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cris11
51 abonnés
970 critiques
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4,5
Publiée le 29 juillet 2012
Sly revient aux sources de son personnage. Ce film, pas mal d'années après le dernier rambo est une totale réussite. Dénonçant les atrocités faite par l'armée birmane, l'histoire est bien pensée avec cette action humanitaire et Rambo qui part les sortir de l'enfer. Les effets spéciaux sont excellents, les scènes d'action parfaites et Sly toujours aussi charismatique. C'est bien de terminer cette saga sur ce film plutôt que sur le 3.
Comme pour le dernier "Rocky", Stallone a réussi sa sortie et cloture - en voyant le final, on peut employer ce mot là - les aventures de John RAMBO d' une remarquable façon . Merci Sylvester pour ce remarquable travail que tu as réalisé sur tes deux personnages principaux de ta carrière . S' il doit prendre sa retraite prochainement - la cloture des aventures de Rocky et Rambo le laisse supposer - Stallone aura réussi une sortie de carrière en beauté . Chapeau bas Sly !
On pourra s’étonner d’un tel retour, surtout quand on voit avec quelles difficultés le pauvre « Sly » s’efforce d’incarner à nouveau sa machine de guerre. Certains trouveront sûrement leurs réponses dans cette atmosphère et ces codes employés qui ont fait la belle époque des films d’action des années 80. De même, ce nouveau greffon à la saga Rambo peut aussi tirer parti de son style direct qui ne s’embête pas avec les fioritures. Pour sûr, ça dépote tout de suite, et ça dépote sévère ! Nul ne restera d’ailleurs indifférent à l’incroyable crudité de la violence dans ce "John Rambo". Dérangeant ou jouissif ? Peut-être les deux, mon colonel ! Du moins, c’est sur le travail de cette ambiguïté que le film est probablement le plus réussi, marquant ici clairement son identité. Malgré tout – et il faut bien le reconnaître – cela ne suffira certainement pas à emporter l’adhésion. C’est que le film pâtit incontestablement d’un manque de propos et de relief. Au fond, on est lassé très vite, et bien que le film sait assurer un certain rythme sur la fin, on ressort de là avec l’impression d’avoir vu une moitié de film. Bref, ce "John Rambo" est un divertissement évitable. Pour ceux qui comptaient s’y défouler, mieux vaudra retourner aux originaux.
Rambo est de retour, plus déterminé que jamais! Bon pour l'histoire, tout le monde la connait...soit. Mais pour le reste, Rambo fait toujours preuve d'efficacité et nous amène à penser qu'il a quand meme un coeur.. (apres à chacun de se faire son idée sur la fin^^). LA fin est bien évidemment prévisible mais tout aussi exquis. Parfois trop gore pour etre crédible (et quelques incohérences...), on en reste pas moins sous le choc d'une telle violence (qui malheureusement existe bel et bien dans ces pays là). Donc peut etre un peu trop gore sur certains points, il en fallait tout de meme pour réussir à interpeller le spectacteur, chose faite. Seul bémol la nuit c'est la guerre... et le jour le repos... (merci les effets...^^).
J'ai vu un film... réussi dans le genre... Comment dire, on ne peut pas aimer une telle boucherie, un tel déploiement de destruction, de morts et de violence... Mais on ne peut s'empêcher de regarder, d'adhérer, et de prendre partie pour ce "gentil" Rambo... Il faut se l'avouer, on jubile, on sursaute, on espère, on attend TOUT de ce héros hors-norme... mais vraiment l"armée birmane est tellement méchante, pas gentille et vraiment cra-cra qu'elle mérite ce qu'il lui arrive, spécialement, lorsque les soldats se font couper en 2, décapiter, éventrer, démembrer, saigner... Et autre petite pique sur des idéalistes un peu trop idéalistes et donc décalés, c'est bien mal, de ne pas voir le monde tel qu'il est... Heureusement, avec Rambo, la vérité finit toujours par crever les yeux...
Tout comme pour Rocky, une bonne quinzaine d'années de repos ont fait du bien au personnage central et à son acteur. L'histoire regagne en fond et met de côté la sauvagerie surexplosive du 2 et du 3.
4e et dernier épisode de la saga,"Rambo" n'est pas le meilleur .Disons le tout de suite ,je n'ai pas retrouvé l'atmosphere si singuliere des autres épisode.John Rambo n'est plus.Il ne parle presque pas (ou grogne plutot),n'a pas de conversation interressante , il semble fatigué et vieux (bizarrement ,on ne le voit pas une seul fois torse nu !),bref il a l'air d'un ours que l'on a dérangé.Stallone essaie pourtant de nous remettre dans le bain avec une bande son reconnaissable du premier Rambo de la saga et tout d'un coup la nostalgie des premiers épisode nous revient et nous rappelle que celui là ne sera pas à la hauteur.Quelques images flash de sa vie d'avant,crépitent mais l'effet de compassion ne vient pas...On a perdu le vrai John Rambo.Suivant l'air du temps,meme les scenes de guerre sont crues et inhabituellement assez gore...ahh Holywood quand tu nous tiens.... Enfin meme si je n'ai pas retrouvé l'exitation des premiers Rambo, on a affaire à un bon film plein d'actions et bien réalisé dans son ensemble,ensuite on boucle la boucle.....
A l'image de l'excellent Rocky Balboa, ce quatrième et dernier volet de Rambo est le plus réussi de la série et aussi un des films les plus réussis de Sylvester Stallone. Contrairement à ce que peuvent dire les détracteurs, John Rambo est un film nettement plus subtil et ambitieux que l'on pourrait le laisser croire. Avant tout, John Rambo est, tout comme l'était Rocky Balboa, un retour aux sources, et de ce côté, c'est réussi. Rambo n'est plus que l'ombre de lui-même, il n'a plus d'identité, et vit seul loin du monde qu'il a connu et dans lequel il ne croit plus. Quand un groupe d'évangélistes américains plein de bonnes intentions, de médicaments et de bibles lui demande de l'aide, ils leur fait cette remarque très juste, à savoir qu'il y a la guerre en Birmanie et que sans armes, rien ne changera. Toute la thèse du film est là. John Rambo ne se veut pas un film moralisateur ou pacifiste, c'est avant tout un film sur la guerre dans tout ce qu'elle a de plus brutale et de cruelle. Les scènes de bataille sont particulièrement éprouvantes et d'une violence rarement vue. L'émotion n'a pas sa place dans ce film et chaque fois qu'elle tente de s'y glisser, elle est aussitôt balayée. John Rambo est un film où la guerre est montrée comme le pire des maux, mais malheureusement un mal inévitable où l'humanisme et la foi ne sont d'aucune utilité. A la guerre, il n'y a qu'une seule règle: tuer ou se faire tuer. Les mercenaires chargés de sauver les bons évangélistes du début sont loin d'être des guerriers patriotes prônant le sacrifice pour une cause juste, ils n'aiment pas être là et ne sont pas d'une témérité farouche. John Rambo livre un ultime combat car c'est toute sa vie, et peut-être espère-t-il trouver une absolution à son passé et un sens à son existence. Cependant, il retrouvera ce qu'il a toujours fui et comprend que la seule manière de réapprendre à vivre n'est pas en essayant de défendre une cause jugée juste, mais en retrouvant son identité perdue.
On peut toujours critiquer, mais Stallone est un grand. Un grand acteur, mais aussi un grand réalisateur. Après le coup de maitre de Rocky Balboa, Stallone tente de mettre fin au mythe Rambo avec une oeuvre éponynome (quoique que le 5 est semble-t-il une obligation contractuelle). Lieu : Birmanie, en plein génocide. Et le réalisme saute à la gueule, Rambo devient le porte parole d'une population exterminée, détruite, où même les bébés sont jetés au feu sans le moindre remord. A 62 balais, même si le tee-shirt reste toujours sur un torse et une carrure qui fait pâlir n'importe quel gamin de 20 piges, Rambo devient aussi une gueule, vieillie, tombante, mais impressionnante. Seul volet de la saga à nous montrer des flash backs, John Rambo recrée même la scène d'ouverture de Rambo dans une scène finale qui pourrait être la fin d'un héros fatigué, usé, qui a fini son travail de sauvetage de l'âme humaine. Même s'il déclare qu'il ne tue que pour lui, Rambo est un sauveteur, qui même s'il ne gagne pas l'amour de celle qu'il sauve (la fin est terrible pour les sentiments qu'il peut éprouver pour Julie Benz), se doit de se reposer. Oui Stallone est un grand, qui signe là un film sur la violence, pour nous dégouter de la violence mais qui, comme Rocky, nous prouve qu'un personnage culte ne peut pas être mauvais quand on le traite avec respect. Merci Monsieur.
Changement de décors et d'ambiance, mais toujours autant d'action, de violence sur fond d'actualité en plaçant son histoire en Birmanie. Stallone offre un quatrième volet à la hauteur des attentes, et le résultat nous offre un feu d'artifice de fusillades et d'effusions de sang. Un dernier quart d'heure qui vire à la boucherie. Bref un bon film d'action.
John Rambo , le quatrième opus de la fameuse saga Rambo avec notre bon vieux Stallone qui nous montre ici qu'il a encore de la class et des biceps pour nous en mettre plein la vue. le film est certes court 1h15 sa fait un peu juste il manque une bonne demi heure tout au plus et ici sa n'aurait pas fait de mal.. Un début qui met tout de suite dans l’ambiance pas de présentation car tout le monde le connais, et lorsqu'un groupe de sauveteur frappe a sa porte il nous montre sa gueule des mauvais jours comme pour dire j' enbète personne ne viens pas me casser les pieds... Ce groupe de gens qui croit que la birmanie c'est une promenade de santé du dimanche vont vite déchanté et se réveillé dans un monde bien réelle de la guerre. l'ennemi ne fait pas de quartier dans ce pays et ici il n'y a ni foi ni loi avec une seule règle: tuer. La mise en scene est typique d'un rambo sa ne parle pas et sa castagne.. de ce coté la on est plutôt satisfait car lorsque John Rambo dépose une mine je peux vous dire que sa explose du tonnerre... sa ne plaisante pas avec lui lorsqu'il reprends du service il commence fort histoire de rattrapé toutes ces années sans actions et sans aventures.. La fin est digne d'un jeu vidéos auquel il nous montre qu'il n'a rien a envié des nouvelles recrues et qui frappe un bon coups avec sa belle sulfateuse... Avec Rambo on s’attendait a du combat et pas vraiment de bavardage et bien s'est réussis.. même si le film a des défauts comme etre trop expéditif dès le départ ou vers le milieu du film auquel un peu plus de suspens aurait était la bienvenue..ou comme une impression de vide dans son personnage avec un scenério très pauvre mais quand on décide de regarder un Rambo on s'est a quoi s 'attendre un film de guerre donc ici pas de scenario a la Batman.. Et c'est mieux comme sa..
Pamphlet réaliste et bouleversant pour les uns, apologie de la barbarie complaisante pour les autres, une chose est sûre : ce film extrêmement pessimiste sur la nature humaine ne laissera personne indifférent.
Aprés le magnifique Rocky Balboa, notre bon vieux Sly raccroche ses gants de boxe et remet son bandeau pour nous offrir l'inespéré quatriéme épisode de Rambo. Et il signe là une nouvelle fois une oeuvre majeure qui, à coup sùr, marquera les esprits méme les plus imperméables. John Rambo est un des films les plus violents de tous les temps mais cette violence est pertinente et le pire c'est que de telles horreurs se passent dans notre monde. A la vision du film, on passe des différentes perceptions de la violence: Révoltante et écoeurante à en pleurer quand les innocents sont massacrés ignoblement, jubilatoire et défoulante quand Rambo et les mercenaires dégomment les méchants. Tout en dénonçant les abominations dont l'humain est capable, Stallone nous raconte aussi une histoire de bravoure et de bonté, et retrouver ce cher Rambo, fidéle à lui méme (peu bavard, bourru, brisé, aigri mais avec un bon coeur)est un grand moment de plaisir et un grand bravo à Bryan Tyler qui a fait un trés beau travail en reprenant les mythiques musiques de Jerry Goldsmith. Un vrai film cru, crade et réaliste comme on en voit rarement à cette époque de politiquement correct qui n'est qu'une maniére de cacher la dépravation, un film qui dénonce et instruit autant qu'il divertit, qui accumule les scénes déja anthologiques et qui concervera toujours l'âme de notre héros sur nos écrans et dans nos coeurs. La fin réserve une jolie surprise aux fans de la premiére heure mais je n'en dirai pas plus c'est une surprise. Dans un amas de bouillasse, de sang, de tripes, de pourriture et de douilles fumantes se dresse fiérement un héros immortel: John J. Rambo!
J'avoue conserver très peu de souvenir de rambo 2 et 3. Et le premier est à part dans la série. Mais ce "John Rambo" est un Rambo solide. Aucun tabou, aucun scrupule, le film est une machine violente, qui a un peu de mal à démarrer mais ravage tout sur son passage une fois lancée. S. Stallone fait plaisir à ses fans, tout ses fans. Ceux des années '80 et ceux d'aujourd'hui. Le gaillard est en pleine forme ! Il est souvent regrettable qu'on touche aux franchises d'antan. Mais pour celle-ci qui ne comptait finalement qu'un seul bon film, ce nouvel opus est bienvenu. C'est du pur plaisir coupable que nous offre le métrage, et il ne faut rien y chercher de plus.
20 ans après Rambo 3, qui fut le plus décévant de la saga, Sylvester Stallone revient avec son personnage culte de John Rambo pour un ultime (?) volet dans la jungle de Birmanie. Après Rocky l'année dernière, Stallone parvient une nouvelle fois à réaliser un très bon film, qui dénonce içi les atrocités de la guerre. Le film est violent, sombre et nous montre "la guerre" comme on ne la voit jamais, avec des scenès durs et des passages à la limite du possible. Rambo réussit parfaitement son retour dans un lieu à sa hauteur, mais de plus à 61 ans, Stallone nous montre qu'il tient encore la forme, et quelle forme! En ajoutant à sa "le thème" qui nous rappelle de bons souvenir lors des films précédents, et grâce à un superbe final, Stallone montre une nouvelle fois son potentielle de réalisateur vraiment impeccable. Une boucle et bouclé, un véritable film coup de poing dans tout les sens du terme. Chapeau Sylvester Stallone, une grande réussite dans la ligné du premier avec un mélange du second. Rambo restera une légende sa rougir.