Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Cécile Mury
C'est la force du film : faire flotter le récit dans un entre-deux affectif, une région incertaine, entre émotion et regrets (...) Les rues sont claires-obscures, murs hauts et sombres, cafés brillants, une atmosphère de fin d'automne qui fait à la solitude de l'héroïne comme un écrin ouaté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Étrange histoire d'une passion silencieuse et cachée (...) Paolo Franchi en tire une partition pour trois solitudes, énigmatique et subtile.
MCinéma.com
par Camille Brun
Ce qui frappe d'emblée, c'est le talent qu'a Paolo Franchi pour capter et placer les corps de ses acteurs devant sa caméra. Avec de telles richesses, La Spectatrice pourrait être fascinant. Malheureusement, toute l'équipe n'a pas (son) talent.
Positif
par Jean A Gill
(...) un premier film d'une grande subtilité, une oeuvre au ton feutré, presque froid (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Brazil
par Alex Masson
Joli à défaut d'être complètement convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéma italien poursuit sa route presque aveugle, se refusant à innover, avec des histoires sentimentales signées par des cinéastes sans style, presque interchangeables (...) Vraiment intriguant, mais on eût préféré un peu plus de relief et des comédiens légèrement plus fougueux.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'histoire romantique, un peu lisse, d'une voyeuse obsédée par un homme (...) Une vampiresse très soft. Trop soft (...) On a les romantismes que notre époque peut nous offrir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
Ce premier film de Paolo Franchi est un portrait douloureux et magnifique d'un "coeur en hiver".
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Paolo Franchi signe une digression sur l'ambiguïté amoureuse pleine de délicatesse. Un drame bourgeois sophistiqué et maîtrisé auquel il manque peut-être l'abandon nécessaire pour faire passer le trouble ambitionné par le réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un film empêché par sa théorie même, crispé par une froideur contrainte, et interprété par des acteurs quasiment momifiés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Une chronique sentimentale toute en silences et en pointillés. Difficile de vraiment s'impliquer dans ce portrait de l'Italien Paolo Franchi, faute d'y sentir les vibrations de la passion.
Score
par Juilen Welter
(...) On a beau se plonger dans le séduisant regard bleu de Barbora Bobulova, la trame est une mer d'huile qui attend constamment un peu de vent, un peu de mouvement. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Olivier Pélisson
Sujet intéressant (...) Mais le cinéaste ne séduit pas vraiment. La faute à la lenteur.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Si Paolo Franchi filme bien l'isolement et le mal être de ses personnages, son premier long métrage souffre cependant d'un manque de rythme qui plombe le film. Trop long, trop lent, trop froid, l'émotion ne passe pas.
Télérama
C'est la force du film : faire flotter le récit dans un entre-deux affectif, une région incertaine, entre émotion et regrets (...) Les rues sont claires-obscures, murs hauts et sombres, cafés brillants, une atmosphère de fin d'automne qui fait à la solitude de l'héroïne comme un écrin ouaté.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Étrange histoire d'une passion silencieuse et cachée (...) Paolo Franchi en tire une partition pour trois solitudes, énigmatique et subtile.
MCinéma.com
Ce qui frappe d'emblée, c'est le talent qu'a Paolo Franchi pour capter et placer les corps de ses acteurs devant sa caméra. Avec de telles richesses, La Spectatrice pourrait être fascinant. Malheureusement, toute l'équipe n'a pas (son) talent.
Positif
(...) un premier film d'une grande subtilité, une oeuvre au ton feutré, presque froid (...).
Brazil
Joli à défaut d'être complètement convaincant.
L'Humanité
Le cinéma italien poursuit sa route presque aveugle, se refusant à innover, avec des histoires sentimentales signées par des cinéastes sans style, presque interchangeables (...) Vraiment intriguant, mais on eût préféré un peu plus de relief et des comédiens légèrement plus fougueux.
Les Inrockuptibles
L'histoire romantique, un peu lisse, d'une voyeuse obsédée par un homme (...) Une vampiresse très soft. Trop soft (...) On a les romantismes que notre époque peut nous offrir.
Première
Ce premier film de Paolo Franchi est un portrait douloureux et magnifique d'un "coeur en hiver".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Paolo Franchi signe une digression sur l'ambiguïté amoureuse pleine de délicatesse. Un drame bourgeois sophistiqué et maîtrisé auquel il manque peut-être l'abandon nécessaire pour faire passer le trouble ambitionné par le réalisateur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
(...) un film empêché par sa théorie même, crispé par une froideur contrainte, et interprété par des acteurs quasiment momifiés.
Ouest France
Une chronique sentimentale toute en silences et en pointillés. Difficile de vraiment s'impliquer dans ce portrait de l'Italien Paolo Franchi, faute d'y sentir les vibrations de la passion.
Score
(...) On a beau se plonger dans le séduisant regard bleu de Barbora Bobulova, la trame est une mer d'huile qui attend constamment un peu de vent, un peu de mouvement. En vain.
Zurban
Sujet intéressant (...) Mais le cinéaste ne séduit pas vraiment. La faute à la lenteur.
aVoir-aLire.com
Si Paolo Franchi filme bien l'isolement et le mal être de ses personnages, son premier long métrage souffre cependant d'un manque de rythme qui plombe le film. Trop long, trop lent, trop froid, l'émotion ne passe pas.