Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
On réfléchit toujours avant de porter un regard critique sur des films issus d'un cinéma dit "émergent" africain ou arabe (...). Fragiles, courageuses, de telles productions servent une cause aussi juste que leur traitement cinématographique, trop souvent pêche par naïveté. Passion serait plutôt dans la tranche supérieure.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Jean Roy
Avec courage et bravoure, Mohamed Malas dénonce les dérives idéologiques de la société syrienne rongée par le machisme. Les nouvelles du cinéma de ce pays sont trop rares pour se passer de celles-ci.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine de BAECQUE
Passion a les vertus et les défauts du film à thèse, ce qu'on nommerait chez nous la "fiction de gauche". Il n'est guère nuancé sur le fond et ne cherche en rien l'innovation formelle. Mais il est bien joué et possède la précision d'une démonstration implacable. Le pavé tombe exactement où il faut, en plein dans la mare d'une société sclérosée.
Première
par Gael Golhen
Son film est une bombe à retardement dont l'idée la plus forte est d'adopter le point de vue des bourreaux (...) Pas de discours politique ou de leçon de morale : juste l'étreinte de la peur, le bonheur filmé comme un sursis dans une société malade d'intégrisme. Implacable.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Portrait de femme au quotidien, mais surtout peinture terrifiante d'une société machiste et violente, le film de Mohamed Malas est un appel à la raison et un hymne à la culture, aux sens, à l'ouverture de soi aux autres, comportement "indécent" dans la Syrie d'aujourd'hui pour les femmes.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Appel non dénué de courage à un changement de mentalité, voire de politique, dans la société syrienne, Passion n'en demeure pas moins un film qui relève d'une conception télévisuelle du monde...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Marc Kressmann
L'histoire, inspirée d'un fait divers réel, est incroyable et le réalisateur a mis tout son talent pour raconter la destinée tragique de cette admiratrice de Oum Kalsoum. Hélas, le scénario est quelque peu relâché vers la fin, sombre dans le mélo soporifique et involontairement caricatural.
Studio Magazine
par Benoit Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Dans une mise en scène où une certaine sobriété grise alterne avec des coquetteries (...), Mohamed Malas va piano mais sûrement vers la résolution cruelle de cette histoire, qui fut un fait divers bien réel, et n'en a que plus de résonance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Il y a de la tragédie grecque dans cette Passion inégale mais implacable, inspirée d'une histoire vraie. Dommage que le film s'emberlificote dans sa longueur et son désir de combiner le drame au thriller.
Cahiers du Cinéma
On réfléchit toujours avant de porter un regard critique sur des films issus d'un cinéma dit "émergent" africain ou arabe (...). Fragiles, courageuses, de telles productions servent une cause aussi juste que leur traitement cinématographique, trop souvent pêche par naïveté. Passion serait plutôt dans la tranche supérieure.
L'Humanité
Avec courage et bravoure, Mohamed Malas dénonce les dérives idéologiques de la société syrienne rongée par le machisme. Les nouvelles du cinéma de ce pays sont trop rares pour se passer de celles-ci.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Passion a les vertus et les défauts du film à thèse, ce qu'on nommerait chez nous la "fiction de gauche". Il n'est guère nuancé sur le fond et ne cherche en rien l'innovation formelle. Mais il est bien joué et possède la précision d'une démonstration implacable. Le pavé tombe exactement où il faut, en plein dans la mare d'une société sclérosée.
Première
Son film est une bombe à retardement dont l'idée la plus forte est d'adopter le point de vue des bourreaux (...) Pas de discours politique ou de leçon de morale : juste l'étreinte de la peur, le bonheur filmé comme un sursis dans une société malade d'intégrisme. Implacable.
aVoir-aLire.com
Portrait de femme au quotidien, mais surtout peinture terrifiante d'une société machiste et violente, le film de Mohamed Malas est un appel à la raison et un hymne à la culture, aux sens, à l'ouverture de soi aux autres, comportement "indécent" dans la Syrie d'aujourd'hui pour les femmes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Appel non dénué de courage à un changement de mentalité, voire de politique, dans la société syrienne, Passion n'en demeure pas moins un film qui relève d'une conception télévisuelle du monde...
MCinéma.com
L'histoire, inspirée d'un fait divers réel, est incroyable et le réalisateur a mis tout son talent pour raconter la destinée tragique de cette admiratrice de Oum Kalsoum. Hélas, le scénario est quelque peu relâché vers la fin, sombre dans le mélo soporifique et involontairement caricatural.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Dans une mise en scène où une certaine sobriété grise alterne avec des coquetteries (...), Mohamed Malas va piano mais sûrement vers la résolution cruelle de cette histoire, qui fut un fait divers bien réel, et n'en a que plus de résonance.
Zurban
Il y a de la tragédie grecque dans cette Passion inégale mais implacable, inspirée d'une histoire vraie. Dommage que le film s'emberlificote dans sa longueur et son désir de combiner le drame au thriller.