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Flex07
86 abonnés
1 705 critiques
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1,0
Publiée le 29 avril 2009
Après une première demi-heure excellente, on tombe dans une démesure et une exagération tellement outrancière qu'on n'y croit plus du tout. Plutôt mauvais au final.
Pour continuer la saga culte "Rambo" (culte, mais pas du tout exceptionnelle), qui de mieux que monsieur Stallone lui-même a la réalisation ? Ce qui est bien, c'est qu'il y met du coeur, il fait évoluer un personnage qu'il connait mieux que personne, et on sent de l'investissement a ce niveau la. Sauf que le personnage en question n'est pas particulierement intéressant, c'est une machine de guerre, qui tue, qui tue et qui retue, mieux que personne, mais qui ne fait rien d'autre. Alors un petit quart d'heure ca va tres bien, de la violence, de l'action, ca bagarre, ca bouge... De l'action pure et tres divertissante ! Mais au-dela de ces 15 minutes environ, l'absence de scenario se fait vraiment sentir, et on tombe dans l'ennui...
Comment résumé ce film en une phrase: Il y a une guerre, il y a des prisonniers, Rambo tue les méchants et sauve les prisonniers. Voila, fin de l'histoire. Ce film aurait put passer inaperçu, mais malgrès le manque de présence d'un grand scénario, le spectateur que je suis reste accroché à cette histoire. Car il y a beaucoup d'injustice, que les méchants sont méchants et sue surtout on veut voire Rambo leur botter les fesses, et sauver la belle blonde ! De l'action en veut tu en voila. Une mission de sauvetage très réussi pour moi, qui fait donc de John Rambo un bon film d'action, agréable à regarder.
Un des plus gros navets que j'ai vu . Le film est un cauchemar cinématographique, le scénario quant à lui amasse cliché sur cliché, Stallone reste figé pendant 1h40 et nous balance des dialogues d'une nullité affligeante.De plus La mise en scène est d'une platitude extrême et tente de choquer avec de la violence a outrance. Plus beauf tu meurs.
Le film à la Stallone, en gros un bon film de bourrin, bien pour les mecs qui veulent voir de l'hémoglobine. Mais des fois des films comme celui la permettent de pas se prendre la tête. Rien d'exceptionnel mais bon c'est pas ce qu'on demande à ce genre de film.
Mort-De-Rire. C'est mon etat pendant tout le film. Ca commence pas trop mal, mais au bout de 5min ca devient ... drole. Tres drole. C'est mal fait, et la mise en scene est absolument ridicule. pour en rajouter une couche, moi qui adore Julie Benz, elle est totalement sous-exploité et mal dirigé. C'est vraiment domage parce que l'image est vraiment magnifique, la photo fout sur le cul mais ... voila quoi... En tout cas la salle etait comble et les gens ont applaudit 12 fois, ce qui est totalement inexplicable. Je hais les gens. Ah, et au fait : n'y aller pas c'est une merde.
(Je mets une etoile mais ca en vaut 0,5, c'est juste pour la photo qui est sublime)
Attention le vrai grand retour de Rambo. Stallone dans ce film nous narre comment un être désabusé redevient la machine à tuer que l'on avait fait de lui pour sauver une femme venue aider les autochtones et qui se retrouve captive d'un tyran birman et de son armée. En filmant la violence de façon hard-core voire outrancière Sly nous intime que la guerre menée avec les plus nobles intentions ne reste qu'une atroce boucherie. De par l'effroi et la culpabilité de la donzelle qui comprend que c'est pour sauver sa peau que tant de tueries ont été perpétrées et par le regard meurtri de Rambo devant le résultat de son œuvre guerrière, Stallone nous fait part de son manque de foi absolu en l'humanité dont la cruauté et la violence sont inhérentes à sa nature. Bref plus qu'un film de guerre, une réflexion sur le genre et le héros qui en a été son plus célèbre étandard. Avec la scène finale venant en écho au premier film de la série, Stallone a enfin bouclé la boucle et Rambo va enfin pouvoir gouter une retraite bien méritée.
Sylvester Stallone s’est à son tour collé à la saga entamée 26 ans plus tôt, en essayant de mettre un point final à l’histoire de ce personnage hors du commun. Un point final ? enfin c’est ce que nous croyions, un autre numéro étant attendu pour… 2015. Se fera ou se fera pas ? les paris sont ouverts. Mais revenons au film qui nous intéresse. Nous retrouvons donc ce héros qui a su se faire oublier au nord de la Thaïlande en menant une vie paisible. Il apparaît plus humain, davantage en proie à des sentiments plus nobles. Aussi il accepte, non sans moultes hésitations, d’accompagner une mission humanitaire en Birmanie, en plein cœur d’une guerre ethnique qui fait rage et dont peu de personnes a l’air d’en prendre cas. Toujours doté ce cet esprit guerrier qui lui a été inculqué pour en faire un soldat d’exception, il a l’œil sans cesse aux aguets, connaissant mieux que quiconque la région. Cet esprit apparemment en dormance n’est donc qu’une illusion, mais cette sauvagerie qui dort en lui renforcée par un instinct de survie de tous les instants ressort dès lors que lui et/ou les siens sont en danger. Nous restons donc dans l’esprit de tous les autres Rambo, mais le héros apparaît plus humain qu’il ne l’avait été jusque-là. Impossible de ne pas faire le lien avec le dernier épisode de la saga Rocky, j’ai nommé "Rocky Balboa", épisode qui marque un vrai retour aux sources. Malgré tout, les scènes de combat sont d’une grande violence, à l’image d’un contexte qui dépasse l’imagination et, du même coup, l’entendement. Tout comme dans "Expendables : unité spéciale", les scènes de combat sont parfois filmées avec des plans très courts, pour rajouter encore du rythme et une certaine confusion dans la bagarre. Mais cette succession rend la scène difficile à visualiser et a même tendance à faire mal aux yeux tant c'est si peu visible. Cependant les séquences filmées caméra à l’épaule sont intéressantes et ajoutent de la crédibilité. Quant au scénario, rien de révolutionnaire, il est au niveau des numéros précédents, bien que le générique de début offre en entrée en matière directe et percutante à travers un reportage télévisé sensé révéler au monde entier ce qui se passe en Birmanie. Le décor est planté et Brian Tyler a réussi à créer une partition en intégrant de façon subtile des consonances locales afin d’immerger davantage le spectateur dans l’ambiance. Aussi, le spectateur se laisse prendre malgré lui par un déroulé plutôt convenu d’avance, pour en arriver à un retour aux sources qui se situent aux… Etats-Unis. Est-ce là une façon de boucler la boucle, ou de laisser la porte ouverte à ce retour aux sources en vue d'une autre séquelle, mais de façon plus approfondie ? L’avenir nous le dira…
John Rambo ou "l'increvable" est de retour dans cet ultime volet à la mise en scène spectaculaire et à la violence éblouissante. Stallone démontre ici sa maîtrise du film d'action bourrin aussi bien devant que derrière la caméra.