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    Love (et ses petits désastres)
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Love (et ses petits désastres)" et de son tournage !

    Un troisième film après treize ans d'absence

    Love (et ses petits désastres) est le troisième film du réalisateur Alek Keshishian. Celui-ci avait réalisé le documentaire In bed with Madonna, en 1991 et With Honors en 1994. Il s'est donc passé treize ans avant que le réalisateur ne se remette à la réalisation.

    Un réalisateur multi-fonction

    Love (et ses petits désastres) est le premier film, écrit, réalisé et produit par Alek Keshishian. Celui-ci n'avait ni écrit ni produit ses longs métrages précédents.

    Une comédie sur l'amour

    Pour Alek Keshishian, la comédie romantique est un reflet de la façon dont on envisage l'amour. Le réalisateur précise que les comédies romantiques entretiennent une sorte d'idéal, " une idée, fausse, que l'amour est quelque chose qui nous arrive plutôt que quelque chose que nous devons choisir. Je voulais réaliser un film qui fonctionne à la fois en tant que pur film de genre, qui soit un vrai divertissement, mais qui se caractérise aussi par une sensibilité postmoderne en jouant de ses propres clichés. Tout le défi était évidemment de trouver un juste équilibre entre ces deux objectifs, parfois contradictoires. "

    La mode (et ses petits désastres)

    L'histoire de Love (et ses petits désastres), se situe dans le milieu de la mode, et ne se gêne pas pour égratigner la superficialité de cet univers. Mais le film d'Alek Keshishian s'en prend également à l'Art contemporain. Le réalisateur explique cette volonté de se moquer par le fait qu'il éprouve des sentiments mitigés vis-à-vis de ces deux univers. " D'un côté, la plupart de mes amis travaillent dans l'un de ces milieux, et leur oeuvre est bien moins glamour que ce que la plupart des gens imaginent. D'un autre côté, et de façon plus profonde, je trouve ces deux milieux légèrement ridicules. Et je crois franchement que la plupart des gens que je respecte, même s'ils travaillent dans la mode ou l'art, sont conscients de l'absurdité inhérente à ces univers ".

    Un film made in London

    L'histoire et les personnages de Love (et ses petits désastres) sont directement inspirés de l'expérience de Alek Keshishian à Londres... Le réalisateur a habité la capitale anglaise durant dix ans et souhaitait depuis longtemps (9 ans) écrire un scénario sur l'amour et les célibataires londoniens.

    Un quartier célèbre mais changeant

    Alek Keshishian a habité durant ces dix dernières années à Notting Hill, et souhaitait placer l'action de son film dans ce quartier. Mais quand le film de Roger Michell, Coup de foudre à Notting Hill, est sorti en 1999, le réalisateur et scénariste a dû modifier le lieu de tournage de son long métrage, encore à l'étape de l'écriture. De ce fait, le lieu de l'action de Love (et ses petits désastres) est devenu Spitalfields Market, à l'Est de Londres. Alek Keshishian explique que ce choix à été une bonne chose puisqu'au fils des années, Notting Hill est passé du quartier des célibataires au quartier des couples mariés avec enfants. Celui-ci ne correspondait donc plus au sujet du film...

    Une référence directe à Diamants sur canapé

    Love (et ses petits désastres) fait directement référence à Diamants sur canapé de Blake Edwards. Alek Keshishian explique que " ce film est devenu un grand classique de la comédie romantique avec la performance culte d'Audrey Hepburn. Mais le roman original de Truman Capote se concentrait sur l'amitié qu'entretient un homosexuel avec Holly Golightly. Pour le film d'Edwards, le studio a supprimé ce personnage homosexuel, ce qui va à l'encontre de l'histoire telle que Capote l'avait imaginée. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il était si furieux, il s'est senti trahi par cette adaptation. Je pensais donc, qu'il serait intéressant pour Peter (Matthew Rhys) de révéler cette trahison, car à la fin du film, c'est très exactement ce que le studio inflige à son propre film ".

    Une fin surprenante...

    Alek Keshishian a souhaité faire une fin originale à son film, Love (et ses petits désastres). Le réalisateur explique d'ailleurs que " la fin du film a été le moment le plus compliqué car je voulais trouver le juste équilibre entre deux envies : réaliser une comédie romantique satisfaisante tout en me moquant des fins typiques du genre, toujours très joyeuses et nettes. La fin que nous avons choisie permet au spectateur, du moins je l'espère, d'avoir ce qu'il attendait et en même temps de rire de la superficialité de cette attente. "

    L'amour en musique...

    Alek Keshishian est également réalisateur de clips musicaux, il attache donc beaucoup d'importance à la musique. Pour la bande originale de Love (et ses petits désastres), celui-ci souhaitait une musique complètement originale mais rappelant également la musique de Nino Rota dans Huit et demi de Federico Fellini (1963). Le compositeur, Alexandre Azaria, a donc créé une partition complètement originale, qui dégage à la fois un vrai parfum de "vintage".

    Un héro de l'amour

    Santiago Cabrera, qui tient le rôle de Paolo dans Love (et ses petits désastres) est un des héros de la série événement Heroes. Dans la série il incarne Isaac Mendez, un peintre capable de prédire l'avenir dans ses tableaux.

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