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Ykarpathakis157
4 546 abonnés
18 103 critiques
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4,5
Publiée le 11 octobre 2020
La Maison du bonheur est vraiment une très bonne comédie même si elle est un peu haletante pour le spectateur. C'est une de ces comédies qui accumulent catastrophe après catastrophe et on finit par se demander comment diable cela va finir par s'arranger. Un jeune homme (Dany Boon) travaillant dans le département contentieux d'une société de crédit et plutôt avare en général décide d'acheter secrètement une maison de campagne pour sa femme (Michèle Laroque) et de vendre leur appartement actuel dans le centre de Paris. Le tout à l'insu de cette femme et tombe malheureusement sur un courtier immobilier qui parvient à lui vendre une ruine. Pour aggraver les choses on lui fournit une équipe de construction moins que complète qui ne parvient pas à bâcler à peu près tous les travaux qu'ils entreprennent. De plus le collègue de bureau de Boon cherche à acheter la même maison à son insu et le vil agent immobilier joué par Daniel Prévost joue de manière dégoûtante l'un contre l'autre. Pour le reste de l'histoire je vous laisse la découvrir...
La toute première réalisation de Dany Boon qui est ma foi tout à fait agréable et drôle. J'aime ce genre de film où tout part en cacahuète malgré les efforts des protagonistes. Les situations sont cocasses, les acteurs sont drôles, j'ai vraiment beaucoup aimé.
Un comédie qui est réussit. L'histoire, un mari qui est radin, qui en a le reproche, décide pour faire plaisir à sa femme d'acheter une maison. A la suite de ça le début des embêtements commence (perte d'emploi, maison en travaux ...) Dany Boon est extra pour son premier film tant en acteur que réalisateur. Le film jouit d'un casting de luxe de la comédie française, Daniel Prevost, Michèle Laroque Laurent Gamelon, Zinedine Soualem, Line Renaud.... Les situations cocasses , catastrophiques et désastreuses sont au rendez vous et font de ce film une moquerie sociale. En effet, personne ne voudrait d'une telle équipe pour rénover sa maison. Une comédie sans temps mort où on ne s'ennuie pas.
La maison du bonheur, on dirait un hymne à Claude François. L'avantage avec l'acteur principal, il peut lui arriver n'importe quoi dans la vie, il tombera toujours sur ses pattes. Un vrai chat de gouttière. Là c'est l'histoire d'un appartement à vendre avec des travaux, mais pour les travaux, personne ne travaille dans ce film. Il y a aussi des histoires d'argent, toujours des sous. A la recherche de sous, voilà le titre du film.
Dany Boon, encore un film plutôt réussi dans l'ensemble. Une fin vraiment très logique et à laquelle on pourrait s'attendre dès le début du film. Cependant, j'ai trouvé qu'il y a eu pas mal de rebondissement et c'est grâce à ceux-ci que j'ai apprécié jusqu'à la fin.
Dany Boon était encore un perfectionniste et ce film vaut bien mieux que certaines de ses réalisations plus récentes. On a une comédie franchement drôle avec un héros qui cumule les malchances dans l'achat et la restauration d'une maison à la banlieue ouest de Paris. Daniel Prévost joue un abominable promoteur immobilier véreux et sans scrupules, et ses deux ouvriers sont tout aussi nuls que lui. C'est frais, amusant et bien ficelé.
J'ai pris le film en cours de route mais qu'est-ce qu'il était drôle. Les acteurs sont des as de l'hypocrisie, mais si on s'en tient à l'histoire, elle est bien construite. Monsieur est persuadé que sa nouvelle maison sera le bonheur, mais Madame ne veut pas bouger. De là naît une certaine tension, renforcée par les arnaques et l'incompétence des ouvriers. C'est assez magique et ça donne envie de prendre une douche chez eux.
Avis personnel. Je n'ai pas vraiment le sens de ce genre d'humour. Le thème est certainement à bon potentiel comique mais son exploitation est, pour moi, trop "comédie à la française" basique. C'est-à-dire plutôt lourde la plupart du temps. Sur la durée, Dany Boon nous concocte bien quelques scènes ou le rire est au rendez-vous mais plus le film avance, plus ça tourne en rond dans ce chantier qui n'en finit pas de nous resservir les mêmes gags. Les répercussions des mauvais choix de Danny/Charles sur sa relation de couple sont sans doute les meilleurs moments de l'histoire, Michèle Laroque/Anne se montrant fort convaincante aussi bien en femme amoureuse qu'en femme excédée. Daniel Prévost/Jean-Pierre, lui, nous sert son personnage habituel fait de cynisme et de roublardise qu'il maîtrise à la perfection. Citons encore Michel Vuillermoz/Jacques et Line Renaud/Tata Suzanne qui font simplement bien leur job dans cette comédie que j'ai trouvée peu dynamique et en manque d'imagination. Bof...
Intéressant essai sur le thème de l’excès de générosité, et où la volonté de trop en faire peut mener ; de surcroît dans une société où l’argent obsède totalement l’esprit du commun des mortels.
Un film réalisé à 100% par Dany Boon qui est scénariste, dialoguiste, metteur en scène et acteur principal de cette Comédie que personnellement je ne trouve pas drôle. Son scénario nous conte une histoire non cohérente qui enchaine catastrophes sur catastrophes. Excepté quelques rares bonnes répliques, le ton est forcé et l'histoire pathétique. Heureusement, la présence de l'excellent Daniel Prévost sauve la situation car Dany Boon, en bon comédien, arrive avec son rôle de stressé maladroit à stresser le spectateur.
Voyage scolaire. Les voyages en car, c’est toujours l’opportunité de voir des pièces majeures du 7ème art français. Bref, cette fois-ci, le meilleur film de la sélection proposée par l’autocariste était la première comédie de Dany Boon. L’histoire, c’est celle d’un agent de recouvrement que sa femme trouve pingre. Pour lui prouver le contraire, il va acheter en secret une baraque pas trop chère et faire tous les travaux nécessaires. Le bon vieux ressort du mensonge qui va trop loin et dont on ne peut se défaire fonctionne toujours bien. On suit ici avec plaisir les sueurs froides de ce radin qui se retrouve sur la paille. Mais si le tout marche aussi bien, c’est surtout grâce à l’efficacité des seconds rôles. Daniel Prévost et Zinedine Soualem y excellent. Alors bien sûr, pas de grande surprise et la réalisation est expédiée sans grande originalité mais c’est une farce qui se regarde avec plaisir … et quand on a quelques heures de transport devant soi, c’est déjà pas mal.
Le meilleur film de Dany Boon à mes yeux, et de loin. Humour en rythme et un thème qui, lorsqu'on l'a vécu, ne peut laisser indifférent. Les acteurs en font trop, et c'est ça qui est drôle!
Pour moi, "La Maison du Bonheur" est la moins bonne comédie réalisée par Dany Boon. C'est pas non plus une catastrophe, pas la pire comédie Française existante, j'ai vu largement pire que ça, mais ça reste un film assez oubliable, pas très marquant avec un humour bof. Même si le film a plus de 10 ans, il a pas trop mal vieilli et le scénario est plutôt correct. Au niveau des acteurs, Dany Boon est pas trop mauvais mais a tendance à cabotiner des fois, Daniel Prévost est plutôt bon, mais en fait trop souvent. Michèle Laroque toujours égale à elle-même. Les deux points positifs au niveau des acteurs sont Laurent Gamelon et Zinédine Soualem qui sont assez drôles. Mais sinon, j'ai trouvé ce film par moment plat et poussif, avec beaucoup de défauts, il y avait vraiment des moments où je m'ennuyais et où je trouvais l'humour forcé et lourd. Donc, je peux considérer ce film comme un léger divertissement, mais sans plus. Alors peut-être que ça plaira à d'autres, mais moi, même si j'ai ri par moment, je sais pas trop si je peux recommander ce film. Ceux qui aiment ce genre de style en tout cas, aimeront peut-être.
Un film sympathique sur l'achat d'une maison par Monsieur pour faire plaisir à Madame... Sans oublier la partie "travaux de rénovation" et autres contrariétés qui vont avec. Une comédie pas délirante mais bien réalisée, que je trouve calquée sur "Une baraque à tout casser (1986) de Walter Fielding avec Tom Hanks, pour celles et ceux qui veulent aller plus loin.
Œuvre populaire de la culture française et premier film en date de Dany Boon, « La maison du bonheur » est un honnête divertissement qui fait ressortir l’instinct d’égoïsme de tout à chacun. Si la notion de plaisir coupable est de vigueur, c’est aussi et surtout grâce à quelques répliques percutantes, des situations frisant le chaos (touche d’humour en plus), ainsi qu’à un casting de premier ordre. Daniel Prévost, en sorte d’exercice de style, excelle. Mais il est sur qu’à défaut d’être économe, il vaut mieux bien choisir ses agents immobiliers, si l’on ne veut pas vivre de grosses déconvenues…