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dagrey1
97 abonnés
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3,0
Publiée le 25 septembre 2014
Vu hier en 2 D. Personnellement, j'ai retrouvé dans ce deuxième opus les recettes du 1er volet: graphisme visuel original, violence, sexe, femmes supposées fatales et males pas trop futés et surtout un univers très BD "évitant d'attraper mal à la tête". Je pense donc que les fans du 1er volet devraient apprécier le second....Si tel n'est pas le cas, la bonne explication est que 9 années ont passé entre les 2 films et que le spectateur a peut être tout simplement vieilli.
"Sin City : j'ai tué pour elle" m'a très agréablement surpris. Plus sombre et plus violent que le premier film, ce second long métrage s'appuie surtout sur un scénario béton et des personnages charismatiques.
Malgré des échos plutôt négatifs, ce 2ème volume de la saga Sin City est intéressant et clairement porté sur le thème de la vengence. Le casting est une fois de plus royal, avec une Eva Green plus envoutante que jamais. La réalisation est efficace et de meilleure qualité que le premier film.
Attention, car vous avez ici un grand fan du premier opus. "Sin City : j'ai tué pour elle" est à la fois un prequel, un spin-off et une suite (de la même manière que "300 : La naissance d'un Empire"). Et cette suite, selon moi, parvient à rester dans la même veine que le premier. Obscure, sanglant, doté d'une narration somptueuse en tous genres. "J'ai tué pour elle" aurait quand même beaucoup de mal à rester dans nos mémoires du fait que l'effet de découverte n'y est plus. Autrement, le casting sera toujours aussi solide, accompagné d'un scénario très bien abouti.
Visuellement c'est encore plus beau que le 1e, après l'histoire est quand même moins bonne et moins rythmée. Ça reste quand même un beau film, hors catégorie, destiné à un public d'initié.
A l'image de John Hartigan, Ce n°2 n'est que le fantôme du premier. Là ou l'original nous menait de surprises en rebondissements, celui-ci mêle trois histoires de vengeances à grands coups de poings dans la tronches, de balles et de flèches. Ne boudons pas néanmoins notre plaisir, c'est une joie de retrouver nos sales trognes de Sin City dans ces presque deux heures d'action ininterrompues, même si le tout aurait mérité un peu plus d'originalité et une meilleure utilisation de ses personnages.
Une suite tant attendue près de dix années après le premier volet. Mais il faut parfois savoir laisser les fantasmes en tête. En effet, Sin City : j’ai tué pour elle est un échec. Ce qui a fait le succès du premier, c’était la révolution numérique ultra retravaillée. Cette fois, l’image semble inachevée, une trame en attente de post-production. Ensuite, l’effort dans les dialogues est déplorable. Les personnages parlent peu et le font mal, ils n’ont rien à dire. Le monologue d’introduction énerve presque. Les personnages masculins sont sans vie et très fades. Même la superbe Eva Green semble se retenir de ses performances. Heureusement, Jessica Alba, qui se fait très rare à l’écran dévoile une prestance qui va au-delà de sa plastique. Celle-ci donne la mélancolie que chaque spectateur attendra de son personnage. Sin City : j’ai tué pour elle laisse un goût amer qui nous fait regretter de s’être ruer à voir cette suite. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Près de 10 ans après, voici la suite du redoutable "Sin City" et de sa plastique incontournable. C'est toujours aussi beau et dérangé mais évidemment, après la claque que fut le premier opus, la surprise est passée et ça n'a plus forcément le même impact. Attention ça reste du haut niveau, cynique à souhait et tout le tremblement qui va avec, casting de choc, effets étonnants et histoire rocambolesque mais il est vrai que l'on peut avoir tendance à décrocher à certains moments. Autant je peux me repasser son prédécesseur mainte et mainte fois, autant celui-ci j'en suis moins sûr. J'en ai d'ailleurs déjà presque oublié les ressorts du scénario. Malgré tout il vaut d'être vu sur grand écran, notamment pour son côté grand spectacle et plus généralement d'être vu au moins une fois.
Comme le premier épisode, ce second volet de l'adaptation ciné de Sin city doit une grande partie de son charme à l'aspect visuel du film, proche de la bande dessinée, toujours aussi splendide. Robert Rodriguez et Frank Miller joue beaucoup avec les codes narratifs du film noir (voix off, femme fatale...). Il ne faut donc pas trop chercher d'originalités de ce point de vue (à l'exception de l'aspect film à sketchs déjà présent dans le premier film) mais plus y voir un sincère hommage à un genre très rare de nos jours sur les écrans. L'association de ces deux éléments et l'impressionnant casting (Mickey Rourke, Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt, Jessica Alba, Ray Liotta, Rosario Dawson, Stacy Keach, Lady Gaga et la petite frenchie Eva Green, dans son rôle le plus sexy depuis Innocents de Bertolucci) font que l'on prend un plaisir non dissimulé devant cette nouvelle adaptation de la série de comics de Frank Miller.
Légèrement moins bien que le premier du nom , on retrouve l'univers glauque et lugubre des rues de Sin City avec ses personnages plus dangereux les uns que les autres. Noir et blanc sont de rigueur , seuls quelques détails ou personnage important sont temporairement en couleur pour les besoins de l'histoire. Ce qui est excellent, c'est que dans ce monde , les codes du cinéma que nous connaissons tous n'existent pas ! Pas de héros et pas forcement de logique sur la destiné d'un type. Cruel est sans pitié est Sin City.
Enfin un film qui a de la gueule, mais c’est sans doute pour ça qu’il ne plaira pas à tout le monde ! Sin City garde ce visuel sombre et tranchant, cette narration grave et froide, ces personnages très charismatiques, en gros tout ce qui fait de lui un film à part. Et ça fonctionne, on est captivé par l’image ! On pourrait lui reprocher son scénario finalement assez basique, mais un scénario tordu serait peut-être trop dur à suivre avec ce genre de montage. Non, il est vraiment comme il doit être: dur, violent et artistique. Bref, un film réussi !
Et bien, 9 ans pour sortir une suite attendue! L'effet du premier opus est-il intact? 1000 fois oui, et en plus on a la 3D cette fois. Attention quand-même, l'histoire n'est pas hyper passionnante et sur la longueur, quand il ne reste que le style, on risque de lasser le spectateur.
L'effet de style n'ayant plus le même impact dans une suite, reste le plaisir de retrouver ces vignettes noires, rouges sang éclairées à la poudre. Le casting est impressionnant (mention plus plus plus à la divine Eva Green, qui ne peut s'empêcher de se dévêtir à chaque film et imprime la rétine !). Sin City 2 n'était pas nécessaire mais amène de nouvelles histoires pas dégueulasses non plus.
Second et ultime volet de cette micro saga signée de son auteur d'origine et d'un cinéaste bien connu désormais, cette fresque grisonnante digne des meilleurs polars noir est une sacrée virtuosité visuelle, tout comme le premier d'ailleurs. Un -12 parfaitement bien respecter avec une bonne débauche de sang "blanc", de rodéos ultra sexy et de bagarres costaud. Un volet très sexuel sur bien des instants, sans être dans une trop grande vulgarité offensive. Niveau casting on y retrouve un Mickey Rourke à son parfait aise, une Jessica Alba aussi canonissime et d'un sublime monstrueux, une Eva Green totalement fatale dont sa mise en scène ne fut de loin, pas ratée du tous, un Joseph Gordon-Levitt parfait et dans une fluidité déconcertante, un mélange harmonieux du parfait gentleman au bad-boy venant au secours de sa belle demoiselle. Tous les secondaires eux sont parfaitement imprégner de cette atmosphère et ambiance gothique et saignante à point. L'univers visuel est bien entendu parfaitement maîtrisé et signe une fois encore la renommée de ce film à la photo par comme les autres. Rare film, voir unique film utilisant le noir et blanc en son temps de 21ème siècle et surfant sur les effets numériques parfaitement ancrés aux 2 couleurs sombres. L'histoire se suit simplement, la narration maîtrisée et les passages se suivant simplement. Sin City ou plutôt Gotham, une cité sombre ou la couleur vive n'est pas une denrée promise, ou les riche, politique et pourris, tous bonnement, y règnent en maître absolus. Rodriguez et Miller parviennent à passionner notre attention avec ce récit noir et violent à sa très juste valeur. Alors, encore une fois, il ne s'agit pas de Sin, mais de Gotham City, sans chevaliers noirs, mais sous la protection de simple honnêtes hommes et femmes ne voulant que le meilleur, pour leur bonne vielle cité.