La suite d'une comédie familiale aussi creuse qu'inintéressante, sauvée par des gags rouillés mais qui font toujours sourire. La confrontation des deux familles est parfois drôle et le tout sent bon la "bonne famille américaine"
autant le premier opus était potable mais celui là est pathétique..... arrêtez vous au 1er.. certains vont voir leur estime de Taylor Launter descendre en flèche !!
Après le succès du premier opus dans les salles américaines, il était fort probable de voir une suite un jour. Steve Martin et ses douze enfants rempilent donc pour une deuxième comédie. Cette fois-ci, ils partent en vacances et se rendent à leur cabane près d’un lac. En face de leur cabane se trouve une somptueuse villa dans laquelle réside le rival de Steve Martin : Eugène Levy. Je cite les noms des acteurs car je ne me souviens plus des noms des personnages, car j’ai vu le film il y a un petit moment maintenant. Eugène Levy réside donc dans cette villa avec sa femme et ses enfants. Voici donc l’exemple parfait de la petite famille très riche qui s’amuse à rabaisser la famille un peu plus modeste. En fait, c’est Eugène Levy qui s’amuse à rabaisser Steve Martin, car leurs femmes et leurs enfants s’entendent très bien entre eux. Cette suite de Treize à la douzaine est de qualité égale. On regrettera la pauvreté de certaines séquences, parfois censées être drôle. Et puis, le prêchi-prêcha sur la valeur la plus importante aux yeux de l’être humain gâche le plaisir du film.
Après un premier volet qui était meilleur, ce deuxième se laisse quand même regarder sans trop s'ennuyer. C'est prévisible et plein de bons sentiments mais c'est sympa.
Il n'y a pas grand chose à retenir de cette comédie américaine. Même en famille, ce film n'éveillera pas grandement l'intérêt des petits comme celui des plus grands. La faute à un scénario plat et une mise en scène maladroite.