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    Dominion: Prequel to the Exorcist
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    AMCHI
    AMCHI

    5 794 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2020
    Dominion: Prequel to the Exorcist par Paul Schrader est la première monture de L'Exorciste : au commencement de Renny Harlin (que je n'ai pas vu), le film de Schrader a été écarté par les studios car jugé trop pensif et pas assez effrayant. Et il est vrai que ce film fantastique n'est pas fait pour réellement avoir peur mais ça veut pas dire qu'il soit mauvais bien au contraire car malgré quelques petits défauts (des effets numériques pas très jolis) Schrader livre là un beau film sur les doutes d'un prêtre. Stellan Skarsgård incarne justement le père Merrin (joué par Max Von Sydow dans L'Exorciste) et le film débute sur une scène intense durant la 2nde GM puis quelques années plus tard on le retrouve en Afrique où il fera face pour la première fois au démon Pazuzu. Je trouve que Schrader a bien joué sur le ton mystérieux que pouvait apporter une telle histoire, il n'a pas voulu faire dans le sensationnalisme et de ce fait Dominion: Prequel to the Exorcist reste un film assez sobre. Un point peut déranger c'est la présence de Billy Crawford (il joue le garçon possédé), il n'est pas mauvais mais c'est un peu comme si on avait pris par exemple Justin Bieber pour incarner un jeune Dirty Harry.
    Tito
    Tito

    10 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2017
    Moyen comme film, n'ayant pas vu le film l'exorciste. Les effets spéciaux sonts pas très beaux et ont voit que le film est un petit budget. Sinon l'histoire est plutot bonne.
    Shawn777
    Shawn777

    582 abonnés 3 468 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2022
    Ce cinquième opus de la franchise "L'Exorciste", qui est en réalité la version alternative du quatrième (et, plus précisément, la première version du scénario, avant que les producteurs ne la changent pour quelque chose de beaucoup plus racoleur), réalisé par Paul Schrader et sorti en 2005, est mauvais ! Et bien oui, comme dans mes souvenirs en fait, cette version est très légèrement supérieure à "L'Exorciste : Au commencement" mais reste tout de même bien laborieuse ! Rebelote donc, on suit une nouvelle fois le père Merrin qui doit se rendre en Afrique afin d'étudier une Église bien étrange. Dans un même temps, il devra soigner un gamin au comportement étrange puis fera la rencontre de Pazuzu. Le réalisateur tente ici d'insuffler à la saga quelque chose de très psychologique, en restant dans le sillon des trois premiers, avec le moins d'effets horrifiques possibles. Ce que le quatrième opus a choisit d'ignorer en nous foutant des jump-scares et des effets sanglants un peu partout ; sûrement qu'il se sont dit qu'ils rattraperaient ainsi un scénario pas terrible. On ne va refaire la critique du quatrième opus mais ces effets ne fonctionnaient pas et le film était toujours aussi long et ennuyant. Là, c'est pareil, mais sans les effets. Vous allez me dire que c'est forcément pire mais non, car l'intention du réalisateur est beaucoup plus honnête et ça se sent. On sent en effet que c'est un projet qui lui tient à cœur. Le contexte est d'ailleurs ici beaucoup plus développé. Si, en effet, les traumatismes du père Merrin ne passaient que par quelques flashbacks, ici, nous avons notamment une très belle scène d’introduction, travaillée et marquante. Malgré tout, le film se perd une nouvelle fois dans son scénario beaucoup trop long et laborieux, ce qui fait que l'on s’ennuie beaucoup ! Malgré tout, il faut au moins reconnaitre que, malgré quelques effets spéciaux qui piquent les yeux, le film ne tombe pas dans le ridicule, contrairement à son prédécesseur, notamment dans toute sa dernière partie. "Dominion : Prequel to the Exorcist" reste donc, malgré ses intentions sincères, un mauvais film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2018
    Dominion : Prequel to the Exorcist est à mon sens le meilleur prequel, puisqu'il fallut qu'il y en ait un., que The Exorcist pouvait avoir, et est donc, le seul véritable prequel de the Exorcist, comparé à l'échec de The Beginning. En effet, les studios avaient refusé le film de Paul Shrader parce qu'il pensaient que le film était plus un" thriller psychologique" qu'un film d'horreur, et ils lui ont préféré the Exorcist : the beginning, de Renny Harlin. Le problème étant que leur film a eu l'effet d'un flop, encore fallait-il s'y attendre quand on met en scène spoiler: une histoire d'amour impossible entre un prêtre doutant de sa foi et une femme médecin et de rendre la chose plus ridicule encore en la faisant posséder par un démon : Pazuzu et donc qu'il devra retrouver la foi, donc son amour pour dieu pour sauver la femme pour laquelle il a des sentiments, en l'exorcisant
    . Certes, c'est très mélodramatique et si on enlève le côté horreur, on pourrait presque se retrouver dans une histoire classique digne d'un téléfilm sur M6 ou d'un film français sur l'amour d'un prêtre envers une jeune femme (voire l'inverse..."la confession", oups). Rien de très original ni de véritablement abouti donc. Ce qui a été sans doute la cause de son échec commercial. Riche de cette expérience et désirant grappiller un peu de sous qu'ils avaient perdu, les studios décidèrent finalement de projeter dans quelques festivals et dans quelques salles le film initialement proposé par Paul Schrader...

    .Et c'est tant mieux ! Car, ce film a l'originalité d'être un film d'horreur qui est justement plus psychologique que The Beginning, et le rend nettement plus intéressant, tout en ne perdant pas la cohérence avec le film de William Friedkin : The Exorcist.

    Ce film nous explique vraiment la personnalité du père Lancaster Merrin qui est l'un des prêtres qui plus tard va procéder à l'exorciste de Reagan McNeill dans le premier opus. de fait, ce prequel est un peu un spin-off, mais qui ne le rend pas moins intéressant pour autant. Là, où the Beginning survolait juste le passé du prêtre, Dominion nous montre en détail la partie de son passé qui le culpabilise et le fait douter de sa foi, là où the Beginning reprend le démon-dieu Pazuzu, Dominion exclut cette entité, là où the Beginning nous montre un dilemme amoureux, Dominion expose un cas de conscience, là où The Beginning tire les grosses ficelles, Dominion joue avec le subtilité psychologique et le drame personnel.

    spoiler: Donc dans ce film, exit Pazuzu et bonjour à Lucifer, l'ange déchu qui a pris possession d'un jeune paria appelé Cheche, paria sans doute parce qu'il serait à mon avis albinos dans une population noire. Exit aussi le combat pour sauver la femme qu'il aime, il devra ici, sauver ni plus ni moins que son âme quoi que cela doit lui coûter, à savoir continuer de vivre avec le poids de sa culpabilité. En effet, le père Merrin a un grave secret, il a été contraint de désigner à un officier Allemand des personnes à tuer sous la menace de voir tout son village se faire tuer, c'est ce choix terrible qui le fait douter de sa foi , et sur lequel Lucifer va jouer pour lui proposer une alternative : soit il renonce à sa foi et se débarrasse de sa culpabilité, soit il garde la foi et sa culpabilité. Pour ce faire, Lucifer va lui donner la vision de ce qu'il se serait passé si le père Merrin avait fait le choix auquel il a pensé toute sa vie, à savoir : "et si je m'étais rebellé, et si j'avais pris cette arme pointé sur moi et que je l'aurai retourné contre l'officier Allemand. Seulement, dans sa vision, les évènements tournent encore plus mal et par son acte de révolte, il fait fusiller tout le village et lui y compris. Lucifer lui montre ainsi que quelque soit le choix qu'il aurait fait, cela n'aurait rien changé et cela aurait pu même être pire, il a réagi le plus humainement qu'il lui était possible de le faire dans ces circonstances, ayant fait de son mieux pour sauver le plus de personnes possibles, et en même temps en désignant des maris violents,et/ou alcoolique, voire abusifs (ce que lui dit de faire l'officier Allemand) donc, s'il en a la responsabilité, il n'est pas coupable pour autant de ces meurtres. Sachant cela, il peut désormais choisir entre la liberté de conscience et sa foi. Bien sûr, il choisira la seconde, pour montrer que sa foi est la plus forte et finira par exorciser Lucifer de Cheche. ce qui permettra le film : The Exorcist


    On voit dans ce bref résumé à quel point ce film est plus intéressant que The Beginning et qu'il mérite d'être par mi les meilleurs Prequel de films d'horreurs. D'une part le choix de Lucifer, car dans The Beginning comme dans Dominion, il est précisé que spoiler: l'église enseveli a été bâtie sur le lieu que l'on pense où Lucifer a chuté et même la mosaïque à l'intérieur montre bien, dans les deux films, que c'est cette église a été conçue piour ça, pour enselevir Lucifer.
    Luciferdonc et non Pazuzu. d'autre part, le conflit psychologique et interne d'un homme est plus intéressant qu'une vague histoire d'amour, et c'est ce conflit interne si tragique qui permet de semer le doute : Lancatser Merrin va t'il céder à la tentation ? Va t'il devenir un homme libre, libre de sa culpabilité, de ses dogmes, de ses croyances? Ou bien va t'il rester fidèle à ces derniers ? Car si dans the Beginning, on se doute fortement qu' spoiler: 'il va devoir sauver celle qu'il aime en l'exorcisant et donc en retrouvant sa foi
    . Combien plus grande est la tentation pour lui de renoncer à celle-ci, en sachant que le faire de lance du christianisme, c'est la culpabilité, quand spoiler: Lucifer lui propose de renoncer à la culpabilité
    et donc au fondement même de sa foi ? Bien sûr, Dominion étant un prequel, un film réalisé après le film original et originel mais expliquant ce qu'il s'est passé avant, on se doute aussi qu'il va réussir, sauf qu'ici les enjeux sont nettement plus grands que dans The Beginning. ce que propose Lucifer, c'est la liberté, le fait de marcher "comme un roi sur La terre", donc libre, sans avoir de compte à rendre à qui ou quoique ce soit, c'est nettement plus tentant que n'importe quoi d'autre.

    Et puis, il y a autre chose qui me fait dire que ce film est le vrai prequel à The Exorcist, dans le film de Friedkin, spoiler: L e père Merrin s'entretient avec le père Karras sur la jeune Reagan. le père Karras explique alors à Merrin que la jeune fille prétend qu'il y a trois entités en elle, ce sur quoi Merrin répond assez sèchement : "il n' yen a qu'une !"
    . En quoi cela est-il un argument ? C'est simple, Pazuzu n'est pas le diable, ce n'est pas Lucifer, ce n'est pas Satan, c'est, du moins pour l'Eglise catholique, un démon parmi tant d'autres qui tient ses ordres de Lucifer, Donc, il n'y a pas plusieurs démons, ni même Pazuzu qui sont à l'origine de la possession de Reagan, mais bien un seul, celui qui est visé lors de l'exorcisme : Lucifer.

    Ce film, je pense, aurait pu sortir avant The Exorcist si cela avait été possible, et il aurait eu peut-être un accueil mitigé, mais il aurait été sans doute mieux intégré à la saga, dont il aurait été alors le véritable commencement.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    Le père Merrin, encore traumatisé par les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, semble perdre la foi. Du moins, jusqu’à sa rencontre avec le démon Pazuzu en Afrique…

    Lors du tournage, le studio Morgan Creek Productions n’ayant pas été convaincu par le résultat final (pas assez violent à leur goût), a purement et simplement congédié Paul Schrader (le réalisateur), afin d’effectuer de reshoot (quasiment 90% de nouvelles scènes tournées) par Renny Harlin (58 minutes pour vivre - 1990). Sauf que le résultat final est catastrophique et L'Exorciste - Au commencement (2004) a lamentablement échoué au box office.

    Morgan Creek Productions va alors essayer de sauver les pots cassés, en rappelant Paul Schrader pour qu’il finalise sa propre version, quitte à lui allouer un budget supplémentaire. C’est ainsi que Dominion : Prequel to the Exorcist (2005) a pu bénéficier d’une exploitation technique aux États-Unis et en VOD dans le reste du monde, mais le mal était fait, après le bide rencontré un an plus tôt, celui-ci allait rencontrer la même déconvenue.

    Si comme moi vous avez conspué la version de Renny Harlin, il sera difficile de faire pire que lui, comme vient de nous le prouver Paul Schrader. En effet, ce dernier parvient tant bien que mal à sauver les meubles et à nous réconcilier (un tant soit peu) avec cette franchise qui, en dehors de l’oeuvre de William Friedkin n’a rien de mémorable.

    Oubliez le père Merrin alcoolique, cette fois-ci, il doit se battre contre ses démons intérieurs qui le ramènent dans l’Allemagne nazie (très bon prologue). La version de Schrader se veut plus psychologique, à l’extrême inverse de celle d’Harlin (plus bourrin). Cependant, c’est la seconde partie qui se gâte, celle se déroulant en Afrique. Le manque flagrant de budget est criant (le studio a rallongé le budget de seulement 35 000 dollars, c’est peanuts !) et cela se ressent dans bon nombre de CGI (les hyènes sont moins laides que dans la version d’Harlin, mais le résultat final n’est toujours pas convainquant) et les makeup effects affreux (le chanteur Billy Crawford y est méconnaissable sous sa couche de maquillage et donne l’impression de jouer un polyhandicapé, sans parler de la séquence où il apparaît en lévitation).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    61 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Intensément tourné vers le drame psychologique plutôt que l'horreur pure, DOMINION de Paul Schrader est la préquelle originale à L'Exorciste jugée inexploitable par les grosses pontes de la Warner, avant d'être réécrit et retourné sous la houlette de Renny Harlin pour donner le pitoyable L'Exorciste - Le Commencement.

    De toute évidence supérieur à sa refonte bâclée, le film souffre violemment de son statut maudit, la réalisation peu inspirée de Schrader combinée à sa forme inachevée livrant un objet peu harmonieux, effleurant le feuilleton fauché. La frayeur inexistante et la démystification totale du grand Pazuzu n'empêchent pourtant pas la pertinence radicale du fond, passionnante mais incomplète réflexion sur la culpabilité, et les complexes de la foi face la nature inhérente du Mal, à travers laquelle nous retiendrons la tragique séquence d'ouverture. Hanté par les remords et l'ébauche, DOMINION creuse les fondements d'une solide horreur intime mais, en grande partie par sa damnation imposée, sombre dans une pâle série B.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 janvier 2015
    Un film plutôt moyen. Les acteurs sont bons et les effets spéciaux sont totalement foirés. Ici on suit notre prêtre en Afrique dans sa première rencontre avec le démon. Mais hélas le film est un peu mou et trop long. A voir pour les fans de la saga, les autres passer votre chemin.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Le film partait bien avec un scénario qui semblait riche de possibilités et plus élaboré que la moyenne du genre. Pourtant après un certain temps les premières fausses notes sont apparues, les effets spéciaux dignes des pires série B. Malgré ça le film restait encore accrocheur avec un bon Stellan Skarsgård. Hélas le final est totalement raté, à la fois mal réalisé et mal inspiré. Je met la moyenne car il y avait une bonne base mais bon ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    Une excellente surprise pour les amateurs du genre .

    Paul Schrader est fidèle à son travail de moraliste et nous sert un opus au final opératique sur l'éternelle notion de culpabilité dans la crise de foi avec force troubles sensuels hétérosexuels et homosexuels spoiler: ( le père Francis, beau gosse tourmenté "tu connais ma culpabilité" clame t'il face au démon qui posséde Cheche(Billy Crawford très intéressant dans un corps démoniaque difforme), se retrouve exposé en Saint Sébastien suitant le désir)
    . Rachel nous fait penser à Deborah Kerr dans "Le Narcise Noir". Ici l'Afrique remplace l'Inde britannique.

    L'ambiance africaine avec la culpabilité colonialiste (la "malédiction chrétienne" face aux sacrifices et chants de guerre rituels) apporte une voluptueuse touche exotique. Vittorio Storaro effectue - comme toujours - un magnifique travail sur la photo (proche de celui sur "Le Thé Au Sahara"). Angelo Badalamenti compose un score had hoc. Bref, ne gâchons pas notre plaisir coupable.

    Mea Culpa
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 mai 2019
    Le film se veut comme l'explication de la vocation du père Merrin dans L'Exorciste. L'on y apprend davantage sur son trauma hérité de la seconde guerre mondiale et sa vocation d'archéologiste. De ce point de vue le scénario se tient bien. C'est par la suite que ça se gâte, et sans trop vouloir en révéler, l'enchaînement des évènements va être assez rocambolesque et surtout manquant de dynamisme. Les acteurs sont bien campés, même pas trop caricaturaux, mais trop effacés ou pas assez poussés dans leur rôle.
    Au final on ressort du métrage avec un sentiment que l'on aurait pu avoir plus en matière de nervosité, de confrontation des rôles et de contexte (même si le combat intérieur de chaque personnage est relaté mais employé de façon plus ou moins boiteuse). De plus quelques incongruités minent un peu le propos comme spoiler: la présence d'une église d'origine byzantine en plein Kenya bien que l'Éthiopie voisine soit chrétienne cela apparait peu crédible ou encore le fait que l'infirmière puisse passer toute une nuit en compagnie du démon sans être fondamentalement violentée.
    . On attend en définitive du frisson qui n'arrive que très parcimonieusement, et c'est cela qui gâche vraiment le tout.
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