Un des films les plus nuls qu'il m'a jamais été donné de voir !!! Un note négative s'impose. Les acteurs sont pathétiques, les dialogues sont creux et l'histoire est vide, c'est exaspérant !!
L'histoire est plus que nulle, les clichés sont énormes, l'acteur ne vaut pas un clou, tout comme les dialogues d'ailleurs. Les scènes d'action et les jolies filles permettent heureusement de tenir devant tant de médiocrité.
Certainement le moins réussi de la série. Lucas Black n'a pas le charisme de ses prédécesseurs. Le scénario est moyen. Le film vaut juste pour les belles voitures et les courses bien filmées. Vite regardé, vite oublié.
FAST & FURIOUS: TOKYO DRIFT (2006): Pour apprécier ce film, il faudra aimer la bagnole. Autrement: Vroom! Vroom! Et puis Vroom! Vroom! Oh! J'allais oublier, le scénario: Vroom! Vroom! Les dialogues: Moi je, moi je, on raconte sa vie, on se compare, je suis le meilleur. Le gros dur, Takashi entouré de ses gonzesses, une grosse frime qu'il faudra respecter parce que tonton est un méchant mafieux. Oh! La! La! Comme Takashi fait peur avec son regard haineux et sa bouche qui exprime le dégout. Vroom! Vroom! Sean le gentille cassera beaucoup de voitures, un roi du volant qui devra se prouver, et tellement amoureux de la belle Neela. Vroom! Vroom! Des courses de voitures bien maitrisées, mais à part ça… du déjà vu et rien de surprenant. Vroom! Vroom!
Changement de décor et de casting pour ce troisième volet indépendant,qui prend place à Tokyo dans l’univers du Drifting,Et bien que différent,il nous replonge dans un univers cool et stéréotypé découvert par le premier opus et détruit par le second.Des courses sympathiques,des personnages assimilables et attachants joués par un casting de seconde zone malgré tout compétents…Sans oublier un petit caméo agréable.Le seul ressentiment embarrassant est peut-être le manque d’une bonne tête d’affiche au casting pour le surélever un peu,et une photographie assez désaturée et granuleuse qui fait trop old school.Justin Lin a pris ici d’énormes risques en se lançant dans un autre registre tout aussi motorisé,mais s’en sort relativement bien.
Le film de bagnoles lourd par excellence. Avec toute l'objectivité possible, les voitures sont plutôt belles (pour ceux qui aiment le tuning version baroque) mais le reste est vraiment nul! Ceux qui recherchent des dialogues nazes de chez nazes aimeront surement. Les clichés fleurissent à chaque scène, etc... bref, pour se vider l'esprit il y a de meilleurs films, même abrutissants...
Un excellent troisième volet de la saga Fast and Furious de Justin Lin.Une histoire cool,dynamique et stylisé,une très bonne mise en scène,d'excellents acteurs,de belles filles et de belles voitures et de très bonnes courses de voitures.Je préfère le 2,le 1,celui-ci et le 4 qui m'a un peu déçu.
Succès au box office oblige, la saga F&F se poursuit avec ce 3ème opus qui n'a plus grand chose à voir avec les deux précédents. Ici on change de décor et de casting avec Tokyo en scène centrale et un "héros" sans charisme pour une sorte de teen movie bien faiblard. L'intérêt principal réside surtout dans la découverte d'une nouvelle discipline, le drift, dont on va profiter tout du long. Les runs sont plutôt sympas et notamment l'ultime course mais les enjeux sont tellement pauvres qu'il est bien difficile de s'emballer pour qui ou quoi que ce soit. Même Han, personnage emblématique par la suite semble effacé. Très peu d'intérêt donc pour cet épisode quelque peu bâtard qui s'il renoue finalement un peu avec l'esprit runner du 1er est bien trop faible à tous les points de vue malgré un clin d'œil final qui allait donner de l'espoir pour la suite. Justin Lin prenait pourtant ici les commandes de la saga, lui qui va tout de même réaliser des épisodes absolument spectaculaires par la suite. Une erreur de parcours finalement.
Une petite virée en Asie pour voir si les petits japonais aiment aussi les grosses tutures trafiquées ? Oui, au prix d'un prétexte complétement bidon expédié durant les cinq premières minutes. Un jeune blanc-bec, à en faire regretter Paul Walker, c'est dire, est envoyé en punition là-bas après une énième virée en voiture. A quoi bon se creuser la cervelle dans un Fast & Furious me direz-vous ? Qui dit voyage dit dépaysement. Changement de culture. Mal du pays. En fait, non. Les Tokyoïtes ont exactement les mêmes goûts que leurs homologues américains dont ils parlent même la langue ! Je pensais même que l'arrivée du taïwanais Justin Lin aux manettes allait apporter un point de vue différent. Nada. La vitesse avant tout. Le hip-hop en fond sonore. Et des jeunes femmes rivalisant de positions lascives pour exciter les mâles avant une course. A ce sujet, Tokyo Drift est particulièrement gratiné. Exemple dans la course-poursuite d'ouverture où la blondinette se déclare elle-même comme trophée pour les deux concurrents. Dans les deux volets précédents, ça n'allait pas jusque là. Bon, après, on retrouve le mafieux à battre au volant, des virées assez bien fichues, il faut le dire, et avec moins de numérique que chez John Singleton, avec une police aux abonnés absentes. A croire qu'il n'y a pas de radar ou de limitation de vitesse chez eux. En réalité, on croise bien une bagnole de flics à un moment mais elle ne fait absolument rien à part contempler le spectacle. un spectacle particulièrement idiot à un tel point qu'ils se sont sentis obligés de préciser avant d'envoyer le générique de fin que toutes les cascades ont été réalisées par des professionnels sur des circuits et qu'il ne faut en aucun cas chercher à les imiter. Si j'avais un doute sur la cible visée par Universal, ils sont définitivement levés.