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Caine78
6 798 abonnés
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1,0
Publiée le 9 décembre 2013
J'avoue : c'est presque par masochisme que j'ai regardé « Treize à la douzaine 2 », alors que le premier était déjà insupportable. Sans surprise : la nullité n'est pas loin, mais pourtant on pouvait s'attendre à pire. D'abord, Adam Shankman fait plutôt « mieux » que Shawn Levy derrière la caméra, l'humour et la grossièreté étant moins présent. De plus, loin d'être exceptionnelle, l'intrigue ne m'a paru pas trop inepte si on passe outre les torrents de démagogie et les sidérantes leçons de morale et d'éducation que l'on voit venir dès les premiers instants de la rencontre Steve Martin - Eugene Levy. Enfin, on ne peut s'empêcher de trouver certaines situations plutôt justes voire assez touchantes, à condition de s'armer lourdement contre la caricature et les clichés. Bref, c'est très faible, mais la crainte du navet absolu était tellement forte qu'on en sort presque soulagé, bien que pratiquement sacrifier Hilary Duff, l'atout charme n°1 du casting, n'était manifestement pas une bonne idée. A vous de voir... ou pas.
Je m'attendais au pire avec cette suite d'un film pas terrible et finalement ce n'est pas une si grosse catastrophe. Attention! Cela reste très mauvais et certains d'entre vous n'iront pas jusqu'au bout. Mais par rapport à d'autres suites du genre celle-ci tente de garder un tant soit peu la tête hors de l'eau. L'ensemble vol toujours au raz du sol avec des gags bien poussifs dans lesquels Steve Martin se fait plaisir, et l'histoire accumule les clichés et la bonne morale américaine. Vous êtes averti!
Treize à la douzaine 2 est à peu de chose près l’équivalent cinématographique de l’émission On a échangé nos mamans sur M6. Deux familles aux habitudes antithétiques se retrouvent liées l’espace de quelques jours. Autant dire que la finesse de l’écriture n’est pas le point fort du film. Ce qui permet au spectateur de se repérer dans cette foule d’enfants. On leur colle une étiquette sur le front. Au choix : petit génie, garçon manqué, skater, fashion-victim, etc… Une fois le travail de classement effectué –ce que préparait longuement le premier volet- place aux aventures. Et là encore pour un film fédérateur, il est important de dégager une ligne directrice forte. Cela donne : les gentils parents aimants et compréhensifs (les Bakers) contre le méchant père Murtaugh et ses enfants bien éduqués, couronnés de récompenses mais peu épanouis. Treize à la douzaine 2 reste plaisant notamment grâce à quelques gags bien gros. Douze enfants, cela représente quatre fois plus de gamins que dans une famille traditionnelle. Et donc quatre fois plus de bêtises, de vases cassés, de chutes, de tartes à la crème.
Comme si cela ne suffisait pas,une suite au piteux "Treize à la douzaine" fut engendrée.L'argument de vente?La concurrence de 2 familles à plus de 10 gamins...Steve Martin a du mal à conserver un semblant de dignité,tant les scénaristes(gros mot!)se sont échinés à le ridiculiser.Eugène Levy,lui la perd avec plaisir,auto-parodiant son rôle unique d'"American Pie".Fuyez!
Surprenant, il n'est pas si nul que je pouvais le penser, peut-être même meilleur que le premier. Adam Shankman ("Un mariage trop parfait", "Baby-sittor") remplace Shawn Levy qui a voulu se consacrer à d'autres projets et parvient à nous sortir de bonnes idées sans pour autant crever l'écran. Il n'y a néanmoins que très peu de scénario, parfois beaucoup d'incohérences. Malgré tout, on s'amuse un peu, on est diverti et je pense que c'est tout ce qui compte dans ce genre de film.
Je dois avouer que j'ai regardé le film seulement car Taylor Lautner (enfant) apparaît dedans! Ou sinon c'est un bon film assez drôle mais sans plus, a regarder de préférence entre ami(e)s ou en famille!
Film vraiment génial! On ne s'ennuie pas et il est mieux que le 1. Il ya des scenes vraiment à mourir de rire et je conseille de le voir en famille. Les acteurs aussi sont tres sympas: Tom Welling (vraiment très canon) et surtout je l'ai remarqué récemment : Taylor Lautner joue un petit role dedans ! Il est tout petit et tout mimi ! Vraiment superbe comédie familiale
« Treize à la Douzaine », deuxième du nom, n'est rien d'autre qu'une énième comédie familiale, qui surfe sur le succès du premier opus, déjà pas bien fameux, et nous livre l'histoire d'une gentille famille plutôt banale (malgré le nombre des enfants), celle du brave Tom Baker, qui affronte son antithèse, la famille de l'arrogant, mais néanmoins riche (à croire que l'un ne va pas sans l'autre dans les comédies américaines) Jimmy Murtaugh, à qui tout réussit: enfants sages et bien éduqués, réussite financière et professionnelle, femme belle et pulpeuse, évidemment russe... Bref, tout ça sent le réchauffé à plein nez. Pour aller plus loin, c'est assez médiocre, stéréotypé et sans aucune surprises. On peine à sourire et on regarde les minutes passer au bout d'un petit quart d'heures, comme si l'on connaissait déjà la fin de l'histoire. En clair, passez votre chemin.
Une suite plan-plan réalisait avec peu d'imagination, moins de gags que dans le 1er. C'est gentillet et ça se laisse regarder et puis il y a Steve Martin. Mais l'ensemble reste assez plat.
Après un premier épisode relativement correct, Shawn Levy passe le flambeau à Adam Shankman (Rock of Ages), qui mettra au prise les Baker aux Murtaugh, une autre famille nombreuse mais désagréable tant elle réussit tout et le montre. Menée par Eugene Levy, lui qui joua le père de Jim dans American Pie, et composée entre autre de Carmen Electra et de Taylor Lautner (alors âgé de 10 ans !), la famille donnera du fil à retordre. Convivial dans sa globalité, cette comédie est plus ou moins du niveau de sa préquelle, si l'on exclue les dernières minutes, niaises à en mourir et victimes de leur volonté de trop bien faire. Une triste raison de nous dire adieu.
C'est une bonne suite, un bon divertissement. Pas de quoi fouetter un chat, mais j'attache un sentiment particulier à ces deux films. C'est toute mon enfance !