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24 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Il y a là une manière de filmer l'espace urbain exceptionnellement poétique, dans ses lignes de pure intermittence (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Formidablement construit, "Conte de cinéma" échappe à son système à mesure qu'il le met en place (...) les personnages, toujours hésitants, ouverts à la vie, réagissent aux événements suivant leur rythme propre. Ils sont, à l'image de ce film, libres comme l'air.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise) Une fois encore, Hong Sang-soo nous cueille, et sans flonflons. La finesse, la subtilité, la fragilité de son cinéma apportent un petit air revigorant pour tous ceux qui ne considèrent pas l'image à coups de massue comme un programme esthétique (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) le plus étrange et le plus stupéfiant, c'est que, dans ses innovations formalistes, Hong Sangsoo parvienne à nous émouvoir profondément, avec des choses simples, presque niaiseuses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Le titre est (...) admirable : voilà à la fois une leçon de récit cinématographique et une fable d'un triangle amoureux qui ne survit qu'à travers la croyance commune, forcenée, portée au cinéma.
Positif
par Adrien Gombeaud
Des motifs courent entre l'intérieur de la salle et l'extérieur (...) Ces motifs indiquent combien un film n'est que le prolongement d'une vie.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Dans un cinéma structuré par les oppositions binaires du documentaire et de la fiction, du réel et de l'imaginaire (...) Hong fait proliférer les petites différences de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Jean Roy
Pour autant, le film est sans doute le moins hermétique de l'auteur, grand cinéphile devant l'Éternel (il a même passé quelques mois à la Cinémathèque française), qui joue et se joue des formes dans un jeu référentiel qui ne se limite pas à la culture orientale.
L'Humanité
par Michèle Levieux
(critique cannoise) (...) un film troublant (...) dans lequel le cinéma lui-même est en question (...) Les destins de Sangwon (...) et de son maître, un réalisateur reconnu en train de mourir, s'entremêlent. Pour mieux aborder de manière indirecte l'importance de l'acte cinématographique, sa relation avec la vie et avec son sens de la mise à mort.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier De Bruyn
Hong Sangsoo aime dépeindre les émois à vif de ses protagonistes dans des films qui bousculent les structures traditionnelles. (...) Dans ses meilleurs moments, le film confirme l'étrange singularité du metteur en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Récit lacunaire et ouvert, à travers lequel Hong Sangsoo déploie son inaltérable mélancolie. Au spectateur de savoir s'y laisser dériver.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Hong Sangsoo garde ce don de filmer le poids des choses et leur détachement. D'aviver soudain le quotidien le plus trivial par une offrande de saison, une phrase musicale, un sursaut d'espérance. Son spleen est d'une sobriété exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Louis Guichard
(critique cannoise) Confusion des identités, tranfert des sentiments, usurpation du vécu de l'autre : autant de thèmes abordés naturellement et subtilement au fil d'une histoire de suicide, de sexe, de culpabilité, d'ivresse et d'amour à sens unique.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(critique cannoise) (...) nettement meilleur que son précédent La Femme est l'avenir de l'homme (...) manque toutefois d'émotion, de cette qualité des sensations qui faisait la puissance de la trilogie du cinéaste coréen. N'empêche, l'astuce narrative qui le cimente (...) fonctionne admirablement (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Didier Péron
(critique cannoise) Conte de cinéma poursuit l'incroyable travail de déstabilisation entamé depuis le Jour où le cochon est tombé dans le puits (...) La boucle du destin n'est jamais bouclée, le sens échappe toujours et le film est un montage lacunaire de péripéties inabouties.
Ouest France
par La rédaction
Un jeu entre la fiction et la réalité, entre le passé et le présent. Un procédé complexe et sophistiqué dans lequel on trouve plus à se perdre qu'à s'enthousiasmer.
Score
par Julien Welter
En regard des amples errances provinciales d'avant, cette pérégrination urbaine paraît plus sèche et finalement moins touchante.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
(critique cannoise) Quelle mouche a donc piqué Hong Sang-soo pour qu'il change ainsi sa façon de faire du cinéma ? (...) La caméra ne bouge plus, l'histoire est tristement simple et le résultat, évidemment, beaucoup moins virevoltant (...) Ici, l'on arrive pas à saisir ce que souhaite nous dire le metteur en scène (...) Conte de cinéma n'est pas à la hauteur de son talent.
Zurban
par Charlotte Lipinska
(critique cannoise) (...) ce n'est plus un conte mais un rébus que le nous propose le cinéaste. Il brouille les pistes et laisse aux spectateurs le soin d'en démêler les bobines. Hélas, sans empathie pour les protagonistes et figé par l'ennui, on abandonne vite toute velléité de compréhension.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Mine de rien, Conte de cinéma réussit le fâcheux exploit d'accumuler presque inconsciemment tous les tics du mauvais cinéma d'auteur et de frôler constamment la vilaine caricature. C'est en réalité désespérément creux et, surtout, méchamment fastidieux.
Chronic'art.com
Il y a là une manière de filmer l'espace urbain exceptionnellement poétique, dans ses lignes de pure intermittence (...)
Le Monde
Formidablement construit, "Conte de cinéma" échappe à son système à mesure qu'il le met en place (...) les personnages, toujours hésitants, ouverts à la vie, réagissent aux événements suivant leur rythme propre. Ils sont, à l'image de ce film, libres comme l'air.
Le Monde
(critique cannoise) Une fois encore, Hong Sang-soo nous cueille, et sans flonflons. La finesse, la subtilité, la fragilité de son cinéma apportent un petit air revigorant pour tous ceux qui ne considèrent pas l'image à coups de massue comme un programme esthétique (...)
Les Inrockuptibles
(...) le plus étrange et le plus stupéfiant, c'est que, dans ses innovations formalistes, Hong Sangsoo parvienne à nous émouvoir profondément, avec des choses simples, presque niaiseuses.
Libération
Le titre est (...) admirable : voilà à la fois une leçon de récit cinématographique et une fable d'un triangle amoureux qui ne survit qu'à travers la croyance commune, forcenée, portée au cinéma.
Positif
Des motifs courent entre l'intérieur de la salle et l'extérieur (...) Ces motifs indiquent combien un film n'est que le prolongement d'une vie.
Cahiers du Cinéma
Dans un cinéma structuré par les oppositions binaires du documentaire et de la fiction, du réel et de l'imaginaire (...) Hong fait proliférer les petites différences de la vie.
L'Humanité
Pour autant, le film est sans doute le moins hermétique de l'auteur, grand cinéphile devant l'Éternel (il a même passé quelques mois à la Cinémathèque française), qui joue et se joue des formes dans un jeu référentiel qui ne se limite pas à la culture orientale.
L'Humanité
(critique cannoise) (...) un film troublant (...) dans lequel le cinéma lui-même est en question (...) Les destins de Sangwon (...) et de son maître, un réalisateur reconnu en train de mourir, s'entremêlent. Pour mieux aborder de manière indirecte l'importance de l'acte cinématographique, sa relation avec la vie et avec son sens de la mise à mort.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Hong Sangsoo aime dépeindre les émois à vif de ses protagonistes dans des films qui bousculent les structures traditionnelles. (...) Dans ses meilleurs moments, le film confirme l'étrange singularité du metteur en scène.
TéléCinéObs
Récit lacunaire et ouvert, à travers lequel Hong Sangsoo déploie son inaltérable mélancolie. Au spectateur de savoir s'y laisser dériver.
Télérama
Hong Sangsoo garde ce don de filmer le poids des choses et leur détachement. D'aviver soudain le quotidien le plus trivial par une offrande de saison, une phrase musicale, un sursaut d'espérance. Son spleen est d'une sobriété exemplaire.
Télérama
(critique cannoise) Confusion des identités, tranfert des sentiments, usurpation du vécu de l'autre : autant de thèmes abordés naturellement et subtilement au fil d'une histoire de suicide, de sexe, de culpabilité, d'ivresse et d'amour à sens unique.
Chronic'art.com
(critique cannoise) (...) nettement meilleur que son précédent La Femme est l'avenir de l'homme (...) manque toutefois d'émotion, de cette qualité des sensations qui faisait la puissance de la trilogie du cinéaste coréen. N'empêche, l'astuce narrative qui le cimente (...) fonctionne admirablement (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(critique cannoise) Conte de cinéma poursuit l'incroyable travail de déstabilisation entamé depuis le Jour où le cochon est tombé dans le puits (...) La boucle du destin n'est jamais bouclée, le sens échappe toujours et le film est un montage lacunaire de péripéties inabouties.
Ouest France
Un jeu entre la fiction et la réalité, entre le passé et le présent. Un procédé complexe et sophistiqué dans lequel on trouve plus à se perdre qu'à s'enthousiasmer.
Score
En regard des amples errances provinciales d'avant, cette pérégrination urbaine paraît plus sèche et finalement moins touchante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(critique cannoise) Quelle mouche a donc piqué Hong Sang-soo pour qu'il change ainsi sa façon de faire du cinéma ? (...) La caméra ne bouge plus, l'histoire est tristement simple et le résultat, évidemment, beaucoup moins virevoltant (...) Ici, l'on arrive pas à saisir ce que souhaite nous dire le metteur en scène (...) Conte de cinéma n'est pas à la hauteur de son talent.
Zurban
(critique cannoise) (...) ce n'est plus un conte mais un rébus que le nous propose le cinéaste. Il brouille les pistes et laisse aux spectateurs le soin d'en démêler les bobines. Hélas, sans empathie pour les protagonistes et figé par l'ennui, on abandonne vite toute velléité de compréhension.
aVoir-aLire.com
Mine de rien, Conte de cinéma réussit le fâcheux exploit d'accumuler presque inconsciemment tous les tics du mauvais cinéma d'auteur et de frôler constamment la vilaine caricature. C'est en réalité désespérément creux et, surtout, méchamment fastidieux.