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Sébastien L.
17 abonnés
257 critiques
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4,0
Publiée le 2 juillet 2007
Une suite forte en émotion à l'image du premier volet, ou l'on peut suivre le parcours de ce jeune footballeur hors du commun. Dommage cependant que cet opus se consacre au show biz plutôt qu'aux prouesses footballistiques.
Deuxième volet toujours aussi caricatural avec un scénario cousu de fil blanc qui nous reprend tous les ingrédients du premier mais en plus lourd avec comme symbole la rencontre du héros avec sa mère et son demi-frère tous deux pauvres digne du pire des mélos attardés. On s'amusera bien avec les apparitions de quelques vedettes du milieux du foot ou encore du numéra assez drôle d'Alessandro Nivola mais ce n'est pas suffisant pour rattraper cette succes story en forme de clip pop rock écrit par des gars qui ne connaissent rien au foot où qui l'ont formaté pour plaire au U.S.A. et puis Kuno becker est juste dénue de tout charisme.
C'est trés intéréssant de voir jouez dans le film des stars du ballon rond mais on apprend la facilité à posséder nimporte quoi et surtout l'argent,l'argent et la gagne...
Le film débute là ou s'achevait le premier, et assez vite Santiago Munez ( toujours Becker ) débarque au Real de Madrid, le club rêvé pour n'importe quel joueur de football. Il y rejoins Gavin Harris ( toujours Nivola ), transféré quelques mois plus tot. L'hisoire footbalistique est assez conforme a celle du 1er épisode, tout roule pour Santi, et Harris n'est pas souvent au top. Par contre on rajoute des intrigues familiales et amoureuses intéressantes. De nouveau, peu de temps mort et la réalisation de Jaume Collet-Serra est sans fausses notes. Coté casting, on retrouve en caméo toute l'équipe du Real et Rutger Hauer en bonus. Un bon film dans la veine du premier.
Les films sur le football sont déjà rares en général car c'est un sujet populaire plutôt compliqué, mais les bons films sur ce thème sont encore plus rares. "Goal 1" était annoncé à l'époque comme une grande réussite sur tous les plans, résultat : il s'est totalement cassé la gueule au box-office et s'est révélé être un mauvais film, celui-ci est encore pire que le premier. Voyons le speech : un gamin de 20 ans qui a réussi à Newcastle United se retrouve transféré dans le plus grand club du monde, le Real Madrid. Et là, il réussit aussi bien qu'à son ancien club malgré toute la pression qu'il doit supporter qui nous est retranscrite tout au long. Soyons sérieux un moment, les producteurs et le réalisateur ne doivent pas connaitre grand chose au football pour nous pondre une connerie pareil. Connaissant un peu le sujet, je peux vous dire que c'est totalement impossible ! Le type arrive de nulle part, il réussit partout où il passe, même dans le club où il y a le plus de pression au monde. Ajouté à cela, sa situation familiale, sa copine, ses frasques extra-sportives, c'est IMPOSSIBLE ! Mais bref, passé cela, si encore on avait un film un minimum construit mais ce n'est pas le cas. Jaume Collet-Serra (réalisateur de l’exécrable "Maison de cire") nous fout à la tronche des plans sans aucune réflexion derrière, sans mise en scène, sans rien en fait. On s'ennuie tout au long du film, le scénario est ultra prévisible et même les matchs sont mal filmés. Seul bon point, la présence de mon équipe favorite dans ce film, c'est bien maigre quand même. A éviter absolument !
Ce Goal n°2 reste dans la continuité du 1er opus : des clichés en pagaille sur les footeux et des buts de playstation ,tout ca sur une insupportable bande-son de video clip.Pour corser l'affaire ,les scenaristes (bravo au passage pour la scene de la poursuite entre la Lamborghini et le taxi : vraiment trop drole) ont cru bon de rajouter une grosse dose de larmes en nous sortant les retrouvailles de Munez avec sa maman et son petit frere : comme c'est touchant !!! Non + serieusement pour reussir a suivre jusqu'au bout ce film ,il faut soit etre un fan du Real Madrid (ce que je suis) ou bien etre agé de moins de 12 ans car cette histoire d'ascension sportive s'avere previsible et ennuyeuse au possible.Entre documentaire sur le club Espagnol (Zidane et compagnie sont justes la pour le decor) et matchs a la "Olive et Tom" ,ce film prouve que le foot ne s'accommode que rarement du grand ecran.Coté acteurs ,Becker (en passant ca sonne plutot tennis )demeure assez credible tandis que Hauer se la joue guest-star en entraineur.La franchement les producteurs se Foot de notre "goal" ,et dire que dans le n°3 le jeune prodige va gagner la coupe du monde ,ah mince j'ai raconté la fin !!!
Goal II est une suite de bonne augure, plausible au niveau de ses scènes sur le terrain ainsi qu'au niveau de son scénario. Toutefois, l'esthétique semble y être trop tape à l'oeil et au final relativement pauvre, peu cohérent. La présence d'un nombre conséquent de stars telles que Raul, Zidane ou même Beckham relève rapidement le niveau et nous prouve un certain engagement de leur part, comme si la volonté de s'éléver au rang de ces grands n'avait jamais été aussi intense.
Je suis tombé de haut car j’avais un bon souvenir du premier opus et, patatras, une suite de plus qui ne réussit pas à faire aussi bien que l’original : en effet, par rapport au premier, c’est moins un film et c’est plus une passerelle entre le 1er film et un hypothétique 3ème volet qui n’est jamais sorti au Cinéma en France. En terme de scénario, il y a beaucoup (trop) d’images de matchs et trop peu d’histoire. Car si la bonne idée du film, c’est de mélanger l’effectif du Real Madrid 2005/2006 dans de vrais matchs avec des acteurs du film, il y a quand même quelques problèmes de cohérence footballistique. En effet, même si c’est le Real Madrid est connu pour sa propension à empiler les attaquants, il y a quand même beaucoup d’attaquants simultanément dans cette équipe du Real Madrid puisque devant Zidane et Beckham, il y a les 3 « R » (Robinho, Ronaldo, Raul) et les deux vrais acteurs du film ! Une idée du film, à peine effleurée, aurait méritée d’être développée encore plus, c’est la tendance naturelle du héros à ne pas comprendre les reproches du Coach, pour tous ses manquements à la discipline du groupe, à l’hygiène de vie et au comportement d’un sportif de haut niveau. Toute ressemblance avec les comportements récents de football français n’est pas fortuite, tant l’intelligence des jeunes footballeurs ne s’améliore pas au fil des années. Enfin, j’ai rarement vu, depuis « I Robot », un film aussi peu subtil dans le placement de produits (Samsung en tête).
ça se laisse regarder mais ça vole pas très haut , l'histoire n'est pas intéressante , on reste dans les clichés du football , on a beau voir des stars du football , ce ne sont que des figurants...donc inintéressant . Le premier était déjà assez legé , celui là c'est encore pire , je ne vous le conseille pas à part si il y a vraiment rien à la télé.
Autant le premier épisode arrivait à présenter quelque chose de cohérent et peu banale, autant le deuxième opus est la consécration des effets spéciaux digne de "shaolin soccer" et de toutes les superficialités du star system dont la presse people nous fait déjà part au quotidien.
Clairement moins bien que le premier ! Cette suite est plus monotone, un peu longue et survole trop son scénario, il va par exemple voir sa mère bien trop tard. L’histoire avec le frère est sympa mais pas assez amené, quant à la fin j’en parle pas : le film n’est même pas vraiment finit. L’histoire d’amour n’a pas été résolue. Franchement moins bien que le premier. Le seul point un peu mieux est le football qui est mieux filmé et qui nous montre 2, 3 stars donc sympas, mais sans plus.
Wouhou !!! Quelle suite, c'est superbe ! Un excellent film, avec de très belles scenes. La saga des "Goal" arrive à faire des films sur le football, en placant le football comme decor, et non pas comme element de premier plan, ce qui fait que ca ne devient pas ennuyeu !! On attend la suite
Film sans réel grand intérêt si ce n'est voir des stars de foot sur grand écran. Les trucages sont vraiment lamentables et l'histoire ridicule. Les caricatures sur la starification d'une personne foisonnent et gâches tout. Film à oublier.
A l'instar du premier opus qui présentait le personnage, son évolution et ses capacités footballistiques, ce deuxième volet se résume à beaucoup de clichés publicitaires (pour une certaine équipe dont je ne citerais pas le nom) et à du prévisible à souhait. Le troisième film risque de n'apporter pas beaucoup de nouveautés.
Santiago Munez part jouer au Real Madrid... Cette suite présente peu d’intérêt si ce n'est voir une succession de star du ballon rond. Le côté fric fou de millionnaire en short devient rapidement agaçant et l'histoire et le déroulement des matchs parait de moins en moins crédibles. A voir si on est vraiment fan de foot et de la "maison blanche"