Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
gimliamideselfes
3 064 abonnés
3 967 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 3 mars 2009
4 étoiles… oui 4… tout simplement parce que Rocky Balboa que j'avais aimé mais moins que le premier (les deux seuls que j'avais vu) m'avait donné bon espoir dans ce volet de Rambo avec Stallone derrière et devant la caméra, là ça dépasse mes attentes… ça mérite peut-être pas le 4, mais bon il fallait signaler que j'ai adoré… cette fois encore un scénario (moins bidon que dans le 3) est un prétexte pour un déchaînement de violence… mais pas seulement… car il parle d'un peuple opprimé… Rambo fait dans la charité maintenant… mais quel spectacle… si la film prend fin moins d'une heure vingt après son début, il ne s'arrête pas… super violent, les boyaux et les tripes volent partout, ça m'a surpris… le film est jouissif à souhait… et c'est ce que je veux de Rambo… C'est rare mais je vais le souligner pour une fois je me plains pas du scénario manichéen, dans Rambo ça a totalement sa place… Bref aucune surprise… mais quel spectacle qui ne s'arrête jamais… Stallone fait des merveilles avec une caméra…
20 ans après le dernier Rambo, Sylvester Stallone revient avec son personnage et cette fois-ci, il est aussi le réalisateur pour nous offrir avec le tout premier l'un des meilleurs films de la saga. Sobrement intitulé du nom du héros, John Rambo vit paisiblement quelque part en Thaïlande mais lui qui semble retirer du monde et d'ailleurs se foutre de son sort (c'est lui-même qui le dit) va être à nouveau appelé par le combat en aidant un groupe de missionnaires à franchir la frontière birmane. Ce groupe va être rapidement pris dans la tourmente de la guerre civile qui sévit en Birmanie, Rambo de retour peinard chez lui va devoir emmener un groupe de mercenaires sur le lieu où il avait déposé le groupe de missionnaires. Cet aspect du film avec des mercenaires va donner à ce 4ème volet des airs d'Expendables avant l'heure (avec un aspect moins léger), il va s'en suivre un film d'une violence inouïe, car Rambo nous revient dans une forme éblouissante toujours bien campé par Stallone malgré ses 60 ans à l'époque. Ce film d'une durée peu longue, est tendu du début à la fin, et comporte beaucoup de passages remarquables que ce soit l'horrible attaque du village, l'infiltration dans le camp de prisonniers, la fuite dans la jungle et bien sur le final époustouflant durant lequel Rambo va massacrer ses ennemis avec une mitrailleuse lourde. Ce film ne nous épargne rien, le sang gicle à foison, des membres déchiquetés, souffrance, brutalité et dans tout ceci une pincée d'émotion parvient à poindre. L'action est d'une redoutable efficacité, certes tout cela est ultra violent mais si dans le vraie vie la violence me répugne par contre au cinéma elle ne me dérange pas, et ici on est royalement servi. Ce John Rambo à sa manière est un grand moment de cinéma, et sa violence n'a absolument rien de gratuite.
Ce film est presque un ovni, dont je ne sais pas vraiment quoi penser. Évidemment très loin de l’excellent premier film qu’était First Blood, ça n’est pas non plus un fabuleux Nanard comme peut l’être Rambo 3, c’est un film assez indéfinissable à la violence extrême. Le body count est proprement hallucinant, c’est une armée entière que Rambo va fusiller, exploser, éventrer, poignarder, flécher, Bazooker ... et ceci avec un niveau de gore qu’on pourrait retrouver dans peu de film d’horreur. Du coup à ce niveau d outrance je me demande ce que voulait faire réellement Stallone avec ça et s’il était ou non premier degré. Si c’est le cas le film est proprement lamentable avec ces humanitaires qui ne servent à rien car « pour changer les choses il faut des armes », soit Sly lassé par ce personnage a voulu s’en débarrasser en se lâchant complètement avec. Indéfinissable, incroyable, indéfendable voilà comment je le résumerai
C'est quoi ce sadisme à la mort moi le noeud, des têtes qui volent fait jouir n'importe quel organisme humain démuni de cerveau. Certes c'est beau de voir du réalisme guerrier mais est-ce beau d'en faire autant? C'est le boxson, allez je te remet une multitude de soldats sortit d'on ne sait où, et Rambo nous fait le ménage. A part le carnage inéductable, le reste est sans intérêt et nous ennuie plus qu'autre chose. Sublimé par un scénario inintéressant soit disant choquant, et des personnages trop superficiels, on en arrive à ce volet qui mérite d'être rambobiner et jetter aux oubliettes. 2 étoiles pour les effets spéciaux.
Laissons de côté le premier Rambo, First Blood, qui à mon sens est un véritable chef d’œuvre pour nous intéresser à ce John Rambo, 4ème opus de la saga, séparé de dizaines d’années des épisodes 2 et 3. Rambo s’est mis au vert en Asie du Sud mais va être rattrapé par le conflit birman bien malgré lui. Cet épisode est pour ma part la meilleure suite de cette saga culte, on retrouve notre antihéros avec une psychologie plus poussée que les opus 2 et 3 et nous ramenant forcément au premier, ce qui redonne du corps à ce personnage mythique. Mais au delà de ça c’est aussi l’épisode le plus violent, une véritable boucherie d’une brutalité inouïe qui par la même occasion lève le voile et sans filtre aucun sur le conflit qui sévit depuis des décennies en Birmanie (Myanmar). Stallone, également derrière la caméra n’y est pas allé de main morte pour nous narrer cette guerre et ce John Rambo est un véritable défouloir. On y retrouve également la musique culte de la saga et l’on ne s’y ennuie pas une seconde à suivre le carnage de notre bon vieux charismatique John J. J’adore et j’en redemande !
Intense et court... trop court et très intense !!!!! Violent aussi !!!! Ce n'est pas la même violence que les précédents. En fait cet opus revient vers les origines de la saga, d'une manière plus actuelle et stylisée. Cependant il échappe aux quatre étoiles car l'action est trop concentrée et le film paraît et est trop couuuuurt !!!!!!!
4ème opus de la saga, « John Rambo » souffre clairement des mêmes qualités et des mêmes défauts que ses prédécesseurs. Il est évident que le réalisateur-acteur Sylvester Stallone apporte un grand soin à la technique pour proposer le film le plus abouti possible. Au niveau de la forme, il y parvient parfaitement et ce nouvel épisode et tout aussi efficace et distrayant que les trois premiers... à condition qu'on accepte de se laisser emporter par cet ouragan de violence, dénuée de la plus petite once de second degré. Je ne nie pas que le scénario se base sur des faits réels, notre pauvre planète se trouvant sans cesse en proie aux pires exactions. Certes... mais là, tout de même on est clairement dans l'exagération à tout va. Notre héros armé, tantôt d'un arc, tantôt d'un couteau ou d'une énorme mitrailleuse met un point d'honneur à éradiquer à lui seul l'armée Thaïlandaise. A l'écran, c'est du plus bel effet... dans les esprits, ça laisse quand même pas mal d'interrogations sur l'utilité d'un tel carnage. Le fond me paraît donc clairement à retravailler... ou pas... car, finalement, c'est bien ça « Rambo », non ?
Grâce au succès de Rocky Balboa, Sylvester Stallone est arrivé à remonter sur le devant de la scène en tant qu’acteur mais également en tant que réalisateur. Il en profite ainsi pour ressusciter son autre personnage fétiche : John Rambo. Après deux derniers épisodes s’éloignant du réalisme et ayant transformé le personnage en super-guerrier quasiment invincible à la psychologie assez mince, il décide, comme pour le célèbre boxeur, de revenir aux sources, c’est-à-dire un personnage traumatisé pour ce qui est du vétéran du Vietnam. On retrouve donc, comme pour le premier épisode, un personnage hanté pour ses expériences de guerre et rejetant le monde qui l’entoure ("Fuck the world").spoiler: Cette psychologie troublée apparaît pleinement dans la séquence du cauchemar réutilisant de manière impressionnante des extraits des précédents volets (et même la séquence finale alternative du premier épisode). Rambo est redevenu réellement un personnage torturé qui ne peut désormais s’accomplir pleinement que dans la violence bien qu’il rejette totalement cette partie de sa personnalité. On pourra d’ailleurs regretter que l’acteur-réalisateur ait coupé de la version cinéma une séquence de discussion de presque 5 minutes entre Rambo et Sarah précisant encore plus la psychologie de son héros et éclaircissant son choix d’aider la jeune femme et ses compagnons. Mais ce travail sur le personnage n’est pas le seul aspect de réalisme que Stallone cherche à traiter. En effet, il décide de montrer toute l’horreur de la guerre et du génocide du peuple Karen par la junte militaire birmane que le film permet de mettre en lumière, l'Occident le connaissant très mal. Ainsi, il fait preuve d’une crudité assez incroyable dans les scènes de massacres et n’épargne aucune abomination au spectateur : exécutions d’enfants par balles ou en étant jetés au feu, membres ou têtes arrachés ou découpés, corps déchiquetés par des mines… De plus, pour une fois, Rambo, tout en restant un combattant d’exception, n’est pas seul pour vaincre une armée entière, privilégiant la crédibilité au côté fun. L’aspect distrayant des précédents volets disparaît et laisse place à une violence nettement plus crédible qui perd tout aspect plaisant. Ce réalisme est d’ailleurs annoncé dès la première séquence puisque celle-ci adopte la forme du reportage (la version française emploie même Patrick Poivre d’Arvor dans les voix-off). En effet, d’un point de vue visuel, Sylvester Stallone (dont c’est l’unique passage derrière la caméra pour un Rambo) adopte une forme en rupture totale avec les précédents épisodes. Les séquences de guerre sont extrêmement découpées et utilisent beaucoup la caméra portée pour renforcer la crudité des images : on peut voir John Rambo comme une forme de prolongement de l’expérience d’Il faut sauver le soldat Ryan. Comme pour Rocky Balboa, le cinéaste s’autorise une utilisation du noir et blanc et des séquences proches de l’expérimentalspoiler: (la séquence du cauchemar citée précédemment) ou purement cinématographiquespoiler: (celle de la forge du poignard réactualisant une scène coupée de Rambo III) . Si le scénario ne cherche pas à offrir une multitude de rebondissements (et reprend au passage une structure proche de celle de l’épisode précédent), c’est qu’il cherche à privilégier cette vision d’un monde d’une grande dureté. Ainsi, comme pour le premier épisode, on peut retrouver un regard sans pitié sur l’humanité et la civilisation américaine mettant dos à dos des humanitaires pleins de bons sentiments mais complètement déconnectés de la réalité des terrains de guerre (c’est d’ailleurs cette connaissance de ceux-ci qui rend Rambo totalement désillusionné et qui le pousse à vouloir les éviter à tout prix) et des mercenaires représentés par un chef macho, raciste et totalement imbu de lui-même. Pourtant, c’est cette plongée en enfer qui permet au personnage de l’ancien béret vert de se sentir prêt à renouer avec ses origines dans une séquence finale qui semblait à l’époque être une conclusion parfaite à la saga.
Film misant beaucoup sur le déchaînement de la violence gore spectaculaire avec l'horreur de la guerre civile en Birmanie se voulant réaliste certes. En cela c'est un bon film d'action mais globalement ça le limite à cet aspect.
L'histoire relativement jouissive de 5 touristes qui viennent faire de l'humanitaire, et qui se retrouvent dans une boucherie. On a toujours les mêmes phrases à la con, dignes de Chuck Norris dans "Portés disparus", le même scénario à la con, les mêmes asiatiques qui baragouinent des trucs non traduits en hurlant... mais il faut reconnaître que cet opus, archi violent et bien réalisé, agit comme une catharsis. Certes cette histoire bidon n'est qu'un prétexte à un film d'action trop court, se terminant d'ailleurs en queue de poisson, mais ça fait du bien. Au passage, il faut vraiment que les birmans aillent mal pour croire - sur la base de copies du film circulant sous le manteau depuis la Thaïlande- qu'il constitue le prélude à une intervention américaine.
Après un énorme Rocky, Stallone nous sert ici un très bon Rambo, avec un peu la même recette, mais ça marche! Une maturité sincère, de la "crédibilité" dans le personnage, un retour à la source bref, un très agréable flashback dans un film de guerre old school sur un sujet très actuel. Encore bravo Sly et à quand le prochain film???
Le meilleur Rambo selon moi , une histoire vraiment bouleversante voir même très très très terrifiante , des image d'une extrême violence , Stallone nous montre volontairement la cruauté et la barbarie de ces massacres perpétué par des détraqués assoiffé de sang et de pouvoir. Avis au âmes sensible ! Des scènes dur a voir , des enfants sont torturée et tuées , les méchants tuent comme ils respirent , des scènes d'action totalement exceptionnelle , Sly nous offres des scènes d'action vraiment éblouissant , un scènar bien construit , Le personnage John Rambo ! Des Décors vraiment bien réaliste , des effets visuel bien fait , ainsi que du bon montage , Stallone a dut beaucoup tafer sur ce film , des image vraiment éblouissant , des scènes de massacre d'une extrême violence ! UN FILM CULTES A VOIR ET A REVOIR ! LE MEILLEUR RAMBO SELON MOI Bon film dans l'ensemble ! A VOIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Avec " John Rambo", Stallone renouvelle efficacement une franchise à priori usée jusqu'à la corde. En insistant sur les effets sadiques et gore, son film est plus sombre et violent que réellement spectaculaire. Ici, les corps et les têtes explosent, les membres sont arrachés sous les impacts de balles. Les méchants jettent des grenades dans les rizières avant de forcer les civils à les traverser... Evidemment, Rambo ne fait plus le travail seul et massacre pas mal de méchants à la fin, peinard, derrière une grosse mitrailleuse. Mais la rage est toujours là. A noter dans les dernières images, son retour au pays, émouvant, surtout pour les fans.
Sylvester Stallone revient nous rappeler qui est le patron des films d'action grand public avec "John Rambo", suite et quatrième film de la saga. Contrairement au précédent, il est ici également à la mise en scène, tout en continuant d'assurer le premier rôle dans ce personnage culte qu'est Rambo. Si beaucoup de personnes ont eu un peu de mal avec ce retour au milieu des années 2000, j'ai personnellement trouvé le film très correct dans son ensemble et dans ce qu'il essaye de proposer. Le long-métrage est certes beaucoup plus accès sur la violence gore que les précédents volets, mais cela rend très bien au final et sert au propos de l'histoire. Ce film vient nous exposer une nouvelle guerre meurtrière, à savoir à la frontière birmane. Encore une fois, même si la forme est portée par le divertissement, le fond est quand même porteur d'un message forçant à lever le voile sur la réalité de ce coin du monde. Ce qui explique donc très bien la présence d'autant de violence. Grâce à cela, on arrive parfaitement à ressentir ce que l'on voit de nos yeux, ce qui serait bien moins impactant sans cela. Cela sera donc peut-être un poil désagréable à voir et parfois même forcer, mais cela rend certaines scènes vraiment très fortes, comme celle du champ de mines par exemple. Et puis surtout, on reste sur un film de pur divertissement. Et là-dessus, ce film réussit parfaitement son coup en nous faisant passer un moment jamais ennuyeux. Le film étant très bien rythmé, il réussit à nous faire rester les yeux rivés sur l'écran. Pour ma part, le retour de la saga est donc une réussite qui mérite sa place dans la saga. C'est un film qui fait plaisir à voir et qui montre que Sylvester Stallone en a toujours sous le capot. C'est une suite très réussie qui reprend la même formule que ses prédécesseurs, en l’actualisant, pour nous faire passer un moment à la fois divertissant et intense. Certes, comme d'habitude, ne vous attendez pas à voir un modèle d'écriture en visionnant un film de cette saga, c'est un ensemble qui veut être très divertissant avant tout. Mais si on souhaite juste se divertir, devant quelque chose d'un peu intelligent malgré tout, cette suite est parfaite pour cela. Pour conclure, un joli retour.