Derniers Avis : Les Femmes de ses rêves - Page 17

Un humour subtil et du grand Ben Stiller...

On sourit plus qu'on ne rit, mais le moment passe avec plaisir.

Contentez-vous de la bande-annonce, vous aurez vu tous les bons gags du film et vous aurez gagné du temps et de l'argent.
Les Farelli et Ben Stiller nous avaient habitué à mieux...

Une comédie comme on les aime, avec son lot de situations cocasses, ses quiproquos et le one-man show de Ben Stiller toujours énorme !! Pourtant on sort un peu déçu tant on a l'impression que les frères Farrelly ont composé ce film avec retenue. On les a connus avec un humour plus ravageur. Mais bon, ne boudons quand même pas notre plaisir !!

comédie trés classique, ben stiler est égale a lui meme dans un role qu'il connait trés tés bien.
film a voir si on aime l'humour de ben stiller, sinon c'est l'ennuie total.

Trés trés trés bonnes comédie américaine !
Drôle du début à la fin ! Ben Stiller est excellent !
C'EST UN fILM A NE PAS RATER

Les frères Farrelly, je crois qu'en disant ça j'ai tout dis !!! à par "Mary à tout prix" et "Fous d'Irene" qui doivent valoir 2 étoiles.

Un film hilarant !!
La touche des frères Farelli est bien présente !
Ben Stiller dans son style préféré de looser tendre et éclatant !

Un film tout simplement génial !

Film moyen. Un bon Ben Stiller, on rigole mais...

jai bien rigolé en regardant se film mais ont peut le voir chez soit!

Moi qui attendais enfin de voir Ben Stiller dans un autre rôle que celui de la tête de turc qu'il incarne constamment, et dans un film dont le scénario ne serait pas prévisible du début à la fin, eh bien pour le coup, mes attentes vont enfin pouvoir...persister...

Une comédie vraiment réussie avec un Ben Stiller au top de sa forme. Si les précédents films des Farrelly faisaient rire sur des situations, des quiproquos, des "originalités" physiques; ici on rit de la bêtise des personnages. Le père Stiller,en vieux pervers ne parlant que de sexe, est phénoménal; et le meilleur pote malheureux en mariage mais qui fait celui-pour-qui-tout-va-bien est aussi très drôle. Une fin inattendue et très réussie.

« Lourd » voilà le mot pour résumer le film. Bon bien sûr il y a quelques passages qui font rire mais après rien un film sans importance, sans scenario. Dommage car Ben Stiller me fais bien marrer mais il devrait essayer de faire des films avec un peut plus de complexité dans le scenario car là sa en devient pathétique.

Pleins de bons petits gags, on rigole bien… même si la « fille catastrophe » est vraiment exagérée par moment (cf. tout ce qui lui arrive), les bons gags reviennent et sans être exceptionnel pour autant, le bilan de ce film est plutôt positif à la sortie de salle.

Le grand retour des Farrelly est un évènement, et le fait qu'ils reviennent avec Ben Stiller en fait un must. Donc forcément le risque est bien trop grand pour que l'entreprise soit complètement réussie. Remake d'un film du même nom sorti dans les années 1970, "La femme de ses rêves" est une comédie honnête et bien ficelée, où l'on retrouve avec plaisir les personnages typiques des deux frangins: les vieux pervers, les grands débiles attachants et le personnage du méchant pataud qui empêche le héros d'atteindre son but. Sans surprise et sans faille, ça déroule pendant 110 minutes une mécanique parfaitement huilée et loin d'être compromise. Pourtant, cette absence de folie (malgré la mythique scène de la piqûre de méduse) est ce qui ne pousse pas le nouvel opus des Farrelly au niveau de "Fous d'Irène", leur chef-d'oeuvre. Alors on doit se contenter d'une bonne dose de rire sans danger ni véritable transgression. Mais il y a Ben Stiller, comédien impeccable, aussi bon dans le cabotinage que dans l'intimité, génial en mari décontenancé par une femme tigresse complètement barrée. Il porte à lui seul, virtuose du rire, ce film si facile à faire. Son dévouement est tellement important que c'est grâce à lui qu'on ne tombe pas dans le cliché du ménage à trois. Une scène, cultissime, vaut également le détour: lorsque Stiller, sans papier, tente de rejoindre l'Amérique avec les Wetback mexicains. Ce sommet du grotesque kafkaïen nous laisse penser que les Farrelly en ont, et en auront toujours, dans le pantalon.