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Redzing
1 165 abonnés
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1,5
Publiée le 22 septembre 2020
Les déboires amoureux d'une journaliste de mode, et de son colocataire gay, tout deux vivant à Londres. Voilà à quoi peut se résumer "Love and Other Disasters", comédie romantique anecdotique des plus superficielles, qui aligne des clichés en guise de personnages (la copine névrosée, l'ex jaloux, le photographe de mode infecte, le latino ténébreux, le gentil confident gay...). Sans parler de Brittany Murphy, qui apparait tellement à moitié nue que cela en devient risible (y avait-il un contrat de placement produit avec une marque de lingerie ???), et qui n'a clairement pas les épaules pour tenir une comédie romantique qui tente un peu de se la jouer "Bridget Jones". On notera également que le film tente de jouer la corde de la mise en abîme, se comparant à des clichés hollywoodiens ou à des célèbres comédie romantiques pour tenter de vendre un message plus subtil (l'amour n'est pas une question de coup de foudre, et vient de là où on ne l'attend pas forcément). Mais le problème est que le film étant lui-même peu profond, mise en scène de manière purement fonctionnelle, et ne proposant pas grand chose, cette mise en abîme l'enfonce plus qu'autre chose. Reste tout de même le personnage attachant incarné par Matthew Rhys, avec ses mimiques et quelques petits effets de montage qui sont parfois amusants. Mais il est malheureusement relégué au second plan.
Préambule : Il ne faut pas confondre « comédie romantique anglaise » et « comédie romantique américaine dont l'action se passe à Londres ». Il y a en effet un mot qui change tout ; c'est « américaine » ! Par ailleurs, l'épaisseur des habits de l'héroïne, dans de nombreuses scènes, est proportionnelle à celle du scénario, c'est-à-dire plus que léger. Celui-ci accumule les situations prévisibles et donc les chutes téléphonées. Heureusement, la B.O. est excellente. A défaut d'un bon film, on a au moins un bon clip. Outre la musique, le film est bien construit, bien interprété et pas trop long, d'où mon indulgence au niveau de la note. Pour ne pas rester sur une mauvaise impression de ce type de films, revoyez plutôt une très bonne comédie romantique anglaise de 1999 qui traitait déjà, elle aussi, de l'homosexualité mais en mieux. Il s'agit de « Des Chambres et des couloirs » (Bedrooms and Hallways).
Un film un peu trop bavard aux faux airs de Woody Allen. Reste le charme de Brittany Murphy, mais il n'empêche que cette comédie romantique exhale un indéfectible parfum de déjà-vu...
J'ai adoré ce film ! Une bonne comédie, pleines de scènes drôles. Dommage pour la fin il manquait juste qu'on rentre un peu plus dans leurs histoires d'amours, car franchement ils étaient craquant tous les deux. La morale de l'histoire est que le coup de foudre existe mais il faut surtout et avant tout décider si on veut le vivre ou pas ! Le voir ou pas !
Je n'ai pas du tout accroché au personnage. L'humour britannique est bien là mais c'est poussif et caricatural. Toutefois, la fin rehausse un peu le niveau. Une déception dans l'ensemble.
Personnelement j'ai aimé le film, on peut se marrer pendant 1h30 de comédie mais il y a une chose qui est simple à expliquer, le scénario, on peut comprendre mais il fallait changer quelque chose mais bon en tout cas les actrices et acteurs sont bons, des comédiens et comédiennes faciles à faire rire les gens. L'actrice Brittany Murphy m'a fait rigoler, elle joue un personnage très sympatique et peu drôle. Mais surtout l'acteur Matthew Rhys m'a vraiment fait rigoler car c'est un personnage très gaie et sincère. Franchement je trouve vraiment génial ce film. Il m'a passioné et inspiré car il y a des choses très émouvantes et gaies. L'homosexualité est la chose qui peut éviter l'ennui, on s'amuse avec eux, c'est pourtant que j'ai regardé le film car il m'a fait pensé aux homosexuels. C'est génial. :D
Love est un GROS désastre. Les acteurs sont tous pathétiques, le scénario est tellement prévisible que rien qu'en voyant le titre on a déja compris... C'est une m**** infame, c'est affreux, c'est terrible. Le film est trop gay pour être regardé sans vomir... Ce film est plus insoutenable qu'un snuff movie, plus chiant et long que Titanic... Je comprends pas qu'on puisse permettre a ce genre de film d'être produit. La bande son est aggacante, c'est un viol auditif... Je déteste ce film au plus haut point et tout ce qu'on espère en voyant ces acteurs c'est qu'il se retrouve dans Saw ou Hostel et qu'ils meurent d'en d'atroces souffrances. 0/5
Comédie divertissante qui, sous ses apparences superficielles et sa fausse lenteur presque ennuyeuse, renferme un point de vue intéressant sur l'amour et ses petits désastres...
J'ai beaucoup aimé ce film : drôle, bonne morale sur l'amour... L'amour tel qu'on le voit dans les grands films n'existe pas. Cela donne à réfléchir. L'humour est également bienvenu dans Love et ses Petits Désastres : spoiler: Jacks qui croit son ami gay alors qu'il est tout simplement fou d'elle, son amie accro aux relations étranges avec les hommes ... Film idéal pour passer un bon moment, seule, entre amies ou en couple.
Je plaide non coupable ! Parti pour voir "Spiderman 3" en V.O. à la séance de 9 h 40 de l'UGC Bercy, était-il prévisible que la salle affiche complet ? Pouvais-je prévoir un tel afflux d'arachnophiles matinaux ? Le seul film programmé à 9 h 45 et que je n'ai pas encore vu était celui-là, aussi me suis-je autorisé à me laisser entraîner par mon côté girly... Voilà un film qui redonne une indubitable crédibilité à ma carte illimitée, en me donnant la bonne conscience de ne pas avoir réellement déboursé quelques sous pour un pareil navet.
Bon. Donc, puisqu'il s'agit d'une comédie romantique, cap sur Londres, et le monde de la mode. Brittany Murphy joue une blonde-inside-superficielle-mais-pas si-nunuche-que-ça, habillée et maquillée comme Audrey Hepburn dans "Breakfast at Tiffany's", qui nous est montré comme son film préféré, des fois qu'on ait pas trouvé ça tout seul. Elle mène une vie trépidante, parcourant la capitale anglaise au volant de son Austin Mini pour aller de séances de shooting en cocktails et en inauguration d'expositions branchouilles, et s'occuper des problèmes existentiels de son coloc scénariste méconnu et de sa copine poétesse alcoolique.
On le voit, rien de bien nouveau sous le brouillard londonien, si ce n'est l'absence totale de cet humour britannique présent chez Mike Newell ou Roger Mitchell. On ne rit pas, et pire, on est gêné devant tant de balourdise, digne des pires films (un pléonasme) de Gabriel Aghion, à l'instar de cette scène où une psy obèse compare le sentiment amoureux à une flatulence. J'ai hésité à partir pour ne plus avoir à subir ces dialogues de sitcoms avec tant de répliques qui font flop. Et puis, aux deux-tiers du film, la comédie pas drôle laisse enfin la place à la comédie romantique, et on en vient presque à s'intéresser au suspens insoutenable : Jacks va-t-elle enfin s'apercevoir que Paolo n'est pas gay ? Emportée par le rythme du cahier des charges de toute bonne comédie sentimentale, l'action décolle enfin, et la mise en scène prend une pincée de relief, avec un jeu de mise en abyme entre la réalité et le scénario qu'en a tiré Peter.
Ca fait quand même bien peu pour sauver une production plombée par un scénario éculé, une photographie cheap, un cabotinage exaspérant de la plupart des acteurs et des dialogues consternants : beaucoup de petits désastres pour un seul film.