Mais pourquoi tant de haine envers la belle Elisha? Naviguant un peu sur la vague des Saw, Hostel et Cie, cet nième film de torture (surtout psychologique là) laissera sans doute les aficionados du genre indifférents puisque déjà bien rompus à ce style d'exercice vu et revu, et les autres, les fans de comédies romantiques, écœurés par cette violence toute gratuite. Mais je ne peux pas en dire plus de mal parce que je suis amoureux d'Elisha...
si je met 3,5 ce n'est pas pour le film, c'est pour Elisha cuthbert qui est une de mes actrices préférée. Je n'ai rien compris a la fin du film, l'autre est enfermé, il se fait arraché une dent mais c'est son frere qui tue je comprend rien et je l'ai regardé plusieurs fois et je n'arrive pas a comprendre lol
bref moi qui pensait qu'il allait etre genial et ben j'etais decu, heureusement que elisha etait la sinon je ne l'aurais pas regarder jusqu'a la fin.
Un film inutile. Un « scénario » bâclé, dont les turpitudes, manifestement grotesques et dépourvues de crédibilité, ne peuvent justifier, même de manière désespéré, le fond. Un vrai navet ! Ridicule !
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1,0
Publiée le 21 novembre 2009
Surfant sans grande originalitè sur la mode des films d'horreur à la sauce "Saw" et "Hostel", "Captivity" est à la fois un thriller et une histoire d'amour qui parle de la peur d'aimer, de la dècouverte de l'amour en un temps, un lieu et des circonstances inattendus! Sous-tendu par un èrotisme latent, le rèalisateur Roland Joffè communique un sentiment croissant de danger physique et psychologique dans une première partie intense et nerveuse! Malheureusement dans sa seconde partie, "Captivity" n’est pas à la hauteur de la mècanique qu’il veut dèfendre avec des pèripèties aussi crèdibles qu'invraisemblables! Le joli minois d'Elisha Cuthbert tire tant bien que mal son èpingle du jeu dans des sèquences de tortures abominables en abordant nos phobies quotidiennes sans rèelle intensitè! Reste au final un thriller èprouvant mais qui, curieusement, ne fait pas vraiment peur! Bonne B.O avec le superbe "Caesars" de Jerk It Out...
Ce film a le merite d'accumuler tout les defauts du monde ; c'est ennuyeux tres mal joué , mal filmé , mal cadré mal eclairé et sans le moindre interet .Bravo , vivement la suite!!!
--- ATTENTION - SPOILER- JE PARLE DE LA FIN DU FILM --- Beaucoup de gens comparent ce film aux Saw ou Hostel pour son côté gore-violent-angoissant-blablabla... OK soit. Mais il peut y avoir une autre comparaison avec Saw concernant, cette fois-ci, les motivations de l'histoire. Je m'explique : Dans les Saw, Jigsaw mets ses victimes dans des situations de choix où elles doivent lâcher prise sur une partie de leur passé pour, en quelque sorte, renaître... Et ici c'est assez similaire finalement. C'est comme si le scénario n'était ici pas de nous faire seulement peur-trembler-angoisser mais de nous faire réfléchir au final sur la condition d'être humain renfermé sur lui-même. Jennifer (Elisha Cuthbert) exprime toutes ses peurs (peur du noir, de l'isolation) face aux médias et lors de sa captivité, elle est mise face à toutes ses peurs. Ce que le film "explique" au final, c'est que dans sa vie réelle, Jennifer vit dans une bulle protectrice qu'elle s'est forgée pour se protéger de ses peurs. La situation dans laquelle elle se retrouve l'oblige à les affronter et à s'en libérer. On voit dans sa "cellule" cette affiche où elle pose avec le mot DARE (OSE) écrit dessus. Dans la vie réelle, cette affiche est une publicité dans laquelle elle n'est que modèle pour dire aux autres d'oser faire on ne sait trop quoi. Quand elle s'en sort à la fin, elle s'éloigne dans la rue et l'on revoit cette même affiche qui prend alors un sens totalement différent. Cette affiche est pour Jennifer elle-même : Ose sortir de la bulle dans laquelle tu t'es mise toi-même car c'est dans cette bulle qu'est ta vraie captivité. Son "co-détenu" Gary lui demande d'ailleurs à un moment donné comment on se sent à vivre dans une bulle, et elle lui réponds : on se sent en sécurité. Ainsi, à la fin de l'histoire, Jennifer est quelqu'un de transformé qui ne va plus vivre dans sa bulle. Elle va maintenant oser vivre sans se laisser manipuler par ses peurs. Ce qui lui est arrivé est donc une thérapie... Bien v
Ce film est tout simplement ennuyeux au possible. Je l'ai regardé jusqu'au bout en espérant que la chute finale rattrape un peu ce scénario indigent mais rien, il n'y a véritablement rien qui puisse sauver le film du naufrage le plus complet. Prenez un "Saw" parmi les 5 (jusqu'à ce jour!), vous passerez un moment 10 fois plus agréable qu'à regarder cette (très!!) pâle (voire invisible!) copie.
Radio clichés bonjour ! Pauvre jeune fille blonde à forte poitrine qui se tient la tete à deux mains et la secoue très fort. Bon alors au final Elisha Cuthbert reste correcte mais on se demande si le réalisateur à voulu mettre dans ce film tout ce qui est connu, archi connu pour faire un film d'horreur qui fait très-très peur... hum. Dommage, ça prenait une direction à la Saw, et en fait... non.
Captivity est une honnête série B de la part du metteur en scène Roland Joffe, étonnant d'ailleurs de voir le metteur en scène du film Mission avec Robert De Niro et Jeremy Irons réalisé un film d'horreur comme celui-ci. Certes ce huis clos fait fortement penser à la saga des Saw en autres, et même si il n'atteint pas les meilleurs épisodes de la célèbre saga commencer par James Wan, ce long métrage s'avère tout de même agréable à visionner. Elisha Cuthbert ( la fille de Jack Bauer dans la série 24H chrono ) est vraiment convaincante dans le rôle de la jeune top model séquestrée par le mystérieux ravisseur. Voilà un film d'horreur qui n'a certes rien de franchement original, mais certaines scènes sont assez gores et fait que cette oeuvre se suit sans ennui.
Ce film frise vraiment le ridicule. De nombreux passages ne sont pas crédibles pour un sou, et d'autres ne peuvent pas être plus prévisibles. Quelques scènes gores pourront peut-être intéresser les amateurs mais sont loin d'être originales... Bref, un film dans lequel le spectateur est souvent pris pour un abruti ! Heureusement que la jolie blonde à la plastique hollywoodienne est là pour faire passer le temps.