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Un visiteur
3,5
Publiée le 3 janvier 2011
noé.............depuis le choc irréversible qui pour moi est un film qui ne sert pas a grand chose ne serait qu'a faire couler beaucoup d'encre , la enter the void est bien foutu, jolie, prenant avec des effets de camera rarement vue. on s'attache au personnage aussi glauque sois t'ils . une bonne surprise juste des scène qui traine , des flashback répétitifs et inutile pour la plupart je ne conseillerais pas ce film a tous le monde (mamie ne comprendrais pas grand chose de ces jeunes gens flous qui vivent dans un monde multicolors) fan d'histoire glauque sur fond de drogue en tous genre foncer
Un film qui sort définitivement du lot , une patte personnel et un concept fort et très bien maitrisé . Un thème qui touche : la drogue , la dépendance , alliée a cette descente au enfer et un voyage fulgurant dans l'entre deux monde . Le film nous envoie des scènes de trips exceptionnelle au couleurs et au réalisme fulgurant et surtout , un énorme travail de mouvement de caméra et sur les angles de vue . Chaque scène a sont importance , travaillé avec soins et faisant partie d'un tout dans ce voyage d'exploration et de découvertes de l'avant et de l'après mort . L'émotion présente a chaque instant est enrichit par la mise en abime de la chute psychologique de certains personnage dans ce Tokyo revisité au couleurs psychédéliques . Finalement , la mort n'est peut être que le dernier et le plus intense des trips visuel et auditif que nous connaitrons tous . Le film souffrirait peut être de quelques longueurs nottement dans la 2ème partie et aurait put être raccourcit d'une bonne demie heure . La refléxion et le questionnement sont de mise après le visionnage du film , l'expérience est intense et la curiosité nous pousse a vivre l'aventure jusqu'au bout .
complètement hallucinatoire.une merveille des sens qui nous fait réfléchir sur la vie après la mort.Noé nous plonge dans un univers étrange . La recherche de l'amour fraternelle après la perte de leur parents. Magique
ENTER THE VOID, de Gaspar noé, est sans aucun doute une oeuvre importante. Non pas pour l'histoire, certes très interessante, mais pour la réalisation. En effet, Noé utilise un procédé qui n'avait jamais été utilisé pour un film entier: la caméra subjective. Tout le film se déroule à travers les yeux d'un personnage, qui après sa mort, décide de rester au cotés de sa soeur. Et tout le film est basés sur la relation entre le frere et sa soeur, avant et après son décès. Le film contient certes certaines longueur, son coté provocateur est tantôt plaisant, tantôt agassant, mais ne serai-ce uniquement pour le travail expérimental fait sur l'image et sur le son, ENTER THE VOID s'impose comme une oeuvre inclassable et unique en son genre. Rien que pour cela, ce film mérite le détour.
Un film original où on reconnaît bien le style de Gaspar Noé.Mais original ne veut pas forcément dire "bien". Tout d'abord le générique,que je considère déja comme culte,une monstrueuse claque visuelle. Ensuite le scénario est assez sympa on peut dire.Seulement c'est horriblement long,on regarde les minutes passées,et sur les 2h30 il se passe pas grand chose.C'est vraiment mou et ennuyeux. J'ai bien aimé les passages où il revoit les différents moments de sa vie.J'ai détesté le passage des halluciantions à cause de la drogue au début du film et la fin également,le voyage dans le Love Hotel. Ni mauvais,ni bon,ce qui est sûr c'est que je vais attendre un bon moment avant de retenter le voyage
Gaspar Noé nous revient avec une plongée au cour de la ville de Tokyo. Entièrement filmé en caméra portée, nous vivons l'histoire d'Oscar, petit dealer notoire qui trouve la mort après être abattu par la police. Les premières images du film confirment bien ce que l'on pense, pendant 2h30, nous allons vivre quelque chose de jamais vu auparavant. Effectivement, en tant que spectateur on se dit : « Il a compris ». En effet, Noé a compris le cinéma, tout ce qu'il était possible de faire avec. Il joue avec la caméra et les lumières comme avec nos émotions et c'est une oeuvre d'art devant laquelle on se trouve. Le scénario, bien que sans grande originalité comparé à son précédent film (Irréversible), est rendu intéressant et intriguant par la mise en scène de Gaspar Noé. Pendant toute la première demi-heure, nous sommes les yeux d'Oscar, jusqu'à ce qu'il se fasse abattre dans les toilettes d'un bar miteux par la police. Puis, pendant environ ¾ d'heure, nous revivons l'enfance d'Oscar ainsi que sa vie antérieure avec un montage parfois dérangeant (on passe d'un Oscar enfant qui tète sa mère, à une image ou il occupe la même position mais avec la mère de son meilleur ami 15 ans plus tard). Et c'est après que Enter the void perd un peu de son éclatante réalisation, puisque pendant toute la suite du film, nous sommes l'esprit d'Oscar qui ère dans les rues inondés de lumière de Tokyo et suit ce qui se passe après sa mort. Même si le film est bien, cette dernière partie pêche en longueur et on a parfois hâte que cela se termine. De plus, l'explication de son ami Alex sur ce qui se passe après la mort au début du film nous donnes les clés de l'histoire. Ainsi la fin est attendue et sans surprise. C'est d'ailleurs rare de la part du réalisateur franco-argentin de nous donner les clés de compréhension de son intrigue. Au bout de vingt minutes, on est en possibilité de s'imaginer l'histoire mais sans jamais deviner ce que Noé nous réserve au niveau esthétique et mouvements de caméra. Carte postale de Tokyo de nuit, Enter the void est aussi un voyage/trip auquel il faut tout de même adhérer tant le style et la manière de faire sort de l'ordinaire. À voir, pour tous ceux qui veulent vire une nouvelle expérience de cinéma.
Au vue de la première demi heure, totalement immersive et sublimement filmée, je m'attendais à mettre 5 étoiles à ce film. L'expérience était unique. Mais finalement, après la mort du personnage principal, on se rend compte que le film dure depuis une heure et ne nous a finalement rien raconté. Et ensuite, bien que l'effet de gravité nous retourne les sens à juste titre, c'est juste long, très long, monotone, sans intérêt, a voir en vitesse TRES rapide ( comme moi ). Encore si cela avait duré quelques minutes d'accord, mais là, plus de 1h30 de vide, de non-film. La fin est totalement prévisible, et la scène porno juste avant, totalement inutile, si ce n'est pour ne pas perdre définitivement le public en essayant de récupérer les pervers en manque. Un conseil donc : regardez le film jusqu'à qu'Oscar meurt, puis mettez vous un bon film d'action, cela vaudra mieux que tout cette daube.ç
Mais quand on vous dit que Gaspar Noe est l'un des réalisateurs français les plus trash, les plus décalés et les plus talentueux de sa génération croyez-nous bordel ! Car hormis une ou deux longueurs intempestives, Enter The Void est un régal pour les sens, un gourmet pour les épicuriens.
Enter The Void : Entrez dans le vide. Pendant macabre de Tree of Life, Enter The Void est d'abord un exercice de style virtuose : la réalisation de Gaspar Noé suffit à insuffler une véritable identité visuelle à ce petit bijou pyrotechnique. L'heure de la maturité a sonné pour Noé. S'il conserve cette esthétique trash inhérente à son oeuvre, c'est pour mieux insister sur les ancrages du film. Gaspar Noé y développe, au long de ce trip introspectif et métaphysique, un dualisme temporel : l'enfance, temps de l'innocence et le passage à l'état adulte et ses désillusions. Ce dualisme est amplifiée par une B.O. très tendre, très infantile, présente dans les scènes les plus trash du film. En effet, si le métrage manque encore de nuances (défaut récurrent chez le metteur en scène) pour crier au chef-d'œuvre, sa charge émotionnelle explosive tutoie parfois le génie. À ce titre, la relation plus qu'ambigüe entre Oscar et Linda est touchante de sincérité. Et pour la première fois chez Noé, le final vient consacrer un certain optimisme bienvenue : la Mort amène la Vie. Un très grand film.
Je trouve que ça donne vraiment un nouveau souffle au cinéma du genre ! Bien que quelques longueurs quand même (peut-être 25mn au total si on additionne tout, d'ou mon étoile en moins), mais c'est excellent : sacrée expérience !!! 2h40 sans dire un mot, scotché. Je recommencerai très vite ! Thomas Bangalter a fait du sacré bon boulot sur la bande son, qui se fond dans la beauté visuelle du film (là aussi c'est indiscutable), c'est très très beau ! "Parfait, c'est parfait" comme dirait l'autre ! La fin est magnifique.
Assez mitigé pour ma part, le film est doté d'une réalisation pas mauvaise et les trips sont aussi flippant que joli, en dehors de ça le film passe de scène choquante à scène choquante de façon gratuite (personnage principale qui voit ses parents baisaient lorsqu'il est enfant, scène de fellation gay etc...), Enter The Void est clairement le film d'un réalisateur dérangé (comme beaucoup d'autres) après faire 2h40 d'ambiance malsaine et angoissante comme ça, on finit par se tarder de voir la fin. Ce film plaira sans aucun doute au adolescents qui feront de la branlette intellectuelle sur le film en attendant, je pense qu'il faut arrêter d'idolater ce pseudo clip de "Prodigy", merde un film original ne va même plus en être un a force de ne tourner qu'autour du sexe, de la violence ou de la drogue !
On salue d'entrée les excellentes trouvailles de réalisation, notamment la caméra subjective qui suit tout ce que traverse l'âme du personnage principal. Quand ce dernier meurt, la caméra se promène comme un spectre errant dans les bas-fonds d'un Tokyo inquiétant, seulement éclairé artificiellement par des néons fluorescents, toujours plongé dans la nuit, comme si le jour ne se levait jamais. Mais passé la moitié du film, on finit par comprendre que le scénario ne décollera pas. Gaspard Noé offre une expérience psychédélique hors du commun, mais au final, il nous ennuie autant qu'il nous fait frémir. Sur le plan intellectuel, c'est le néant total, en accord avec le titre choisi. Toute perspective intéressante se trouve écrasée par la longueur et la vacuité assumée et revendiquée de ce (trop)long-métrage.
Un film réalisé sous acide! Un véritable ovni comme le talentueux Gaspard Noé sait les faire. L'histoire est spirituelle et bien qu'elle passe au second plan elle est présente. Malheureusement la deuxième partie n'est pas aussi bonne que la première à cause d'énormes longueurs. Certes certaines sont nécessaire car c'est le but du film mais d'autres le sont moins. Les acteurs sont très bon je trouve mais le plus bluffant reste les jeux de lumières qui sont ahurissant dans ce film. Attention aux épileptiques car les lumières sont très forte. Un film psychologiquement violent et visuellement malsain! Les musiques sont la pour renforcé cette ambiance oppressante, dans un Tokyo comme on ne l'a jamais vu. Un film qui divisera et qu'il ne faut pas montré à tous le monde mais une chose est sur, c'est un film choque qui marqueras à vie!
Soporifique, de longues minutes d'images bizzaroides, de la pure invention sans génie scénaristique, je déconseille vivement même si je n'ai vu que les 30 premières minutes (ca devenait un calvère à regarder)
Inspiré de ses longs trips d'adolescence, Gaspard Noé signe avec Enter The Void un film très singulier qui ne pourra pas laisser indifférent. Le film se démarque par ses couleurs vives perçues par le personnage d'Oscar (Nathaniel Brown) que Gaspard Noé ne filmera jamais de face. Outre les couleurs vives, le film se démarque par l'absence de bleu, donnant au film cet aspect corrosif. Les mouvements de caméra quand à eux sont plus discutables. La caméra vole à travers la ville, les corps et les sens, ce qui constitue une idée intéressante et donc exploitable. Mais le souci c'est que sous cette finalité Noé se permet des fautes de mauvais goûts, des répétitions interminables et des lourdeurs de mise en scène. Sur 2H30, la mise en scène finit par s'essouffler lentement. Néanmoins le film arbore toujours son coté percutant avec des scènes très dures tel que la scène de l'accident des parents ou même les scènes de sexes qui se veulent très sensorielles et dérangeantes. A plusieurs reprises Enter The Void finit par faire mouche. Il est donc dommage qu'il se perde dans des lourdeurs et des idées parfois inutiles. Paz de la Huerta dans le rôle de la sœur d'Oscar est tout particulièrement intéressante, faisant preuve tantôt de fragilité, tantôt de force dans un rôle vraiment loin d'être évident. Enter The Void reste un film difficile à évaluer tant il se démarque de tout ce qui se fait habituellement au cinéma. Il est certains que le film divisera de part son trip assez extrémiste. Néanmoins il reste marquant et dérangeant. Gaspard Noé pousse jusqu'au bout ses idées afin de nous servir son voyage subjectif dans l'au-delà, un film intéressant à ne pas laisser sous toutes les mains.