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Un visiteur
2,0
Publiée le 17 décembre 2013
Je m'attendais à pire. C'est pas pour autant que j'ai apprécié ce film qui passerait plus comme un téléfilm du dimanche après-midi qu'autre chose. Heureusement que Daniel Prévost est là pour hausser le film. Hélas, il ne suffit pas.
Le sympathique Dany Boon adapte sa pièce "La vie de chantier" et bricole une comédie très banale mais suffisamment agréable et divertissante pour que l'on passe une bonne soirée.
Adaptation quelconque d’une pièce de boulevard qui aurait eu du succès. Ça démarre bien puis ça devient décousu et banal, juste un peu drôle, avec des gags de chantier bien éculés ! Si vous voulez vraiment rire, allez voir autre chose ! Dany Boon évite heureusement deux écueils de la comédie franchouillarde habituelle : il garde le rythme et ne tombe jamais dans la vulgarité. Il sait aussi réunir un casting, réussi, mais pourquoi avoir sous-employé l’excellente actrice comique qu’est Michèle Laroque ?
L'histoire se déroule bien sans trop s'ennuyer, il y a de bonnes scènes où on rigole...surtout les scènes avec les deux maçons qui sont vraiment drôles !!!
Pour son premier film, Dany Boon nous propose une comédie sympathique, pas désopilante ni poilante mais pas désagréable pour autant. Je ne connais pas la pièce de théâtre qui en est inspiré donc je ne commenterai pas l'adaptation. Mais en tant que comédie de cinéma, le traitement reste quelque peu surprenant. En effet, la première partie du film ou l'on suit le héros tomber dans son engrenage d'endettement est loin d'être comique et s'il y a une certaine légèreté, on est plus proche du drame social que la comédie. Seul le personnage de Daniel Prévost ( du sur-mesure pour l'acteur et à fortiori un résultat assez drôle ) et quelques répliques sont là pour nous rappeler que le film est sensé faire rire. La suite avec la vie de chantier proposent davantage de situations comiques mais celles-ci se révèlent relativement convenues et sans imagination. Il manque un peu de folie dans ces séquences. La distribution est néanmoins sympathique grâce aux multiples seconds rôles que Dany Boon a réuni autour de son personnage. Par ailleurs, sur le plan de la mise en scène, il parvient à insuffler un certain rythme dans l'enchaînement des scènes. De plus, la trajectoire du personnage n'est pas inintéressante et le film est assez agréable à suivre. Il est toutefois dans un entre deux. Ni critique sociale avec un humour acide, ni farce déjanté avec un humour burlesque, il est juste léger sur fond de gravité. Dommage car du coup l'aspect comique ne décolle jamais vraiment. Cela n'en demeure pas moins un honnête premier film.
Petite comédie française avec de très bon acteurs comme Daniel Prévost qui est excellent dans son rôle , ou le duo Soualem-Gamelon qui fonctionne très bien. Une fin très brèves qui n'est très convenable mais on passe un bon moments , on rit . Dany Boon a réussi son film.
Le gros point fort de "La Maison du bonheur" reste la présence, dans un second rôle, de Daniel Prévost à qui l'on doit la plupart des répliques savoureuses de ce film. Sinon, le film en lui-même est pas mal, plutôt sympathique même s'il ne casse pas trois pattes à un canard et accumule les clichés (en particulier: un dénouement convenu).
Une comédie dont le gros problème vient d'un scénario totalement lourdingue (compilation de situation sketchouide raté) et d'une mise en scène laide (mal filmé en tout point). Dans ce carnage, quelques acteurs tirent leur épingle du jeu (Prévost) mais on s'ennuie ferme devant ce projet mal ficelé qui se traîne en longueur... Le temps de deviner la fin !
Le sympathique Dany Boon adapte sa pièce "La vie de chantier" et bricole une comédie très banale mais suffisamment agréable et divertissante pour que l'on passe une bonne soirée.
Cette comédie est dans l'ensemble assez sympa, même si on sourit plus qu'on rigole. Dany Boon en fait moins que d'habitude. C'est Daniel Prévost en fait qui apporte le plus d'humour. Sinon, l'histoire est assez banale et convenue. Un bon film à regarder le soir sur TF1 plutôt qu'au ciné.
Premier film et première réussite pour Dany Boon avec LA MAISON DU BONHEUR. Le réalisateur / acteur décrit parfaitement les dérives autour de l'immobilier et du sur endettement dans une comédie douce amère. En prime Daniel Prevost offre une composition digne de celle qu'il a offerte dans LE DINER DE CONS et le binôme Gamellon / Soualem est assurément l'un des meilleurs duos de guignols vu depuis longtemps ! C'est dire !