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Flamme-010
16 abonnés
53 critiques
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3,5
Publiée le 1 avril 2020
Cruauté de la Nature, cruauté de l'Homme aussi, dans cette chasse au sanglier tueur. Ambiance années 80 au synthé et paysages apocalyptiques à la Mad Max sur fond de soleil couchant rougeoyant. Un classique du cinéma d'horreur Australien.
Absoluent immonde, l'horreur absolue, une aventure terriblement angoissante a l'athmosphére insoutenable rappelant celle de Mad Max. L'émorme sanglier n'est pas le seul être vil de ce film, les deux bouchers dégueulasses et cruels sont aussi voire plus abominables. La mise en scéne est pleine de style, le scénario instructif et la violence est extréme. Un des meilleurs films sur la guerre entre les animaux et les humains avec Les dents de la mer et Orca. A coté de ce Razorback, Jurassic Park est un gentil petit conte pour enfants. Depuis que j'ai vu ce film, je déteste les porcs, et si il y'en a qui détestent la turquie a cause de Midnight Express, d'autes vont detester l'Australie a cause de Razorback.
Musique "légèrement" dépassée, scénario effectivement comparable aux Dents de la mer (mais sur terre), pas assez de plan du rhino-sanglier, ni sur ses violences destructrices (sur les humains notamment)... Pourtant, ce film porte bien dans le domaine de l'horreur, et le climat créé est digne d'un film du genre. Mais il date, donc en plus des effets spéciaux de l'époque, l'histoire est adaptée à la mode des films des années 80. Ceci explique donc certaines choses.
Pas facile de faire un film de méchante bestiole avec un sanglier, et Russell Mulcahy s'en tire pas trop mal. Je me souviens être sorti heureux de la salle à l'époque, et en le revoyant, même s'il a un peu vieilli, ce film n'est pas si mal.
RAZORBACK est une série B pas très convaincante, avec un scénario bateau et une mise en scène pas toujours maitrisé à part quelques scènes terrifiantes, decevant.
Razorback est un film de serie B plutôt réussi du réalisateur Australien Russel Mulcahy. La photographie est belle, de superbes couchés de soleil, ainsi qu'un jeu avec la lumiere intérréssant. l'esthétique de l'image est travaillée et c'est un régal pour les yeux. L'intrigue à du mal à démarrer à cause de quelques longueurs mais une fois que c'est parti les effets spéciaux sont supers, et il y a de trés bonnes scènes d'actions digne d'un gros film americain. Attention ce n'est pas un film d'horreur gore banal, c'est du cinema. Bon ok Les acteurs ne sont pas térrible notamment le héros et sa femme. Par contre le vieux chasseur touché par la fatalité est trés bon. Le decor australien (poussiere,boue,chaleur) est ses paysan sont tres bien reconscrit par moment à la limite du western Razorback est un film au sujet special a ne pas prendre de haut. La scène dans la voiture avec la journaliste est horrible et terriblement réaliste.
un film trés limite! le razorback géant n'est montrer que peu de fois et on le vois pas vraiment bien en plus, ajouter a cela s'est un peux bacler vite fait sur sa façon de mourir, mais soyons indulgent ce film a plus de vingt ans et a l'époque les moyens n'était pas les memes qu'aujourdhui reste de bon acteurs en cas!
Bof. Originalité dans la bestiole mise en scène, oui (un sanglier de 2 mètres de long, c'est quand même impressionnant), mais le rythme est lent, l'image est trop colorée, et le combat final entre la bête et le gentil est loin d'être captivant. Un film de bestiole très moyen donc.
Excellent film de genre, succès critique du début des années 89, encensé lors de sa présentation au festival d'Avoriaz. La mise en scène est de qualité, l'ambiance prenante, l'interprétation au diapason et le monstre, pour l'époque, est tout ce qu'il y a de repoussant. A redécouvrir par le réalisateur de Highlander...
D'un point de vue cinématographique, c'est très moyen, mais ce film à marqué mon enfance, et j'aime énormément le revoir. Le meilleur film de Russell Mulcahy (Resident Evil: Extinction).
"Les dents de la mer" en Australie avec un sanglier de la taille d'un rhinocéros qui tue des gens à la place d'un requin...Y'avait de quoi faire un film ridicule, et Russel Mulcathy n'avait même pas voulu lire le scénario, croyant qu'on se fichait de lui. mais le destin l'a rattrapé, et il s'est tout de même retrouvé aux commandes de ce projet...qui sera, en temps que premier long métrage, son passeport vers Hollywood. Et bien, il s'en est terriblement bien sorti, et a réussi à faire passer la pilule grace à une esthétique et à une atmosphère renversantes, pleines de poésie noire. Les acteurs sont convaincants et les deux fréres dégénérés restent effrayants. Les effets spéciaux n'ont pas pris une rides, Mulcathy préférant l'intimisme et la suggestion. Je conseille vivement ce film qui est une bonne série B, distrayante et curieuse sur le plan esthétique.
J'adore ces films de série B des années 80. Je les trouve mieux que ceux de maintenant. On peut aussi remarquer que Mulcahy est un bon réalisateur. Les effets de ce film sont réussis et le razorback est impressionnant. En plus, les amateurs de l'Australie seront servis car les décors sont beaux. Bonne petite histoire pour une chasse contre un titan.
Il ne faudrait jamais revoir les films dont on garde un bon souvenir...A l'epoque j'etais un fan de russel Mulcahy, aujourd'hui je me rend compte que son cinema peut se resumer a quelques filtres orange ou bleu et de jolies cadrages : En gros des films de chef op ! On a donc droit, dans Razorback, a des numeros d'acteurs defiant toute logique, comme une victime qui tente d'echapper au sanglier en effectuant des demis tours sur lui même durant sa course...Un vieux qui se reveille en sursaut accompagné d'une expression de visage qui nous ferait plutôt penser qu'il s'est fait caca dessus...J'en passe et des meilleures pour en arriver au gros cochons, dont le jeu d'acteur defie lui aussi, toute logique. Puisqu'il se deplace comme les taureaux de fête foraine sur lesquels on fait du rodéo. Je comprends que Mulcahy ait voulu camoufler les imperfections de sa creature en filmant de beaux paysages, mais il aurait pu faire gaffe au jeu de ses comediens qui foutent tout le film en l'air. C'est malin, J'ai peur de revoir Highlander maintenant !
Ce film réalisé par Russel Mulcahy a, certes, pris quelques rides mais il n'empêche qu'il se révèle être de qualité car d'une part la réalisation est soignée, l'atmosphère angoissante à mis chemin entre les films d'épouvante et les films fantastique et d'autre part malgré des effets spéciaux un peu légers, les moments d'effroi sont assurés !