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Un visiteur
5,0
Publiée le 9 janvier 2016
pour les 50 ans de Godzilla la TOHO nous offre se Godzilla final wars.Un film purement jouissif frolant parfois le parodique. Le senario se rapproche des films Godzilla sorties dans les années 60 tel que invasion planete x ou Destroy all monster. Toutefois le réalisateur Ryuhei Kitamura(Midnight Meat Train,Versus,Azumi) modernise son film avec des réference a Matrix nottament; bien sur y il a quelque longueur dans ce film de 2h mais c'est tout de meme un exellent hommage que rend le realisateur a la série des Godzilla le jeux des acteurs est volontairement proche des dialogue de science fiction des années 50/60. Les effets speciaux sont pas mal dans l'ensemble et le kitch de l'ensemble est totallement assumé. les fans du genre ne doivent pas loupés ce film
Godzilla Final Wars (ou GFW pour les intimes) est un bon gros délire Kaijuesque. Le film va a 100 à l'heure, pas de prises de tête, le scénario est à prendre au 87745 eme degré ! Le film commence assez bien avec un combat armée-Godzilla, et un générique retraçant les 50 ans du gros bébé atomique Japonais. Les effets speciaux sont CGI-traditionnel (costumes). Le Godzilla Américain fait même une apparition pour se faire torcher en 10 secondes par l'unique Godzilla. Le film est une sorte d'hommage/parodie. Ce film mérite amplement les 4 étoiles, pour ceux qui veulent commencer les films de monstres comme Godzilla, je conseille de commencer par ce film ou par GMK !
Monstre culte et symbole de la culture populaire japonaise, ce dernier opus c'est à dire le 30ème est un hommage pour les fans inconditionnel. Pour rentrer de suite sur le vif, alors oui c'est digne d'être un nanarland, mais il faut avouer que tout est n'importenawesque et jouissif, ça rappelle nos belles années Bioman ou bien encore Spectroman, Godzilla : Final Wars balance des tas de créatures complètement barré et amusante au point même que les acteurs perdent en crédibilité ! Les stars ici ce sont les monstres
Avis aux amateurs de monstres en caoutchouc ou interprétés par des acteurs grimés dans d'immondes costumes, de villes reconstituées en maquettes et d’explosions à tout va (de décors en carton et en mousse), ce film est fait pour vous ! Godzilla final wars (2005) recycle ce qui a déjà été maintes fois réalisé au Japon, Godzilla est une véritable institution en Asie, comme en atteste la vingtaine de films dérivés du célèbre monstre (il s’agit de la 29ème version !). Budgété à environ 2 milliards de ¥ (soit l'équivalent de 18 millions d'€), on est véritablement devant une œuvre de grande envergure, destinée aux fans de la première heure. 120 minutes durant lesquelles le film est clairement divisé en deux parties, la première se concentre sur la guerre menée entre humains et extraterrestres, la seconde partie quant à elle se focalise essentiellement sur Godzilla (appelé à la rescousse pour venir en aide aux humains) et autres monstres tous plus bizarres et improbables les uns que les autres. Si les interprétations s’avèrent souvent approximatives, on pourra toujours s’amuser à voir Godzilla faire des prises de catch avec les autres monstres. Réalisation kitch, décors relativement laids et qualité photo reléguée au second plan, pour les non initiés, armez-vous de patience, car cette Série B (voir Z) est assez unique en son genre dans le paysage cinématographie français, on peut donc féliciter Pretty Pictures de nous l’avoir distribué dans l’hexagone.
Voici le tout dernier Godzilla produit par la Toho ! Ce film est un film anniversaire pour les 50 ans du Kaiju le plus célèbre de la planète. Une chose est sûr, c'est un nanar à 100%. Tout est délicieusement Kitsh dans ce film. Si vous voulez vous marrez un bon coup regarder ce film. Sinon préférez le tout premier Godzilla ou celui de Garret Edwards. Même la version Emmerich est regardable.
oui le scénario est d'une bétise absolue, oui les acteurs sont moyens...mais godzilla est en grande forme, les combats de monstres sont de toutes beautés et c'est bien l'essentiel, nan?
"Godzilla: Final Wars" ("Gojira: Fainaru Uôzu") est un film japonais réalisé par "Ryuhei Kitamura" (Réalisateur des excellents "Versus, L'Ultime Guerrier" et "Midnight Meat Train") qui reste un véritable hommage à la série des "Godzilla", figure emblématique des métrages de monstres géants dévastateurs que l'on ne présente même plus. Le talentueux metteur en scène à su avant tout préserver le coté "Kitschissime" très caractéristique de la franchise en gardant des effets spéciaux à l'ancienne (Façon "Bioman") tout en intégrant à certains moments des effets numériques dernier cris. Et l'histoire n'est pas en reste avec sa brigade anti-monstres d'humains mutants dotés de pouvoirs exceptionnels ("La Earth Defense Force" provenant du jeu vidéo du même nom), ses "Aliens" belliqueux amateurs de castagnes et bien entendu ses monstres géants apocalyptiques (Tous les monstres de la saga passent à la casserole). "Godzilla: Final Wars" est au final une réussite étonnante signé "Ryuhei Kitamura" véritable touche à tout du 7èm art. Mais n'oublions pas qu'il restera toujours 2 catégories bien distinctes de spectateurs pour ce genre de film: Les adorateurs qui verront en "Godzilla: Final Wars" le "Saint Graal" du film de monstres, et les autres qui ne verront finalement qu'un "Nanar" insipide, débile et mal fichu. Reste donc, à choisir votre camp !
Excellent. kitschissime ! Attention, ce film est à prendre au 235ème degré, en sachant bien qu'il s'agit là d'un film japonais et volontairement réalisé avec l'esprit nippon des films de monstres géants des années 70. Rien ne nous est épargné: du plastique et du carton, des dialogues tordants, costumes et coiffures déjantés, et pour le scénario, eh bien, je ne dis rien, allez le voir ! Je pense qu'il faut le prendre un peu comme "Starship Troopers", les effets spéciaux en moins. Un vrai régal. Courez le voir si vous êtes sur Paris!
A l'image d'une Azumi, ce bon gros Godzilla réponds à aux délires de Kitamura et biensure détruira tout sur son passage...Pour notre plus grand plaisir! Quelques clins d'oeils bien sentis (quand le Godzilla Japonnais fout une rouste au Godzilla Américain...perso j'ai repassé la scene cinq ou six fois), des "méchants", de l'action, des personnages haut en couleur (le Commandant)...Ce personnage culte a fêté son anniversaire de la meilleur des manières! Ce film ne révolutionnera pas le genre, mais il reste bien moins débile et beaucoup plus jouissif que des centaines de films d'action à l'Américaine! 4étoiles est peu être un peu surnoté mais c'est tellemetnt rare les réalisateurs qui "osent"
Savoureux et jubilatoire. Evidemment pas un film d'auteur mais juste un pur bijou pour les amateurs de série Z. Effets speciaux faits à la main pour un résultat kitsch et complètement dans le ton.
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0,5
Publiée le 6 juin 2020
Avant même de commencer Kitamura n'est pas un fan de Godzilla il l'a dit lui-même. Le roi des monstres est un peu comme un empereur sans vêtements et c'est un peu gênant pour un fan. Un si triste adieu à un vieil ami fait par le pire réalisateur que la Toho aurait pu choisir pour ce type de film, Ryuhei Kitamura. Permettez-moi de vous expliquer. Le film dure plus de 2 heures et sur ces 2 heures seulement 35 minutes ou moins traitent avec le monstre. Et qu'obtenez-vous plus de 85 minutes de drame humain apparemment aléatoire. Des scènes trop sombres aux scènes d'escroquerie en passant par scènes de films pompée sur X-men, Matrix, ID4 et d'innombrables autres films. Voilà un film de monstre avec plus de drame humain que de monstre...
Attention, voici le genre de film que l'on ne peut pas juger de la même façon que d'autres. "Godzilla, final wars" est effectivement un joyeux bordel nonsensique, une forme de bouillie cinématographique qui confine au génie dans son genre. Rendant un hommage appuyé à ce genre très particulier, le cinéaste a voulu réaliser le film ultime qui permettrait de montrer tous les plus grands monstres de la saga Godzilla. Il ajoute à cela un nombre considérable de scènes d'action dont certaines feraient passer Michael Bay pour un enfant de choeur dans le domaine du film bourrin. On se prend bien sûr à rire devant tant d'effets spéciaux ringards (que j'aime, attention), de personnages en caoutchouc marchant sur des maquettes de villes détruites, comme au bon vieux temps de "San ku kai" et de "Spectreman". Le tout est d'un total mauvais goût et le final est tout de même grandiose de niaiserie. Pour autant, la projection est vraiment plaisante et l'ensemble, totalement bis et même souvent Z, est tout à fait appréciable. Le grand public, habitué aux productions hollywoodiennes formatées devront passer leur chemin devant ce monument de kitsch hystérico-foutraque.