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Un visiteur
3,5
Publiée le 16 août 2020
Un film de Sf avec un côté série B très sympathique. Total Recall est divertissant, drôle, violent et intelligent. Les acteurs sont bons et Arnold Schwarzenegger brille dans son rôle. Il y a de nombreux rebondissements pas prévisibles et un univers réussi qui dénonce les sociétés capitalistes qui contrôle le monde (l'air ici). Certains passages sont culte. En revanche le film à vieillit, les effets et les décors font cheap.
Ce film est tout simplement un chef d'oeuvre super divertissant,c'est pour moi l'un des meilleurs films d'arnold schwarzennegger,on ne s'ennuie pas une seconde devant ce film.
je range mes placards et je tombe sur cette cassette. quel bon souvenir ! scénario redoutable, mêler le rêve à la réalité a été une idée de génie, copié et recopié par la suite. bien sur que l'ensemble a vieilli, mais regardez les films d'action de cette époque ! c'était en 90 ! le meilleur rôle de schwarzenegger avec terminator. (le remake de colin farrell... bien fade...)
Violence gratuite, scénarios mal ficelé! Une grosse brute qui détruit tout, voila ce qu'est Total recall! a voir pour les amteurs du genre! Pour ma partje n'adhère pas! Bon ciné!
Un film de science-fiction tourné vers l'action absolument prodigieux. L'histoire est très intéressante et ne laisse aucun répit. Arnold Schwarzenegger y est monumental.
Même si on adore le cinéma de Verhoeven (c'est mon cas), il faut bien reconnaître que "Total recall" est une catastrophe absolue. L'ambiguïté que le cinéaste manie en général à merveille est réduite ici à un gimmick famélique (le héros est-il en train de rêver ce qui lui arrive ?) et le récit se réduit à une bête succession de scènes d'action (schwarzenegger's movie oblige). Le problème, c'est que là aussi, Verhoeven se plante : malgré un budget pharaonique, le film ressemble à une série Z de chez Corman : direction artistique calamiteuse (difficile de faire plus toc que ces décors en carton pâte), image dégueulasse et, surtout, mise en scène poussive. Alors que le cinéaste a toujours été un brillant technicien (Robocop), voir un artiste inspiré (La chair et le sang, Soldiers of Orange, Black Book etc), on a l'impression ici d'avoir un tâcheron hollywoodien derrière la caméra. Ne parlons pas du jeu d'acteur, forcément calamiteux (à part Sharon Stone qui annonce son personnage double de "Basis Instinct"). Alors, évidemment, on peut voir le film au second degré et se marrer de la piteuse tentative de Schwarzy de faire le comédien, des décors kitshissimes ou de la ringardise des dialogues. Mais pour un film de Verhoeven, se contenter de ça, c'est finalement plutôt triste.
L'univers mis en scène est débridé, inventif, et emmène le spectateur dans une aventure qui sort des sentiers battus, de la bonne science fiction. Schwarzenegger est le héro sympathique et suffisamment charismatique pour convenir très bien a ce rôle, on s'ennuit pas. Dans sa catégorie ce film mérite les honneurs.
Dans ce film on ne sait jamais trop si on est dans la tête d'un schizophrène, dans le rêve d'un ouvrier de travaux publics ou vraiment sur Mars au sein d'une vaste machination. C'est là son principal intérêt et en ce sens on reste près de Philipp K. Dick l'auteur (génial et schizo lui-même) de la nouvelle dont est inspirée cette histoire. Au delà, il faut bien convenir que le film n'a pas très bien vieilli, certains décors ou effets spéciaux (pas tous) faisant vraiment date. On peut aussi s'interroger sur la part donnée à la violence dans le film. Elle peut choquer, mais outre qu'elle colle assez bien avec l'hypothèse rêve " tu es un agent des services spéciaux et c'est toi qui peut sauver la planète", il me semble qu'elle est souvent tellement outrancière et tellement répétitive (voir le nombre de fois où les héros se sauvernt d'une sutuation pétilleuse en sautant à travers des parois vitrées), qu'elle ne peut êtr eprise au premier degré
L’idée de départ est originale : Doug Quaid (Arnold Schwarzenegger) découvre qu’il n’est pas celui qu’il croit être et que la vie qu’il pense être la sienne est montée de toutes pièces. Sa quête de personnalité l’envoie sur Mars, contre une organisation qui possède le pouvoir sur cette planète. C’est un débordement de violence gratuite qui nuit vraiment à l’intrigue, on a juste hâte d’en finir. Un exemple : lors d’une fusillade dans les escalators, Quaid se protège des balles de tous les côtés à l’aide du corps d’un innocent qui finit piétiné par ses poursuivants. Je n’aime pas la Science Fiction, je l’ai donc trouvée trop présente à partir du moment où on arrive sur Mars, entre le fonctionnement de la planète et les mutants qui la peuplent. Il n’y a pas de temps mort dans l’action, c’est fatigant. Enfin, certains détails montrent que l’intrigue, soit n’est pas totalement claire, soit n’est pas complètement crédible.
Ça va rejoindre la liste des films que j’ai sûrement découvert trop tard pour les apprécier, comme Star Wars ou Ghostbusters. Le début m’a plutôt bien plu, j’aime l’atmosphère toujours feutrée de Verhoeven, sa manière de filmer les architectures, la classe qui se dégage souvent de ses films, mais dès qu’on met le pied sur Mars, c’est rédhibitoire: couleurs fluo, bastons toutes les dix secondes, prothèses en tout genre et surtout un scénario qui tombe dans la lourdeur explicative propre aux dystopies les plus maladroites. Ok, il y a des répliques mémorables et Schwarzy les débite comme personne, mais ça n’a pas maintenu mon intérêt bien longtemps, malheureusement.