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Ludo G
2 abonnés
100 critiques
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5,0
Publiée le 13 juin 2019
j'ai lu les commentaires négatifs et je ne comprends vraiment mais vraiment pas comment on peut se permettre de fusiller un film pareil mais ce film est tout simplement magnifique une véritable tuerie comme on en fait plus de nos jours je ne comprends plus je ne comprends vraiment plus ce film est poignant à un certain moment la music est juste gigantisme un scénario d'une haute valeur sly magnifique un vrai bijoux à posséder en bluray honnêtement ce film est légendaire!
Bien que j’en gardais un bon souvenir lors de ma découverte en salles, cela faisait un petit moment maintenant que je n’avais pas revu « John Rambo ». C’est donc dans l’optique de me faire une petite piqûre de rappel et surtout de passer un très bon moment que je me le suis mater en blu-ray.
Dès l’ouverture, le ton est donné. La franchise veut retourner vers une approche plus brutale. On retrouve dans ce scénario le côté intimiste du premier volet (le traitement psychologique étant ici moins subtil) et la violence des deux suites qui ont suivi. Bien que la caricature soit moins grossière, elle reste très présente notamment via l’image des gentils volontaires et des mercenaires prêt à foncer dans le tas mais le résultat fonctionne très bien. Là où cet épisode pêche un peu, c’est que l’action tarde à se lancer. Le long métrage perd pas mal de temps à nous placer ses différents personnages et à installer son contexte tandis que le fameux sauvetage que l’on nous vends arrive vraiment après trois quart d’heure de film.
Maintenant, cela reste quand même le pied de retrouver Sylvester Stallone (John Rambo) dans la peau de l’un de ses personnages les plus mythique. L’acteur est un peu moins vif malgré une efficacité certaine, les années qui passent se font sentir mais la crédibilité reste intact tant il s’implique à fond dans son rôle et possède toujours un sacré charisme à l’écran. A lui tout seul, il écrase d’ailleurs pas mal la bande de mercenaires qui apparaît un peu trop léger du coup. Pour le reste, il n’y a rien de vraiment percutant. Chacun fait son job et existe plus ou moins bien à l’écran même si je regrette un peu la sous exploitation trop gentillette de Julie Benz (Sarah Miller) et l’aspect trop simpliste de la tête à claque Paul Schulze (Michael Burnett).
Avec le temps, la réalisation de Sylvester Stallone a en tout cas gagné en maturité. C’est très esthétique même si certains effets visuels de feu et de sang sonnent un peu faux. La guerre est montrée de façon vraiment violente, une violence qui est d’ailleurs aussi physique que psychologique. L’action est moins présente que les deux autres suites mais la boucherie finale vaut à elle seule le déplacement tandis que j’ai aimé la bande originale de Brian Tyler qui reprend le thème phare de Jerry Goldsmith.
Pour résumer, ce « John Rambo » est un très bon divertissement. Si il ne réussit pas la prouesse de faire aussi bien que le premier volet qui reste un must dans cette franchise, il nous propose malgré tout quelque chose d’assez fort qui tranche avec les autres suites. Si le résultat m’a convaincu et que le plaisir reste toujours intact, je regrette surtout un léger manque de fun ainsi qu’une intrigue qui débute un peu difficilement. Quoiqu’il en soit, la saga repars sur un bon chemin et c’est un opus toujours assez jouissif à suivre.
Seul volet et même dernier connu de la saga que je n'avais encore pas vu, celui-ci ne manque de ce que je souhaitais déjà bien longtemps, la violence. Bon nombre de ses petits frères en manquaient royalement et là, ce fut le cas avec un -16 parfaitement respecter. Une qualité visuelle d'exception et un audio pas du tout raté. Seul le script est parfois très paresseux à cause de la présence de nos personnages étant des mercenaires. Ces derniers n'ont jamais eus de paroles magique à l'instar des "Expendables". Par contre le film démarre très gentillement avec du bon dialogue, mais bon, le calme avant la tempête est appréciable quand même.
l'ensemble des scènes dans les campements sont très crues entre le bombardement et la soirée ou les femmes sont exploitées, puis la boucherie monumentale entre nos mercenaires et l'armée. Par contre, une chose est raté scénaristiquement parlant, c'est le pourquoi ces soldats locaux font des tueries de masses. J'ai pas compris. Mais l'action pur et dure américaine est respectée et le -16 est top.
Ce quatrième épisode a lieu vingt ans après les événements décrits dans « Rambo III » : La lutte du « brave peuple d’Afghanistan», des combattants de la liberté qui ont vaincu toutes les forces qui tentaient d’envahir leur pays d’origine depuis Alexandre Le Grand jusqu’à l’occupation américaine actuelle. Quand John a quitté le Moyen-Orient, à la fin des années 1980, il est retourné en Thaïlande. Nous le retrouvons vivant dans le Nord, à la frontière birmane, notamment de la chasse aux cobras. Après vingt ans de paix, des missionnaires chrétiens viennent lui demander de les emmener dans la Birmanie voisine alors encore déchirée par la guerre. Rambo ne croit plus aux fables religieuses depuis bien longtemps et il « emmerde le monde » et son cirque d’hypocrisies et d’horreurs. Il tente de dissuader ce groupe qui manque cruellement d’expérience, de la vie en général, et du terrain en particulier ; car ce n’est pas sa mission. Mais, le groupe d’infanterie birmane local – composé de mafieux et de criminels en puissance – capturent les conquérants chrétiens, qui ne sont pas aidés par leur dieu ! John réalise alors quel a toujours été son destin: « Quand on y est poussé, tuer est aussi facile que respirer ». Et choisit de « vire pour quelque chose plutôt que mourir pour rien » quand il est directement témoin des outrages que subissent les Karens. « John Rambo » se révèle être un film relativement « humanitaire » : En tout cas, les jeux de guerre pervers, attaques, viols et massacres dont sont victimes les populations locales, les villages entiers pilonnés et brûlés, ainsi que les corps qui explosent dans des jaillissements de sang et de tripes semblent plutôt condamner les horreurs de la guerre que d’en faire l’apologie. Ce d’autant plus qu’à la sortie du film en 2008, Stallone avait affirmé : « Les hommes âgés déclenchent les guerres et les jeunes hommes y combattent. Personne ne gagne. Tout le monde y meure et personne ne nous dit jamais la vérité… ». Un « Rambo 5 : Last Blood » intimiste, crépusculaire et apocalyptique, dans la veine d’« Unforgiven », achèverait d’entériner la rédemption cinématographique de Sly, entamée en 2007 avec Rocky Balboa, et permettrait à Stallone de finir la longue route de Rambo sur une note aussi positive qu’il avait entamée en 1982. Réponse cet automne.
Film d'action classique, sobre. On passe un moment agréable, cependant pas suffisamment prenant/attachant/intéressant pour avoir l'envie de le regarder de nouveau très bientôt. Pas de longueur, le film est court, et va directement à l'essentiel. Les personnages sont divers, mais peu travaillée. Ce n'est pas l'objet de ce genre de film, et avec John Rambo assez taiseux, c'est certain. Pour finir, pas d'angélisme, ni de morale, c'est un point agréable également.
Un film clivant au possible, où se mêlent ultra-violence et scènes à la limite du gore ! Certains lui reprocheront cette brutalité anxiogè,e, et d'autres (comme moi) qui se régaleront comme jamais ! Finie la parodie du 3ème volet, et retour ici à un sens du réalisme qui fait froid dans le dos, Stallone s'est clairement lâché ici, on sent son personnage aigri,, à la limite deshumanisé... La découverte de ce 4ème épisode au cinéma a été un vrai choc, on a littéralement l'impression de recevoir des éclaboussures de sang partout sur le corps !! Alors c'est sûr que ce n'est pas subtil, mais force est de reconnaître que ce John Rambo s'avère particulièrement efficace ! Gageons toutefois que pour Rambo 5 "Last Blood", Sly s'attarde un peu plus sur la dimension psychologique de son personnage, histoire de ne pas le résumer à un vulgaire tas de muscle sans émotions... Mention spéciale à l'acteur jouant le rôle du capitaine birman, un vrai méchant comme on aimerait en voir plus souvent. Mon préféré, avec le 1er !
Après une très longue absence, on retrouve un héros bien célèbre : Rambo. Pour ce 4ème film, Stallone, vieillissant, va venir en aide à des médecins partant pour la Birmanie soigner des habitants pris à partie par cette célèbre guerre civile qui a fait tant de dégâts. Ce film est le plus violent des 4. Stallone n'y va pas par la cuillère pour dégommer tout ce qu'il trouve. Mais, cette violence, dans ce film, dessert plus qu'autre chose. Le trop plein empêche au spectateur d’accrocher au scénario finalement très banal. Bref : un nouveau film sur Rambo décevant qui devrait peut être prendre sa retraite.
Un Rambo totalement différend des trois premiers avec beaucoup plus de scènes d'actions et une mission très périlleuse la grande différence c'est que celui la il y a beaucoup plus de scènes d'actions qui sont superbes
Ce film est presque un ovni, dont je ne sais pas vraiment quoi penser. Évidemment très loin de l’excellent premier film qu’était First Blood, ça n’est pas non plus un fabuleux Nanard comme peut l’être Rambo 3, c’est un film assez indéfinissable à la violence extrême. Le body count est proprement hallucinant, c’est une armée entière que Rambo va fusiller, exploser, éventrer, poignarder, flécher, Bazooker ... et ceci avec un niveau de gore qu’on pourrait retrouver dans peu de film d’horreur. Du coup à ce niveau d outrance je me demande ce que voulait faire réellement Stallone avec ça et s’il était ou non premier degré. Si c’est le cas le film est proprement lamentable avec ces humanitaires qui ne servent à rien car « pour changer les choses il faut des armes », soit Sly lassé par ce personnage a voulu s’en débarrasser en se lâchant complètement avec. Indéfinissable, incroyable, indéfendable voilà comment je le résumerai
Vingt ans de silence, et voici enfin le retour du grand maitre de guerre. Un quatrième opus 100% made in Stallone. L'acteur joue sur les deux fronts, et aussi bien devant que derrière la caméra, il reste un monstre du cinéma d'action. Même le temps semble l'avoir bonifié. Plus de rides, mais également plus de muscles et un charisme inégalable. Certes, Rambo a prit de la bouteille, mais n'est pas rouillé pour autant. Ce quatrième opus se veut beaucoup plus violent que ses prédécesseurs, plus réaliste également. Il assume enfin son indifférence face au sang. Démembrages et headshots en perspective. Bienvenu au cœur de la jungle Birmane. Un pays décimé par le joug despotique d'un tyran et souillé du sang de son peuple, impuissant face à l'armée. Les populations manquent de tout, principalement d'aide. C'est là qu'intervient un petit groupe humanitaire, sollicitant les services du béret vert, même en connaissant les risques. Et comme un génocide n'épargne personne, cette poignée d'américains se retrouvent au cœur de l'action, dans un beau bourbier. Mais le sauveur n'est pas loin, forgé par la haine du viet cong, son désir de justice est plus fort que le reste. A lui-seul, il éradique plus de vermines qu'une escouade de mercenaires. Le tout sur un final en apothéose, jubilatoire au possible, où les morceaux de chair s'éparpillent aux quatre vents sous le feu d'une mitrailleuse lourde. Son ultime baroud d'honneur. Sur quatre réalisateurs différents, Stallone reste le meilleur que cette franchise ait connu, celui qui a le mieux comprit l'essence même de ce personnage emblématique. Une réalisation très esthétique et empreinte d'une touche de nostalgie. On y retrouve le meilleur du genre sans aucun temps morts. Du grand Stallone. 4,5/5
Un quatrième volet violent et parfaitement maîtrisé avec un Sylvester Stallone en très grande forme, un scénario efficace et des scènes d'action spectaculaires.
Changement de décors et d'ambiance, mais toujours autant d'action, de violence sur fond d'actualité en plaçant son histoire en Birmanie. Stallone offre un quatrième volet à la hauteur des attentes, et le résultat nous offre un feu d'artifice de fusillades et d'effusions de sang. Un dernier quart d'heure qui vire à la boucherie. Bref un bon film d'action.
Incontestablement le plus mauvais film de la saga. Un quatrième opus d'une agressivité inouïe, vraiment dérangeante qui me semble en contradiction totale avec les trois volets précédents bien loin surtout de l'image tourmentée du vétéran de retour au pays dans le film de 1982, John Rambo apparaissant ici complètement aigri mais assumant apparemment complètement sa nature sauvage et psychopathe. Un scénario quasi inexistant, une mise en scène outrancière qui privilégie l'hémoglobine brute à un style plus suggestif, aucune tension dramatique aussi bien dans le récit que dans l'interprétation. Dans une vaine tentative de faire passer un message politique et philosophique, pas loin d'être une abjecte apologie de le guerre et de son déchaînement de violence. Ignoble.