectateur aura droit à un clin d’œil final annonçant un retour aux sources, et par la même occasion, un choix judicieux.
Nous y sommes, le bas-fond de la saga... Ce spin-off (qui se passe "à-côté") se déroulant au Japon (vive la pub pour Nissan) n'est qu'un teenage-movie des plus fades et vides. L'intrigue est celle d'un jeune turbulent au volant de son vieux tacot, qui est envoyé chez son père au Japon et fait les mêmes bêtises mais au volant de belles japonaises (on parle des voitures... De toute façon quand on voit les rôles des femmes, on préfère fermer les yeux) et s'attire les foudres d'un cartel local (oui : "encore !") qui le défie...à la course. Aussi irréaliste que facile, le scénario ne fait autant d'étincelles que le turbo des voitures, les courses sont inintéressantes (on ne sait même pas ce qu'on regarde) et les acteurs juvéniles sont catastrophiques (et les principaux sont américains, il était bien nécessaire de délocaliser l'action au Japon, si c'était pour caser de l'américain partout...). Tokyo Drift semble ne même pas croire en lui-même autrement que par le biais de son public ado : tout est très calibré pour ne plaire qu'à ce public uniquement. Le petit caméo de Vin Diesel à la fin permet in extremis de raccrocher ce spin-off à la saga Fast and Furious, sans quoi on l'aurait cru petit film de série B pour jeunes en mal de japonaises (les voitures...).
Avant de réussir à imposer un style plus traditionnel et efficace dans les épisodes 4 et 5, Justin Lin s'était complétement raté sur ce "Tokyo Drift" sans la moindre ambition et plombé par une intrigue sans enjeux.