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Darkdidi
4 abonnés
196 critiques
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5,0
Publiée le 1 avril 2007
INLAND EMPIRE n'est pas un film. C'est plus que cela, c'est une oeuvre d'art, même une leçon de cinéma. Perdus dans cet EMPURE INTERIEUR de la conscience et l'inconscience, le spectateur se retrouve lui-même acteur de cette mise en abîme du cinéma dans la cinéma, arpantant de son corps et de son esprit les couloirs labyrinthiques en ressentant l'ambiance nauséabonde dégagée par la bande-son (comme toujours sublime !).
Appartient à un nouveau genre de films. Il manque une proposition dans le barème allociné : le choix du "???" à la place des étoiles ! Je ne sais qu'en penser. Cinématographiquement parlant, c'est riche. C'est un thriller et plein d'autres choses à la fois. Pour l'aspect thriller, il faut aimer le genre. Ce film n'est pas de tout repos ! C'est aussi de la SF, il faut aimer. C'est aussi philosophique, il faut tenir.
attention , je tiens a vous prévenir INLAND EMPIRE est un chef d'oeuvre . évidement c'est une question de gouts , d'une part les non partisant de lynch sont prier de passer leurs chemins car c'est le film le plus personelle du réalisateur . D'autre part , certains fan de lynch risque bien d'etre deçut car si beacoup de ses films se ressemblai plus ou moins , ce n'est guere le cas de celui car il ne ressemble a absolument aucun autre film ! c'est un ovni du cinéma . le film comence calmement avec une actrice qui jou un role , au debut je trouvai le film mal filmé ( caméra a l'épaule tremblotente ) puis ceci s'estompe au fur et a mesure que notre actrice sublimement incarné par laura dern mélange tout d'abors sa vie et le sénario de son film puis son passé , son futur et ses reves pour devenir completement barge et emmener le spectateur avec elle . et la lynch nous embarque dans une descente en enfer , un tourbillon d'émotions , une perte de réalité , de notion du temps ect ... c'est comme si on devenai soudain sous l'emprise d'une drogue psychédélique surpuissante qui nous emmene sur une planete d'ont nul homme n'en conais l'origine , et c'est exactement le meme recentiment que l'héroïne du film . personelement je ne me suis abosulument pas enuyé , des émotions extreme que je n'avai jammais recenti grace a des plans absolument géniaux qui virvoltent en permance n'ont cesser de fourmillé dans mon exprit . j'ai du regarder bouche béante les deux dernieres heures sans touché a mes pop corn , trop ocuppé a réfléchire a toute cette trame dicserné le reel , le film , le reve , relever les cohérance ...
du jammais vu , qui ne peut etre fait que par david lynch et personne d'autre . je finirai sur un coup de guelle : C'EST INTOLERABLE QU'UN AUSSI GRAND FILM REALISE PAR UN REALISATEUR AUJOURDHUI GRANDEMENT RECONU ET A JUSTE TITRE ! NE SOIS DIFUSE QUE DANS UNE TRENTAINE DE SALLE EN FRANCE ! ET DE PLUS DANS LA CATEGORIE "ART ET ESSAI" !!!!
Pfff,effroyablement mauvais,long,moche et ennuyeux au possible,mais il y a pire: Toutes ces critiques dithyrambiques... Vous pouvez pas savoir à quel point ça m'énerve! De toute façon,je pense que Lynch pourrait réaliser un gros navet(ça y est,c'est fait),il serait quand même encensé par la critique!Alors c'est peine perdue... Un film pour pseudo-intellos...
Inland Empire est un long clip de presque trois heures ou le mec qui a fait le montage s'est troué pour la synchro du son. Sinon ça pourrait intéresser des étudiants Polonais/Anglais. Ce qui est sûr c'est que ce grand arnaqueur de Lynch se fend la gueule en lisant les critiques françaises...
Magnifique ! Le meilleur du Lynch : Décousu et à la fois agréable. Tous les plans sont utiles, et le film se prolonge bien, par sa myriade de desrtins mélangés. On ne peut qu'apprécier et en redemander. A voir et revoir...
Bon alors avec David Lynch c'est de l'ordre du normal de ne rien comprendre. On s'y attend. Le tout est de rentrer dans l'univers du monsieur, de se laisser porter par les images, de les trouver esthetisantes au moins. Cette fois-ci ca a moins bien fonctionné. Il faut dire, c'est long 3 heures. Alors quand M. Lynch sent que notre attention faiblit et qu'on va regarder sa montre, il reoriente l'histoire et nous seduit avec des images lechees, comme des clips en techni-color. Les 10 dernieres minutes sont de cet ordre. C'est peu sur 3 heures. Pourquoi dire aimer Lynch si ce n'est que par snobisme? Non, assurement ce film n'est pas le meilleur qu'il ait realisé.
David Lynch nous plonge dans son univers étrange et parfois terrifiant en entrant dans le trouble psychologique de la magnifique Laura Dern. Je regrette juste le tournage en DV qui, je pense, limite la puissance de certaines images. Sinon, Lynch donne une expérience unique et assez extraordinaire (surtout quand on est seul dans la salle, comme moi !) dont on ne sort pas sans traces.
Les films de David Lynch, c'est un peu spécial. On les apprécie mieux après, quand on en a l'explication. Donc bon. On pourra toujours me dire que là n'est pas l'important et que ce qui compte c'est le ressenti, je reste sceptique. En tout cas, mon ressenti est ici moyen mais quand j'aurai la clé de "Inland Empire", nul doute que mon regard sur cette oeuvre changera (je ne demande d'ailleurs que ça). La seule chose qui m'a vraiment interpellé ici est que comme dans "Mulholland Drive" (que l'on ne peut qu'inévitablement citer), il est question du tournage d'un film. D'ailleurs David Lynch s'amuse habilement à nous piéger en mêlant sans crier gare réalité et fiction à l'intérieur du sien. Cette thématique redondante montre sûrement les obsessions du réalisateur mais commence à devenir un brin lassante. "Ce type n'a rien compris à Lynch", êtes-vous en train de vous dire ? Vous avez parfaitement raison.
J'avais peur d'un Lynch arrivé au bout de son art. Je suis une fois de plus bouleversé par son talent. Trois heures en compagnie d'une femme perdue. Trois heures d'un voyage hypnotique où l'on se promène entre Los Angeles et la Pologne, à la rencontre de lapins acteurs de sitcom, de prostituées dansant sur The Locomotion, d'une équipe de tournage dépassée par une vieille légende qui refait surface durant le tournage. Durant ces trois heures, incroyablement rythmées, on s'amuse à construire une histoire avec toutes les bribes que nous jette Lynch au passage. Puis vient un moment où notre esprit se perd, où l'histoire n'importe plus, cet instant où INLAND EMPIRE, déjà formidable dans sa première partie, nous offre un spectacle incroyable, une plongée sans fin dans un monde irrationnel, magnifique, envoutant, terrifiant, où nos sens s'affolent. INLAND EMPIRE c'est ça. Une histoire pas claire, mais qui nous captive on ne sait comment, des images magnifiques, une ambiance sonore remarquable, une actrice tout simplement fabuleuse. Un spectacle du ressenti, une oeuvre hors-normes, à la frontière de la raison, aux extrèmes limites du cinéma. Un réalisateur libre, dégagé de toutes contraintes techniques, qui nous à donné là une expérience inclassable. On ne sait si on a aimé ou non, on ne sait si on a compris ou non. Reste des images, des sons et nos sentiments perdus dans tout cela ...
Un film totalement unique, vous ne verrez jamais un film comporter de te tels scènes qui ne vous rappel rien d'autre, vous êtes dans un monde ou l'étrange est omniprésent. L'histoire? Peut importe ce sont des idées Lynchienne que l'on sent à merveilles. Les sentiments que l'on expriment sont très variés et géniaux. Gestion parfaite de l'espace, du son et de la lumière Lynch offre ici une excéllente expérience. Spectateur avertit!
Mulholland Drive était certes magnifique, il y a plusieurs façons de le comprendre, même si on ne le saisit pas tout, on est bercé par une mise en scène virtuose et une musique d'Angelo Badalamenti sublime qui nous emporte dans ce monde, dans cette balade au coeur d'Hollywood Boulevard qui oscille entre rêve et réalité... deux perceptions d'un monde, ou une seule, car chez Lynch le protagoniste est souvent schizophrène ! Cinq années ont passé et cest au tour dInland Empire de sortir en salles. Il est clair qu'il est difficile de comprendre tout, mais chacun saisit ce qu'il veut... le spectateur fait son film, cherche les clés de l'histoire qui lui permettront de trouver des solutions... entrer dans ce film, c'est participer à une expérience. Après visionnage, on se dit : mais qu'a fumé ce réalisateur ? Mais trois jours après, le temps de digérer, on peut réfléchir à Inland Empire et analyser avec recul ce qui nous avait laissé sans voix après la séance. Et finalement on se dit cela : tourner en numérique lui a permis d'exprimer mieux sa pensée, faire le flou sur les personnages correspond à son univers, et parfois il arrive à créer de superbes images (comme Mullholland Drive, c'est encore à Hollywood Boulevard qu'il a tourné près des Walk of Fame); la puissance de sa mise en scène nous charme, et même si la compréhension n'est pas toujours là, on est scotché devant son fauteuil (évidemment, ce n'est pas un film que l'on voit lorsque l'on est crevé : 2h52 : son plus long mais pas le plus ennuyeux : pour cela se tourner vers Dune); c'est le film d'une actrice aussi : Laura Dern qui sublime chacun des plans où elle apparaît et qui 20 ans après Blue Velvet fait son retour chez le réalisateur, et qui cette fois est toute seule, Isabella Rosselini n'est plus là pour rivaliser avec elle. Si on revoit ce film, c'est un nouveau film que l'on découvre, et on est saisi à chaque fois, le réalisateur nous hypnotise. A la différence de Twin Peaks où on ne comprend pas
Bizarre... c'est le premier mot qui m'est venu. L'impact psychologique est indéniable, l'aspect philosophique omniprésent. Mais sincèrement, je n'ai plus rien compris à partir de la moitié du film. Beaucoup de personnes dans la salle avait déjà craqué... A croire que rester jusqu'à la fin est une prouesse. Si ce cinéma est beau pour certains, il n'est en aucun cas divertissant. A vous de voir...
Mulholland Drive était quelque chose, Inland Empire n'est autre qu'une chose ...
Les 30 premières minutes sont portés avec élégance. L'intrigue est déja posée, on s'attend brusquemenet à un emerveille, une sorte de berceuse cinématographique dont on en sortirait pas indemme. Puis soudain, c'est le coup du marteau en pleine figure ! les deux heures suivantes ne sont que flash, chaos, et désolation. Des scènes très courtes qui ne durenet qu'une dixaine de secondes, des plans des centrés, donnant le tourni, à la longue on se sent très fatigué et épuisé, c'est comme avoir parcouru un dix mille metre sans victoire. on reste là, planté, dans une expérience lancé par le grand lynch, je crois que les éloges qu'on lui a porté pour ses autres films lui ont permis de se prendre pour l'homme "je dicte mes regles, c'est moi qui comprends je ne vous dirais rien, c'est à vous de vous débrouiller" Mais soyons honnète un seul instant, Inland empire c'est une grosse tache de peinture sur une toile. Le temps est disporpotionné, on aurait préféré que le film soit un peu plus découpé en deux partis equitable, d'un coté on réfléchi et puis d'un autre on se masturbe le cerveau !
on resort presque traumatisé. Disons le haut et fort, lynch s'est foutu de la gueule de ses fans !! Quelle tristesse, décevoir à ce point est un crime, car au fond, on se sent comme trahi. l'immense sourir et puis soudain on nous fait les grands yeux.