Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) ce deuxième volet de la trilogie Goal offre un festival de buts, de dribbles ainsi qu'une virée édifiante dans l'univers paillettes des stars du ballon rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
Un bon gros mélo efficace mais convenu qui alterne à un rythme de métronome exploits sportifs, intermèdes intimistes et extraits de matchs.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si les amateurs de foot prendront plaisir à admirer les exploits des stars du club espagnol, les autres risquent de s'ennuyer sur le terrain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Philippe Scrine
(..) on est (...) tenté de faire à GOAL II, les mêmes reproches qu'au premier : clichés, exigence sensationnaliste inhérente aux productions hollywoodiennes, récit balisé.
Première
par La Rédaction
On n'avait guère goûté aux charmes du film initial. Et cette suite (...) ne titille pas plus notre enthousiasme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
En changeant de réalisateur, la deuxième période (...) de ce triptyque a perdu son âme. On a davantage l'impression d'assister à un long spot de pub pour annonceurs officiels qu'à du cinéma. On frôle le carton rouge !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Goal 2 se suit sans déplaisir comme un nanar sympa et inoffensif et se pose avec son rythme de série télévisuelle ampoulée, à la frontière de la télé-réalité et du jeu vidéo.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Bayon
Bref, Goal II (à chaque but, un panneau clignote : "But !" ) se fout de notre goal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Comme dans le premier épisode, tous les clichés du ballon rond sont là réunis. Mais on y voit aussi Raul, Zidane, Beckham et consorts. Faut vraiment aimer naïvement le football pour aller voir ça.
Score
par Emmanuelle Spadacenta
Face au néant scénaristique et à l'esthétisme tape-à-l'oeil, on est aussi impuissant qu'un gardien de but sans bras : on attend que ça passe.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Parisien
(...) ce deuxième volet de la trilogie Goal offre un festival de buts, de dribbles ainsi qu'une virée édifiante dans l'univers paillettes des stars du ballon rond.
TéléCinéObs
Un bon gros mélo efficace mais convenu qui alterne à un rythme de métronome exploits sportifs, intermèdes intimistes et extraits de matchs.
Le Journal du Dimanche
Si les amateurs de foot prendront plaisir à admirer les exploits des stars du club espagnol, les autres risquent de s'ennuyer sur le terrain.
MCinéma.com
(..) on est (...) tenté de faire à GOAL II, les mêmes reproches qu'au premier : clichés, exigence sensationnaliste inhérente aux productions hollywoodiennes, récit balisé.
Première
On n'avait guère goûté aux charmes du film initial. Et cette suite (...) ne titille pas plus notre enthousiasme.
Télé 7 Jours
En changeant de réalisateur, la deuxième période (...) de ce triptyque a perdu son âme. On a davantage l'impression d'assister à un long spot de pub pour annonceurs officiels qu'à du cinéma. On frôle le carton rouge !
aVoir-aLire.com
Goal 2 se suit sans déplaisir comme un nanar sympa et inoffensif et se pose avec son rythme de série télévisuelle ampoulée, à la frontière de la télé-réalité et du jeu vidéo.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Bref, Goal II (à chaque but, un panneau clignote : "But !" ) se fout de notre goal.
Ouest France
Comme dans le premier épisode, tous les clichés du ballon rond sont là réunis. Mais on y voit aussi Raul, Zidane, Beckham et consorts. Faut vraiment aimer naïvement le football pour aller voir ça.
Score
Face au néant scénaristique et à l'esthétisme tape-à-l'oeil, on est aussi impuissant qu'un gardien de but sans bras : on attend que ça passe.