Stallone nous refait son Rambo et cette fois c'est violent même parfois à la limite de l'insoutenable. A part cette nouveauté rien d'innovant. Un film qui est trés moyen au niveau du scenario et de la mise en scéne. Reste un message dénonciateur plutôt courageux. 12/20
scénario en béton images photos musique excellente je me suis fait la série des 4 épisodes aujourd'hui pour voir enfin le dernier volet en date last blood. celui qui m'as scotché est bien John Rambo forcément car la technologie à bien évolué depuis 1988. il y a de l'inovation et une lutte de groupe. très difficile de ne pas plonger dans l'action de ce combat jusqu'au dénouement final . impeccable pour moi c'est limite un chef-d'œuvre dans cette catégorie de film . le pied ! moi qui ne suis pas film et jeux videos de guerre je suis entré dans l'histoire et dans ce besoin de justice....
Désolé mais pour moi c'est le pire des 4 Rambo ! il y a de l'action mais je le trouve bien trop violent, c'est une véritable boucherie pendant les combats ! Je n'aime pas trop non plus l'environnement dans lequel se déroule le film le scénario est lui aussi plus que moyen. En plus, il ne dure qu'1h20... enfin pour le coup c'est peut-être mieux comme ça vu la qualité du film... Bref, je l'ai pas trouvé terrible du tout... 2/5
Apres un superbe rocky balboa,voila john rambo veritable chef d'oeuvre du genre,de bons acteurs,une bonne realisation,un grand stallone,un vrai grand et beau film sincere qui cloture(pour l'instant)cette grande sagas.Bravo sly
On croyait avoir fait le tour des guerres en compagnie de John Rambo... Erreur: il rempile, une vingtaine d'années plus tard, pour un conflit en Birmanie. Et ce n'est pas pour le meilleur. C'est un film d'une violence extrême, sanglant à en écoeurer un boucher. Les civils et militaires se font décapiter, démembrer, éventrer, etc. à un tel point que ça laisse un profond dégoût. Dommage, parce que le rythme est bon et la réalisation efficace.
Un retour aux sources pour ce dernier volet qui est une totale réussite ! 23 ans après Rambo II et 20 ans après Rambo III Stallone revient à 60 ans plus fort que jamais et parvient à nous faire oublier les deux volets précédents vraiment pas terribles. John Rambo est un des meilleurs films de guerre de ces dernières années : ça tire de partout, ça explose de partout, les scènes de combats sont d'une violence rare mais d'un réalisme époustouflant, bref superbe ! La scène finale est magnifique et on ne peut s'empêcher de penser au tout premier film. Sly sort de la saga Rambo par la grande porte. Chapeau Mr Stallone.
La déshumanisation du camp adverse, aussi flagrante que les membres des forces armées birmanes se suivent et se ressemblent tous, unis qu’ils sont par leurs hurlements – comme on faisait hurler les Indiens pour insister sur le danger qu’ils représentaient vis-à-vis des braves colons – et leur couleur « jaune » – comme le reconnaît explicitement l’un des mercenaires, soucieux de laisser le bateau à une personne digne de confiance – fait de ce chant du cygne un chant de haine qui, loin de combattre l’horreur, la sollicite pour s’en repaître encore et encore. Le sadisme des tatmadaws devient le sadisme d’un film qui entasse les séquences de désolation et de boucheries, aussi proches puissent-elles être de la réalité historique, émanation d’un seul et même corps inhumain que l’on démantibule, éclate avec moult armes aux calibres variés. L’effroi de la guerre, dont le chaos dépasse tout ce qui a pu être mis en scène jusqu’alors dans la saga et qui atteste ici un certain sens de la réalisation, mute en un spectacle format son et lumière avec ses fumées rougeâtres enveloppant les logements ennemis, ses explosions, sa tripaille rouge. Dit autrement, le long métrage fond ensemble le réalisme brut et l’esthétisation, par peur de perdre en chemin les amateurs de héros bravant le feu et les flammes pour sauver la demoiselle en danger ; ce faisant, son approche perd en crédibilité ce qu’elle gagne en puissance d’iconisation. L’intérêt réside alors dans la réactualisation d’un mythe dont le nihilisme atteint son paroxysme et dépouille les idéalistes de leurs thèses grandiloquentes sur la bonté de l’Homme. Cette réactualisation met également à jour la représentation de la guerre : nous ne sommes plus protégés derrière l’écran blockbuster mais constamment éprouvés, immergés dans une apocalypse poisseuse et humide. La seule distance est celle du héros. John Rambo reste invincible. Et nous le savons. Nous n’avons pas peur pour sa survie. Il est acteur et spectateur désabusé d’une guerre qui n’est pas la sienne, il s’efface parmi la dévastation, renonce à son nom de gloire – et de scène – pour revenir chez lui et redevenir John, seulement John. Pas de Rambo hurlé à tout bout de champ. L’anonymat. Sylvester Stallone signe une œuvre radicale, imparfaite, raciste en ce qu’elle filme des ennemis regardés comme les petits membres d’un vaste corps « jaune » qu’il convient de détruire, en ce qu’elle s’efforce d’éradiquer une race à la racine jusqu’à recourir au champignon nucléaire, en ce qu’elle nie la singularité individuelle pour brosser le portrait d’un groupe situé en dehors de l’humanité. Ce dévoiement moral trouvera son point culminant dans le dernier volet, avec ses Mexicains violeurs et barbares et son Rambo reconverti en papi bricoleur…
Personnellement, je trouve les effets spéciaux exceptionnels ! Ce nouveau rambo est bon, tellement bon qu'à la fin, on reste sur notre faim car on a l'impression qu'il a été trop court ! En tout cas, rassurez vous, rambo est toujours aussi fort !!!
Cruauté gratuite, méchants stéréoypés à l'extrême, rebondissements dignes des plus décélébrés le tout mené par un Stallone vieillissant et dégoulinant de Botox. Un cinéma tout simplement pathétique.