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rocky6
30 abonnés
1 719 critiques
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4,0
Publiée le 1 avril 2021
Une très bonne comédie emmené par un excellent Daniel Boon. On rit souvent devant les nombreux gags. On y suit les mésaventures d'un employé de banque qui se lance d'une maison de campagne sans rien dire à sa femme. Le chantier va virer au cauchemar en raison de l'incompétence des ouvriers. Le casting est vraiment au top : Michèle Laroque, Daniel Prevost ou encore Laurent Gamelon. A voir ou revoir pour passer un bon moment de détente.
Cela me surprend que des personnes ( et pas qu'un peu ) ait mis 4 ou 3 étoiles à ce film qui pourtant est du niveau de asterix jeux olympiques, sans le gros budjet .
C'est simple nous avons une comédie, dont l'histoire met longtemps à ce mettre en place, tourne en rond et fini tel un moliére . mais on moins les fins deus ex machina from moliére posséde quelque chose avant . Si j'ai regardé ce film en entier c'est juste par principe qu'il ne faut pas s'arreter en plein milieu ( la deuxiéme partie d'aeon flux est bien )
Mais là : Ce film est vraiment mauvais, l'humour présent dans ce film convient à un humour de premier degré bas de gamme voire trés puerile .
Une bonne idée départ qui est ensuite convenablement exploité jusqu'à son terme. C'est déjà un grand point positif, L'interprétation est très correcte mais si Boon semble rester sur sa réserve, Michèle Laroque est toujours aussi sémillante et le duo Sualem/Gamelon apporte une dose de burlesque plutôt cocasse, quant à Daniel Prevost il est survitaminé et s'amuse comme un fou. Si le rythme est bon (on ne s'ennuie jamais) il se crée dans la deuxième partie comme une sensation de surplace, les rebondissements n'étant pas très percutants. La fin qui virait bisounours est sauvé par le dernier plan tout à fait inattendu. Bref rien d'exceptionnel amis un bon petit moment de cinéma.
Un film sympathique sur l'achat d'une maison par Monsieur pour faire plaisir à Madame... Sans oublier la partie "travaux de rénovation" et autres contrariétés qui vont avec. Une comédie pas délirante mais bien réalisée, que je trouve calquée sur "Une baraque à tout casser (1986) de Walter Fielding avec Tom Hanks, pour celles et ceux qui veulent aller plus loin.
Après une carrière à succès en one-man-show et comme acteur dans les films des autres, Dany Boon décide de passer au poste de réalisateur (tout en restant acteur principal) en adaptant sa pièce de théâtre La Vie de chantier. Le résultat, retitré La Maison du bonheur, est une petite réussite. Boon a l’intelligence de ne pas chercher constamment le rire dès le début et de laisser s’installer la situation et les personnages. Ainsi, même si les événements suivants sont tout de même très exagérés, il arrive à rester un tant soit peu crédible pendant tout le film, ce qui permet de renforcer l’implication du spectateur. Les comédiens (Dany Boon, Michèle Laroque, Daniel Prévost dans le type de personnage qui a fait sa célébrité, Zinedine Soualem hilarant en ahuri, Laurent Gamelon, Line Renaud, Michel Vuillermoz…) s’en donnent à cœur joie et rendent le tout très amusant. Pour son premier long-métrage, Dany Boon réussit donc à offrir une sympathique comédie qui rencontra un petit succès (un peu plus d’un million d’entrées en France) lui permettant d’avoir la possibilité de continuer l’expérience de la réalisation avec un film plus personnel qui explosera tous les records du box-office pour un film français : Bienvenue chez les Ch’tis !
Je me demande si La Maison du bonheur, le premier film réalisé par Dany Boon en 2006, n'est pas son meilleur film. C'est à dire meilleur que Rien à déclarer et Bienvenue chez les Ch'tis. C'est du théâtre de boulevard certes mais du théâtre de boulevard bien filmé où les ficelles sont tellement grosses que l'on arrive à en rire quand même. Je dis que c'est gros car chaque situation est exagérée à l'extrême. Boon est un agent d'une société de crédit chargé de harceler les gens en surendettement. Radin invétéré, il a le béguin subit pour une maison de campagne délabrée. Mais l'agent immobilier véreux, qui lui vend la maison, va lui mettre ses pires ouvriers sur le chantier et indirectement entraîner une cascade de catastrophes et ruiner la vie de famille de Charles Boulin. C'est rythmé, les acteurs (surtout Daniel Prévost) cabotinent mais sont sympathiques donc ça passe et le spectateur se demande jusqu'où ils peuvent aller. Le titre du film paraît un peu usurpé du coup, à moins que ça ne soit purement ironique. Et puis, il y a des réflexions assez acides sur l'univers totalement déshumanisé des banques et des sociétés de crédit à la consommation où même la concurrence règne entre collègues. Du bon cinéma, sans prétention aucune et qui mérite son million de spectateur en salles.
Œuvre populaire de la culture française et premier film en date de Dany Boon, « La maison du bonheur » est un honnête divertissement qui fait ressortir l’instinct d’égoïsme de tout à chacun. Si la notion de plaisir coupable est de vigueur, c’est aussi et surtout grâce à quelques répliques percutantes, des situations frisant le chaos (touche d’humour en plus), ainsi qu’à un casting de premier ordre. Daniel Prévost, en sorte d’exercice de style, excelle. Mais il est sur qu’à défaut d’être économe, il vaut mieux bien choisir ses agents immobiliers, si l’on ne veut pas vivre de grosses déconvenues…
Premier long-métrage pour Dany Boon qui fait du Dany Boon une bonne soupe populaire avec quelques bons moments et des moments bien pénibles, la deuxième partie vire même en théâtre de boulevard too much. En posant son cerveau à l'entrée on peut s'en tirer, si vous cherchez l'intellectualisme passez votre chemin.
Adaptation quelconque d’une pièce de boulevard qui aurait eu du succès. Ça démarre bien puis ça devient décousu et banal, juste un peu drôle, avec des gags de chantier bien éculés ! Si vous voulez vraiment rire, allez voir autre chose ! Dany Boon évite heureusement deux écueils de la comédie franchouillarde habituelle : il garde le rythme et ne tombe jamais dans la vulgarité. Il sait aussi réunir un casting, réussi, mais pourquoi avoir sous-employé l’excellente actrice comique qu’est Michèle Laroque ?
pour sa 1ere realisation Dany Boon nous sort une petite comedie poussive ou les rares moments droles se situent quasiment tous dans la bande annonce (une facheuse habitude).S'il reprend les bases de sa piece a succes ,le jeune cineaste chtimi semble hesiter entre etude sociale avec le surendettement comme theme principal et la grosse farce a base de gags visuels (la chute du balcon x2) ,ce qui donne a l'ecran un resultat bancal ou les quelques efficaces repliques et scenes loufoques se retrouvent noyées au milieu d'une trame bien lineaire et sans surprise a l'image du final .Heureusemnt que le casting sauve un peu les meubles avec notament un Boon tout en sobriété ,un impeccable Prevost au rire inimitable ou encore une Laroque sensuelle et dynamique.A ranger dans la categorie des 1ers essais meritant les encouragements du jury mais aussi dans celle des films qui s'oublient aussitot vus.
Premier film et première réussite pour Dany Boon avec LA MAISON DU BONHEUR. Le réalisateur / acteur décrit parfaitement les dérives autour de l'immobilier et du sur endettement dans une comédie douce amère. En prime Daniel Prevost offre une composition digne de celle qu'il a offerte dans LE DINER DE CONS et le binôme Gamellon / Soualem est assurément l'un des meilleurs duos de guignols vu depuis longtemps ! C'est dire !
Voyage scolaire. Les voyages en car, c’est toujours l’opportunité de voir des pièces majeures du 7ème art français. Bref, cette fois-ci, le meilleur film de la sélection proposée par l’autocariste était la première comédie de Dany Boon. L’histoire, c’est celle d’un agent de recouvrement que sa femme trouve pingre. Pour lui prouver le contraire, il va acheter en secret une baraque pas trop chère et faire tous les travaux nécessaires. Le bon vieux ressort du mensonge qui va trop loin et dont on ne peut se défaire fonctionne toujours bien. On suit ici avec plaisir les sueurs froides de ce radin qui se retrouve sur la paille. Mais si le tout marche aussi bien, c’est surtout grâce à l’efficacité des seconds rôles. Daniel Prévost et Zinedine Soualem y excellent. Alors bien sûr, pas de grande surprise et la réalisation est expédiée sans grande originalité mais c’est une farce qui se regarde avec plaisir … et quand on a quelques heures de transport devant soi, c’est déjà pas mal.
une comédie qui se veux drôle mais qui ne l'ai pas du tout car encore une fois pour un film français quand lit le résumé ou l'histoire on se dit c'est bien on va passer un bon moment on va rigoler en faite ce n'est pas du tout le cas loins de la ! On ne rit que une fois suite à une dialogue du film vers la fin et c'est tout pour le reste cette comédie de Dany Boon est fade, sans saveur , on s'ennuie c'est lourd et surtout pas drôle une seule seconde . et Dany Boon en lui même n'est toujours pas bon en acteur , en temps que humoriste lorsqu'il fait c est spectacle il est excellent et très drôle mais alors au cinéma en acteur il est quand même très moyen . Une homme achète une maison de campagne et fait faire des travaux mais les travaux n'avance et les situation cocasse ce multiplie tous comme les retard . Comme sa l' peux trouver ça bien bah en faite pas du tout. film a éviter même si on peux regarder en famille .
Ça n’est pas la comédie du siècle certes, mais ça se laisse regarder et pour peux qu’on essaye de s’identifier au personnage cette descente aux enfers qui part d’un bon sentiment, a vraiment quelque chose de quasi tragi-comique. Le casting et excellent ainsi que le jeu d’acteurs et en omettant l’aspect un peu trop caricatural de certaines scènes, on passe un bon moment de détente.