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HawkMan
177 abonnés
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2,0
Publiée le 5 novembre 2018
Après une très longue absence, on retrouve un héros bien célèbre : Rambo. Pour ce 4ème film, Stallone, vieillissant, va venir en aide à des médecins partant pour la Birmanie soigner des habitants pris à partie par cette célèbre guerre civile qui a fait tant de dégâts. Ce film est le plus violent des 4. Stallone n'y va pas par la cuillère pour dégommer tout ce qu'il trouve. Mais, cette violence, dans ce film, dessert plus qu'autre chose. Le trop plein empêche au spectateur d’accrocher au scénario finalement très banal. Bref : un nouveau film sur Rambo décevant qui devrait peut être prendre sa retraite.
Critique de "John Rambo". Rambo reprend du service et c'est vraiment au top. L'histoire est banale, mais le scénario lui donne une belle dimension. La violence est omniprésente, c'est la marque de fabrique des Rambo. Les acteurs sont à la hauteur du métrage, au final c'est très plaisant. 3,5/5
Ce quatrième épisode a lieu vingt ans après les événements décrits dans « Rambo III » : La lutte du « brave peuple d’Afghanistan», des combattants de la liberté qui ont vaincu toutes les forces qui tentaient d’envahir leur pays d’origine depuis Alexandre Le Grand jusqu’à l’occupation américaine actuelle. Quand John a quitté le Moyen-Orient, à la fin des années 1980, il est retourné en Thaïlande. Nous le retrouvons vivant dans le Nord, à la frontière birmane, notamment de la chasse aux cobras. Après vingt ans de paix, des missionnaires chrétiens viennent lui demander de les emmener dans la Birmanie voisine alors encore déchirée par la guerre. Rambo ne croit plus aux fables religieuses depuis bien longtemps et il « emmerde le monde » et son cirque d’hypocrisies et d’horreurs. Il tente de dissuader ce groupe qui manque cruellement d’expérience, de la vie en général, et du terrain en particulier ; car ce n’est pas sa mission. Mais, le groupe d’infanterie birmane local – composé de mafieux et de criminels en puissance – capturent les conquérants chrétiens, qui ne sont pas aidés par leur dieu ! John réalise alors quel a toujours été son destin: « Quand on y est poussé, tuer est aussi facile que respirer ». Et choisit de « vire pour quelque chose plutôt que mourir pour rien » quand il est directement témoin des outrages que subissent les Karens. « John Rambo » se révèle être un film relativement « humanitaire » : En tout cas, les jeux de guerre pervers, attaques, viols et massacres dont sont victimes les populations locales, les villages entiers pilonnés et brûlés, ainsi que les corps qui explosent dans des jaillissements de sang et de tripes semblent plutôt condamner les horreurs de la guerre que d’en faire l’apologie. Ce d’autant plus qu’à la sortie du film en 2008, Stallone avait affirmé : « Les hommes âgés déclenchent les guerres et les jeunes hommes y combattent. Personne ne gagne. Tout le monde y meure et personne ne nous dit jamais la vérité… ». Un « Rambo 5 : Last Blood » intimiste, crépusculaire et apocalyptique, dans la veine d’« Unforgiven », achèverait d’entériner la rédemption cinématographique de Sly, entamée en 2007 avec Rocky Balboa, et permettrait à Stallone de finir la longue route de Rambo sur une note aussi positive qu’il avait entamée en 1982. Réponse cet automne.
John Rambo (2008) Director’s Cut : « spoiler: Les hommes âgés déclenchent les guerres et les jeunes hommes y combattent. Personne ne gagne. Tout le monde y meure et personne ne nous dit jamais la vérité ! »
Ce quatrième épisode a lieu vingt ans après les événements décrits dans « Rambo III » : La lutte du « brave peuple d’Afghanistan », des combattants de la liberté qui ont vaincu toutes les forces qui tentaient d’envahir leur pays d’origine depuis Alexandre Le Grand jusqu’à la guerre américaine.
Quand John a quitté le Moyen-Orient, à la fin des années 1980, il est retourné en Thaïlande. Nous le retrouvons spoiler: vivant dans le Nord, à la frontière birmane, notamment de la chasse aux cobras. Après vingt ans de paix, des missionnaires chrétiens viennent lui demander de les emmener dans la Birmanie voisine alors encore déchirée par la guerre .
Rambo ne croit plus aux spoiler: fables religieuses depuis bien longtemps et il « emmerde le monde » et son cirque d’hypocrisies et d’horreurs. Il tente de dissuader ce groupe qui manque cruellement d’expérience, de la vie en général, et du terrain en particulier ; car ce n’est pas sa mission. Mais, le groupe d’infanterie birmane local – composé de mafieux et de criminels en puissance – capturent les conquérants chrétiens, qui ne sont pas aidés par leur dieu !
John réalise alors quel a toujours été son destin: « spoiler: Quand on y est poussé, tuer est aussi facile que respirer ». Et choisit de « vire pour quelque chose plutôt que mourir pour rien » quand il est directement témoin des outrages que subissent les Karens .
Le réalisateur Sylvester Stallone a eu l'idée de "et si le film était réalisé par Rambo ? Et si le film avait sa personnalité ?" Et "John Rambo" se révèle être un film spoiler: humanitaire. Car, les jeux de guerre pervers, attaques, viols et massacres dont sont victimes les populations locales, les villages entiers pilonnés et brûlés, ainsi que les corps qui explosent dans des jaillissements de sang et de tripes condamnent les horreurs de toutes les guerres .
D'autant plus que le film a non seulement été un succès critique - Stallone a été comparé à Humphrey Bogart, Clint Eastwood, Marlon Brando et Tom Laughlin - mais a également été salué par les survivants pour sa description précise et vivante de l'oppression militaire du peuple Karen, et l'Armée de libération nationale karen a déclaré que le film leur avait donné un grand coup de pouce moral.
Lorsque le film est sorti en 2008, Stallone a paraphrasé son héros emblématique (dans le Director’s Cut) : « spoiler: Les hommes âgés déclenchent les guerres et les jeunes hommes y combattent. Personne ne gagne. Tout le monde y meure et personne ne nous dit jamais la vérité ! ».
Dans ce dernier opus, Stallone frappe un grand coup en choquant par la dureté, par la violence de son propos et enterre son héros au fur et à mesure du film. Un film très pessimiste, très dur qui pourra paraître choquant mais en tout cas hyper réaliste, ça fait réfléchir sur le monde actuel et on aurait presque tendance à s'identifier à une partie de Rambo celle qui rejette ce monde dans lequel rien n’a l’air d’aller, paradoxalement c'est aussi dans ce monde dont il rêve que Rambo n'a pas sa place et ça il en est tout à fait conscient, ce sujet là est perpétué depuis le 1er volet mais accentué ici. L'heure et demie de film passe très vite mais j'en garde un petit regret, je trouve que la fin, celle qui scelle aussi la saga aurait pu avoir une plus grande importance, ici elle est traitée trop rapidement. On remarquera 1-2 petites erreurs de réalisation mais la mise en générale est très efficace pour un film d'action, on se plaira à retrouver un Sylvester Stallone toujours très en forme et athlétique pour bon nombre de séquences, le rythme pourtant assez élevé que lui imposait son personnage a été parfaitement honoré. Petit plus : Stallone fait un peu moins superman dans ce film-ci par rapport aux 3 précédents, et en plus grande surprise : Rambo travaille en équipe et c’est une agréable surprise. A voir et pas seulement pour les fans de la saga !
Le plus court et surtout le plus violent des Rambo. J'ai rarement vu autant de morceaux humains voler à droite et à gauche, autant de têtes coupées comme à l'époque de la Terreur sous la Révolution, autant de boyaux gicler sur les murs. Cette boucherie est en fait le seul intérêt du film, le scénario tient sur une ligne. Les trente secondes durant lesquelles Rambo expose son étrange vision de la vie ne pèsent pas lourd. Dommage.
Du très bon Rambo. Stallone est juste démoniaque dans ce 4ème opus! Les scènes d'actions sont gorissimes, Rambo est un pur bad-ass, les répliques cultes sont légions. Que du bon et la cerise sur le gateau, le scénario est très bon. Une grande réussite!
Nouvel opus pour notre béret vert préféré. On abandonne la grandiloquence et le propos patriote des années 80 pour un film à la brutalité radicale, allant explorer de nouvelles contrées sur un fil scénaristique assez basique mais somme toute curieux. Stallone nous livre ici une œuvre nerveuse et promène sa sobriété taciturne tout au long du film, on ne voit d'ailleurs presque que lui ou en tout cas on ne retient que lui. Violent, à la réalisation hachée mais efficace, ce John Rambo sonne comme une quasi-résurrection, retrouvant un peu le côté désillusionné du premier film.
Le meilleur de la saga. Stalonne signe ici un film dur, violent et trés réaliste sur la guerre en Birmanie. De l'horreur pur, des soldats cruels et sadiques et un John Rambo que rien n'arréte. Les scénes d'action sont à couper le souffle et trés sanglantes, surtout la fin une vrai boucherie humaine. Enorme.
Après le chef d'oeuvre du premier opus, un deuxième opus très bon, et un excellent troisième opus mais toujours en dessous du premier, ce quatrième opus de la saga culte de Rambo est sans aucun doute le meilleur de la saga avec le premier, selon moi. Silvester Stallone a cette fois vieilli et grossit surtout, mais il est toujours au top dans son rôle de John Rambo. Cet opus de Rambo est selon moi d'une rarissime violence, je le déconseille aux personnes qui ont moins de 13 années, car certaines scènes peuvent les choquer, et même leur faire faire des cauchemars. Silvester Stallone a toujours la pêche pour jouer dans un film d'action avec de la violence. Dans cet opus, Rambo ne rigole pas du tout, au contraire il est même très sérieux comparé aux autres opus, puis il devient une sorte de Robin des Bois avec son tir à l'arc. Rambo est cette fois-ci confronté à des méchants birmans qui tuent des civiles innocents sans hésitation. Le meilleur opus de la saga avec le premier. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.
En Birmanie, les militaires répriment les opposants par une féroce violence,. Des moines sont tués, brulés vif; Des journalistes étrangers sont victimes de tirs mortels. Des villages sont détruits, des tortures sont perpétrées, C'est le pays ou se trouve le plus de mines anti-personnel. Des enfants sont recrutés de force, Les mutilations, les décapitations, les viols sont monnaie courante. Un groupe d'aide humanitaire va en faire la pénible expérience. Avec l'aide de mercenaires, Rambo devra se porter à leur secours. Ce quatrième Rambo, d'une grande violence, est illusté par un grand nombre de scènes de batailles d'une réalité inouïe. La mitraille opère comme un hachoir à viande, la pyrotechnie est d'une grande efficacité. Rambo, apparu fin des années 1970, reste en 2008 un héros qui ne faiblit pas. Dommage que le scénario reste un peu faible, expédiant cette mission d'une manière très rapide. Un film ou le spectacle est grandiose et constant. Un grand respect pour cette B.O qui reste gravée dans notre mémoire et donne du charme à tous les opus de cette saga.
Il pète, il est gore, un bon retour du Rambo mais version actuelle et donc plus d'action absurde et irréaliste comme dans les 80's. Un bon environnement pourtant, de bonnes scènes et ça fait plaisir de revoir Stalone dans la peau de John Rambo, mais sans plus. J'ai adhéré à l'action, aux scènes sanglantes, mais sans plus.
Âmes sensibles s'abstenir ! Quelle claque !! Après les 15 premières minutes, l'action commence à plein régime et vous prend aux tripes. Plus de temps mort avant la fin du film. On voit la population civile bombardée, les villages brûlés au lance-flamme, les prisonniers mutilés, décapités ou forcés à marcher sur les mines. On voit des corps déchiquetés par les balles, des membres qui s'éparpillent. Mais cette violence n'est pas, comme dans trop de films, gratuite. Et c'est bien le pire : toutes ces atrocités sont tellement réalistes, et tellement proches de qui se passe réellement, qu'on a l'impression de voir un documentaire ! L'occasion d'attirer l'attention sur la Birmanie où ce génocide a lieu dans l'indifférence générale...Chapeau à Mr Stallone.
?! Alors là je suis sur le c... ! Comment peut-il y avoir autant de 4 et 3 étoiles ?! La psychologie de "Rambo" est ici tombés aux oubliettes alors qu'on aurait pu penser qu'avec le temps Stallone avait mûri un personnage plus en adéquation avec son âge (Rambo fait son âge et aurait du suivre une évolution de près de 20 ans !). La mise en scène est inexistante, sur 1h20 de films 1/4 du temps Rambo reste sur un blindé à tirer de gauche à droite (Wouah c'est recherché comme idée !!!)... La violence et son débat est une chose je ne rentrerais pas dedans, débat mainte fois évoqué, tout a été dit... Par contre il faut avouer que les images des blessures et leurs FX sont impressionnants de réalisme, cependant ça ne suffit pas loin de là ! Je passe la toute fin du film, ridiculement hollywoodien.
Ahh ! Soulagement : revoilà Rambo ! Réellemnt impressionnant, Stallone nous joue ici un rambo désillusionné, plus lucide sur le monde qu'il ne le laisseait dans les autres films. L'intrigue est plutot efficace (des humanitaires capturés par l'armée birmane), et la violence a un impact puissant tout au long du film (c'est presque un drame par moment, plus qu"un film d'action). Les dernières 20 minutes sont une boucherie, mais le film a quelque chose de profond en lui. Du bon cinéma.