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Un visiteur
4,0
Publiée le 13 décembre 2014
Cette fois ci c'est bien les hors la loi qui ont pris le pouvoir a Sin City. Que dire de plus à part que le scénario de Franck Miller est excellent. Ce film en noir et blanc avec parfois quelques couleurs nous plonge dans les films passé en noir et blanc mais façon 2014. Ce qui lui donne une très bonne note. Avec les interprétations endiablé de Eva Green et Jessica Alba super sexy. Celle aussi des super guerrières Josh Brolin et Mickey Rourke.
Visuellement toujours autant sublime où l'univers graphique de la BD est merveilleusement transposé à l’écran. Ce second opus l'est beaucoup moins du point de vue du scenario où plusieurs histoires s'entrecroisent sans vraiment rechercher une réelle cohérence entre elles. Dommage pour un film qui composé d'un riche casting avec notamment la sublime Eva Green, sera passé à coté de son sujet à cause d'un script feignant.
You're God damn right. Quelle atrocité que Sin City J'ai tué pour Elle qui s'inscrit dans le registre des pire suite de tout les Temps. J'exagère pas, mais je préfère regarder dix fois dans la journée 300 La Naissance d'un Empire ( et encore il y a Eva Green ) que revoir Sin City 2. Je pense que quand vous l'aurez vu, vous fermerez les yeux de honte et vous pousserez un long soupir fatigué et vous resterez prostrés en position fœtale dans votre salle de bain sans manger pendant des jours. Sans rire, la bande annonce laissait fortement sous entendre une collaboration entre chaque personnage afin de démanteler l'empire du sénateur Roarke. Au final, rien. Pas même une once de vérité dans la bande annonce. Certains acteurs demeurent sous exploités, et même quand ceci apparaissent à l'écran, leurs prestation tout comme leurs rôle me laissent aussi froid que le bitume un soir d'hiver. Bon dieu, même moi je suis plus poétique que les dialoguistes de cette suite pathétique. Entendre une sinistre vérité accompagnée d'une phrase ironique ou une métaphore glaciale était une coutume dans le premier Sin City. Hors ici, aucun effort n'est fournit. Seul le travail artistique du second roman graphique de Franck Miller peut éventuellement vous surprendre. Certes les effets techniques, textures et fonds verts n'inventent rien de bien nouveau mais peuvent parfois s'avérer être plaisant à admirer. Bon arrêtons nous un peu sur les plus grosses bévues de ce qui semble être un grand favori pour les Razzie Awards 2015 : Marv' perd toute crédibilité. Non seulement il est le sous fifre dans l'histoire, mais Mickey Rourke n'a même pas la décence de lui prodiguer un tant soi peu de charisme, qu'il avait durement gagner dans le premier. Encore une fois un problème se soulève : le film est-il un préquel ou une suite ? Peut on se fixer en sachant que Dwight a eu recours à la chirurgie avant de s'allier avec les filles de la vieille ville... Je n'en sais rien. Je pense que oui parce que l'on découvre pourquoi il manque un œil à Manute, incarner par Dennis Haysbert remplaçant au pied levé Michael Clarke Duncan. mais dans ce cas, si il s'agit d'un préquel, comment se fait-il que Marv' accompagne Nancy pour se venger de Roarke, qui entre temps a prit dix ans et a perdu sa moustache ? Le problème qui se soulève à présent est le suivant : Comment Marv' est-il revenu d'entre les morts ? Bref, voilà un problème récurrent dans Sin City J'ai tué pour Elle : une absence totale de cohérence. Tout est fait à l'emporte pièce, la mise en scène devient brouillon, et le film perd tout les aspects du film noir qui caractérisait si bien le premier. Je jette ensuite la pierre sur Josh Brolin qui est mou et qui entache de sa prestation la virilité acquit par le travail de Clive Owen. Je passerai vite fais sur l'histoire de Johnny, qui est dénuée d’intérêt. Et enfin j'arrive au problème final : la tumeur du film, la contagion de la médiocrité : Eva Green. Vous croyez qu'il suffit de la foutre à poil pour que l'on puisse subitement redevenir curieux vis à vis de ce film ? Mais sans déconner, il y a une limite à la connerie quoi. Cette fille ne sait pas jouer ! Elle est hideuse ! ( Pas au premier sens du terme,, bien sur ) Elle ne fait qu’accroître la perte d’intérêt, avec ce faux air sensuel et sa tonne de maquillage. Faites la emmurer quoi. Une suite inconsistante traînant derrière elle une écriture bâclée et une fin des plus réduite. Une paire de gifle pour Robert Rodriguez et pour toute l'équipe qui a œuvré pour ce navet sortit du tréfonds des enfers.
J'attendais plus qu'impatiemment ce "Sin City". C'était même LE film que je voulais voir en 2014 tellement mes attentes étaient grandes. Après plusieurs revisionnages, je peux enfin dire que "Sin City A Dame To Kill For" est grandiose. Le premier était une véritable claque, un film coup de poing qui nous avait marqué par son esthétisme éblouissant. Ce second met la barre plus haute en utilisant la 3D relief à ses fins. Celle-ci est absolument parfaite. La plongée des plans se fait parfaitement ressentir, de même pour les projections. Le contraste Noir et Blanc, ainsi que les scènes en bandes dessinées accentuent cet effet splendide. Les légères couleurs se font quant à elles plus rares et discrètes mais mettent cependant brillamment en valeur certains passages. Les décors sont très bien faits, et les effets numériques sont une nouvelle fois magistralement exploités. Frank Miller ("The Spirit") et Robert Rodriguez ("Une Nuit En Enfer") ont sublimement orchestrés ce long-métrage. Leur réalisation est aux petits oignons, parfaitement aboutie et rythmée. Les plans séquences sont sublimes, fluides et énergiques, tout comme les plans accélérés ainsi que les contres-plongées. Donc au niveau du visuel, cette œuvre est une bombe. Au niveau du scénario, la qualité d'écriture est assez bancale. Le film nous présente quatre histoires : la première met en scène Marv qui est victime d'une amnésie. Cette histoire pouvait laisser prendre à quelque chose de noir et sombre mais malheureusement, elle est inachevée. La seconde nous fait prendre connaissance avec Johnny, habile et attachant jeune homme qui va défier le Sénateur Roark lors d'une partie de poker. Cette mésaventure-ci est très bien recherchée mais la fin est trop vite expédiée. Puis vient la troisième, la plus fournie et travaillée du film. Celle-ci nous présente Dwight McCarthy avant sa chirurgie esthétique et sa liaison avec Ava Lord, prédatrice et femme fatale. Violente, subtile et intelligente, cette partie est une perle visuelle et scénaristique. Enfin, vient la dernière où Nancy Callahan souhaite venger la mort de John Hartigan. Aussi vite expédiée que la seconde partie mais plus violente, cette quatrième histoire se révèle décevante par son final. Le rythme du film est cependant énergique, rapide et le montage très efficace. La bande sonore est quant à elle bonne et accompagne parfaitement l'ensemble mais elle passe majoritairement inaperçue. Certains thèmes restent pourtant en tête et sont respectifs à l'ambiance du film ainsi qu'au caractère des personnages. Chaque protagoniste de cette fresque noire est brillamment et respectivement incarnés par de bons acteurs. La parfaite Jessica Alba ("Machete"), l'imposant Mickey Rourke ("Iron Man 2"), les âgés Bruce Willis ("Die Hard") et Powers Boothe ("MacGruber") ainsi que la belle Rosario Dawson ("Captives") sont de retour dans leurs rôles, et sont accompagnés par toute une ribambelle d'acteurs. Joseph Gordon-Levitt ("Don Jon"), Eva Green ("300 : Rise of an Empire"), Jamie Chung ("Sucker Punch"), Josh Brolin ("Everest"), Juno Temple ("Killer Joe"), Lady Gaga ("Machete Kills"), Jeremy Piven ("Manny"), Christoper Meloni ("Surviving Jack"), Dennis Haysbert ("Ted 2"), Stacy Keach ("Si Je Reste"), Marton Csokas ("The Equalizer") et Ray Liotta ("Hannibal") ainsi que le resplendissant caméo de Christopher Lloyd ("Piranha 3D") ! Tous sont excellents dans leurs rôles. Certes certains sont peu présent à l'écran, mais le réjouissement final est toujours aussi bon. Plus fun mais moins sombre, aussi violent et barge, "Sin City J'ai Tué pour Elle" est une nouvelle claque et j'espère vraiment qu'une suite aura lieu d'être !
C'est toujours compliqué d'envisager une suite à un film qui a remporté un grand succès mondial. Il y a près de 10 ans « Sin city » a été une telle claque visuelle et scénaristique qu'il rentre clairement dans cette catégorie. Pourtant, je suis tellement fan du travail de Robert Rodriguez, Frank Miller et Quentin Tarantino que j'étais quand même relativement serein... Jusqu'à ce que j'apprenne que ce dernier ne serait pas de la partie pour « Sin City, j'ai tué pour elle ». Malgré tout, la curiosité et l'excitation étant plus fortes que tout, j'ai quand même visionné l’œuvre dès que possible... Et la magie du cinéma opère toujours ! Dès les premières images on comprend que l'univers sombre et froid qui caractérise la franchise est toujours bien présent. On replonge donc avec délice au cœur de cette cité cruelle et sans espoir où meurtres, mutilations et règlements de compte sont monnaie courante. Le style bande dessinée donne une grande liberté d'action aux acteurs, tous géniaux et magnifiques. Ces grandes stars, magnifiées par le talent de Frank Miller, s'en donnent à cœur joie dans la violence et la démesure. Une bonne couche d'humour noir apporte la dernière touche qui fait de cette suite, un film parfaitement réussi. J'adore !
Presque dix ans après, voici la suite du film tant adulé par les amateurs de cinéma. Ultra violent, ultra stylisé, Robert Rodriguez, la Tarantino mexicain, nous offrait le meilleur de son talent dans cet ovni filmographique. Le plaisir de retrouver la charte graphique unique à cet univers est là dès les premiers instants, mais il paraît évident que cette nouvelle histoire ne saura susciter le même intérêt chez les spectateurs que le premier. Ce qui est dommage, c'est que de toutes les histoires qui composent ce second tome, c'est à mon avis la plus intéressante qui est la moins traitée ; celle de Joseph Gordon Levitt, pour une fois très bon dans son rôle de joueur de poker en quête de vengeance. Le film s'éparpille à gauche à droite et manque cruellement de liant et d'une carotte qui tienne le spectateur en haleine. Ce qui tient tous les mecs en haleine, c'est assurément l'omniprésence d'Eva Green dénudée tout au long du film. Elle a beau être sensuelle et machiavélique, j'avoue avoir eu du mal à trouver un réel intérêt à cette histoire d'amour déchiré dont les éternels rebondissements sont franchement lassants. En bref, tout ceci aurait facilement pu faire l'objet d'un disque bonus avec le coffret Bluray du premier volet.
J'avais vraiment peur d'être déçu, mais finalement ce deuxième volet reste de bonne facture, avec de nouvelles têtes toute à fait crédible. Reste un ensemble un peu moins maitrisé avec des passages un peu too much (mais c'est peut-être voulu), et des touches de couleurs un poil trop présentes à mon goût par rapport au premier film.
Aussi bien que le premier mais pas la claque que j’attendais, c'est difficile à dire mais je l'attendais surement trop... Certes le manque Bruce Willis est clairement ressenti. Ses petites apparitions jouent avec la mélancolie mais c'est vraiment dommage de pas le voir plus. Jessica Alba (Nancy) est moins attachante qu'elle l'a été et sa présence est clairement éclipsée par le le talent et le personnage d'Eva Green. Néanmoins le film est clairement plus sombre et assume son coté cynique, humour noir et hyperbolique pleinement. Il n'y a pas vraiment de temps mort c'est très plaisant a suivre. Un gros point positif pour Josh Brolin qui porte le film. Eva Green est toujours aussi magnifique (l'univers graphique et très visuel met vraiment en avant sa plastique dans certaines scènes c'est bluffant) et porte bien son rôle de femme fatale. Le personnage de Joseph Gordon-Levitt est cependant sous exploité, dommage. En bref c'est toujours un plaisir de retrouver l'univers graphique, ultra violent et très visuel de Robert Rodriguez et Frank Miller. L'attente de presque 10 ans pour ce nouveau Sin City est malheureusement ce qui tue le film, on a trop attendu et on en attendait trop, on ne pouvait que resté sur sa fin ! Le film garde cependant un charme unique. A voir !
Ayant adoré Sin City, ce second opus me déçoit un peu. Le premier volet avait la fraicheur de l'originalité, un univers graphisme totalement inédit au cinéma et une histoire original; ici on à un peu une impression de réchauffé, d'autant plus que la temporalité des différentes histoires ce mélangent (n'ayant plus vraiment le premier film en mémoire cela m'a parfois déranger pour comprendre ) Enfin alors que Sin City 2005 ce concentrait sur le personnage de Bruce Willis, dans cet version 2014 j'ai un peu l'impression que Rodrigez et Miller ont voulu donner un quart d'heur de gloire à tout les personnage culte mais sous exploiter dans le 1ère fil, ce qui a pour conséquence de morceler le film
Très peu d'originalité dans ce second opus, surtout pour une si longue attente (9 ans tout de même). le scénario mal ficelé, laisse un gout d'inachevé. Par ailleurs et sans surprise, on a pu compter sur un casting au top pour nous donner une raison de terminer le film jusqu'au bout.
un film très travaillé graphiquement, avec des scènes très travaillées mais l'histoire du film ne semble être qu'un prétexte aux belles scènes et n'apporte pas grand chose. à ne pas voir pour l'histoire mais vraiment pour le style graphique du film
Voici enfin la suite tant attendue du mythique "Sin City", 9 ans après la claque orchestré par "Frank Miller" et "Robert Rodriguez". Intitulé "Sin City: J'Ai Tué pour Elle", ce second film est tiré notamment du tome "J'Ai Tué pour Elle" ainsi que d'autres histoires notamment incluses dans "Des Filles et des Flingues". On retrouve bien-sur nos gueules cassées du 1er opus ainsi que de nouveaux protagonistes comme "Johnny" (Alias "Joseph Gordon-Levitt"), "Ava Lord" (L'Excellente "Eva Gren") sans oublier "Le Docteur Kroenig" (Avec une participation exceptionnelle de "Christopher Lloyd"). D'un point de vue technique, c'est une fois de plus la claque avec une orientation en "Noir et Blanc" qui colle parfaitement avec les "Comics" originaux et des scènes D'Action atypiques d'une rare violence (Bien plus accentués dans cet opus). La trame principale ce concentre sur le thème de la manipulation féminine et de la vengeance avec notamment une "Eva Green" campant une "Eva Lord" (Une beauté vénéneuse diabolique) qui vaut largement le détour. Pour le reste, pas de surprises notables, on reste dans du classique mais néanmoins efficace (Malgré des critiques assez mauvaises). On peut effectivement pester devant certains éléments (Le personnage de "Johnny" trop anecdotique, un final trop brutal), mais "Sin City: J'Ai Tué pour Elle" reste du "Sin City" pur jus, soit un spectacle qui reste une référence en matière d'adaptation de "Comics" sur grand écran !
On retrouve l'atmosphère si particulier de Sin City ou règne violence, trahison et vendetta. De belles photographies et des acteurs bien dans leur basket. Le second volet a mis le temps pour arriver mais il a le mérite de ne pas être bâclé.