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Plume231
3 933 abonnés
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3,0
Publiée le 19 juillet 2010
Une des trois comédies avec le duo Doris Day-Rock Hudson ou je devrais dire plutôt le trio puisque Tony Randall fait aussi parti de la distribution. Rien de nouveau par rapport à leur deux précédentes comédies : "Un Pyjama pour deux" et "Confidences pour l'oreiller", si ce n'est que cette fois le duo est marié. Autrement le couple Doris Day-Rock Hudson fonctionne toujours aussi bien, Tony Randall joue toujours les pinces-sans-rires, les seconds rôles sont toujours hauts en couleur, la réalisation est toujours correcte mais impersonnelle et les gags ne provoquent toujours pas l'hilarité mais ce montrent très drôles. Donc comme leurs deux premières collaborations, cette troisième et dernière collaboration, prototype de la comédie familiale des années 60, entre Doris Day, Rock Hudson et Tony Randall n'est certes pas indispensable mais est loin d'être désagréable.
C'est une comédie de mœurs avec Rock Hudson, c'est une histoire potache, une comédie de boulevard, c'est une histoire plutôt rigolote avec de très bons acteurs. Il y a de très bonnes situations comme dans les comédies de boulevard. C'est un beau petit film.
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2,5
Publiée le 5 septembre 2022
L'hypocondriaque Rock Hudson et la femme de tête Doris Day dans "Send Me No Flowers" (1964). On a juste envie de dèsobèir dans cette comèdie romantique des sixties! La comèdie amèricaine n'est pas seulement Billy Wilder, Frank Capra, Blake Edwardes ou Howard Hawks, c'est aussi Norman Jewison, mais uniquement au tout dèbut de sa carrière! il s'agit d'un classique dans la moyenne, très typique de la Universal et sorti des oubliettes grâce à Arte! Le cinèaste de "Rollerball" eut quelques pensums à diriger cette nouvelle variation sur le couple de stars, la troisième de la team Hudson / Day! Malentendus idiots, mèlancolie, fausse infidèlitè et noblesse de coeur règlent le rythme de ce film surannè et colorè grâce à la garde-robe de Miss Day! Pas besoin d'un fauteuil roulant ou de mèdicaments, c'est à la fois sympathique et divertissant, mais ça ne surpasse pas "Pillow Talk" (1959) et "Lover Come Back" (1961) du même duo...
SUPERCONDRIAQUE. Et si on s'inventé une maladie incurable? Norman Jewison se prend à la comédie légère, pépère et tranquille. Le malade imaginaire est un divertissement sans contagion remboursé par la mutuelle. Mon médecin légiste me l'a dit, soyez rassuré, les chrysanthème sont prêt.
Dernier film de la trilogie des comédies romantiques avec le trio Hudson/Day/Randall. Malheureusement, le charme s’est évanoui, la réalisation est molle, le vaudeville plus forcé que jamais et les quiproquos paraissent téléphonés. Dans son étrange contre-emploi, Hudson n’est pas très bon et même les yeux au ciel de Doris Day n’ont plus le même effet. Bref, pas un mauvais moment, mais une comédie de remariage qui sent sérieusement le réchauffé.
Une excellente petite comédie signée Norman Jewison. Certes, cela ne vaut pas des monuments de comédie américaine, le meilleur de Blake Edwards ou de Billy Wilder notamment, mais "Ne m'envoyez pas de fleurs" vaut surtout par le trio incisif formé par Hudson, Doris Day, Tony Randall. Le scénario fonctionne à merveille et l'effet joue jusqu'à la fin.
J'ai trouvé ce film très réussi. C'est tellement bien joué. On retrouve des décors qui ressemblent à "ma sorcière bien aimée". Cette fable légère est un excellent divertissement.